don't blame me (feat liam)

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you cannot blame me
liam & katerina

once i was eleven years old my daddy told me ✻✻✻ Il t'avait fait une proposition que tu te voyais mal refusé et puis de toute façon tu n'avais pas envie de la refuser. Tu n'avais pas envie non plus d'aller en cours. Tu avais déjà passé toute la matinée assise à t'ennuyer pendant les cours. Le lycée ça craint. Mais tu n'étais idiote au point de ruiner ton avenir. Tu avais bien conscience que tu jouais ton entrée à l'université là. C'est pour ce la que tu faisais quand même en sorte d'être douée à l'école. Tu faisais toujours partie des meilleures et tu devais remercié Dieu ou Dame Nature ou autre personnage du genre, pour t'avoir doté de grande facilité. Ainsi tu n'avais pas besoin de travailler durement pour avoir des notes exemplaires. Heureusement pour toi, parce que si ce n'était pas le cas, tu n'aurais jamais eu l'occasion de découvrir toutes les expériences que tu avais faites jusqu'ici. Tu serais surement le genre d'ado enfermé chez elle à travailler et un meilleur ami geek sans vie social et encore plus désespérer que toi.

Bref, juste après le déjeuné, tu rentras chez toi. Enfin chez toi père. Etant en garde partagé, tu faisais une semaine sur deux chez lui et la moitié des vacances. En sortant du lycée alors que tout le monde retourner en cours, tu montas dans la voiture d'un homme. En fait c'était un étudiant qui devait avoir vingt-et-un ans. Tu l'avais rencontré y'a environ une semaine dans un bar. Tu t'étais fais passé pour une étudiante de dix-neuf ans qui donnait des cours dans un lycée bénévolement. Ce qui était cool avec ton physique, c'était que tu pouvais avoir n'importe quel age entre seize ans et vingt-trois ans. Et tout le monde le savait, mentir et manipuler c'était ta spécialité. Ange un jour, Démon toujours. Tu t'étais inventais comme une vie, en plusieurs et à chaque nouvel rencontre tu t'inventais un nouveau personnage. Tu trouvais ça drôle.

Une fois chez toi, tu fus soulagé de ne pas voir la voiture de ton père devant. On ne sait jamais, il aurait pu être là, mais normalement il ne devait pas rentrer au moins avant seize heure et il était à peine quatorze heure. Vous étiez déjà en train de vous embrassez, abandonnant vos habiles un peu partout sur le chemin de ta chambre. Te soulevant afin que tu t'enroules autour de sa taille, le jeune homme répondant au nom de Davis, t'allongeais un réellement ménagement sur ton lit sans lâcher tes lèvres. En sous-vêtements au dessus de toi qui n'était pas plus habillé que lui, tu mis fin au baiser. « Tu as apporté mon cadeau ?! » dis-tu d'une voix séductrice. et de son pantalon qui était au pied du lot, il sortit une petite boite en carton ce qui te fit sourire. Sans plus attendre, il sortit de la boite en carton un petit bout de brownie. Mais pas n'importe lequel, c'était un space cake, histoire de passer un bon moment. Il s’empresse de l'étaler sur ton ventre descendant vers ton nombril pour ensuite le lécher tant que toi tu fermais les yeux pour en profiter. Et puis il en mit dans ta bouche du brownie puis vient t'embrasser. Juste au moment où il allait passer sa main sous ton sous-vêtement la porte d'entrée claqua et tu entendis ton prénom résonnais dans la maison avant d'entendre ton père montrer les escaliers. « Merde c'est mon père ! » dis-tu en paniquant à moitié et en poussant Davis sur le côté du lit afin que ton père ne puisse pas le voir quand il rentrera dans ta chambre. Tu te lèves, rapidement pour fermer les volets de ta chambre et cours tu foutres sous les couvertures juste au moment ou ton père rentre. ✻✻✻
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Et un aller-retour à l'autre bout de la ville pour rien ! C'était la deuxième fois ce mois-ci que ce fournisseur lui faisait miroiter un ensemble de colliers dits révolutionnaires à bas prix, et arriver là-bas la marchandise n'était pas conforme. Autant dire que Liam était assez remonter et pas sûr qu'il se laisse une prochaine fois avoir ainsi. Ce vendeur était malin, il t'apatait avec une super offre complètement bidon et quand tu étais dans sa boutique il tentait de te refourguer ses merdes. D'autant que ces nouveaux colliers étaient très importants, ils devaient servir à localiser ses petits pensionnaires à quatre pattes au cas où l'un d'entre eux se décidaient à se faire la malle ou qu'on tentait de les dérober.

Il devait passer la journée sur place pour les essayer, voilà pourquoi il avait emmener Dario, un mâle doberman et Lili, une femelle lévrier. Mais non tout ça n'avait servit à rien, il s'était fait chier à les attacher, les monter dans la fourgonnette, traverser la ville et tout ça pour que dale !

Il entra à la maison après avoir été déjeuner en ville. Il trouva la porte d'entrée fermée mais pas verrouillée à clé comme elle devrait l'être, il venait de recevoir un message de son fils et savait qu'il était sorti. Ça ne pouvait qu'être Kat'.
Katerina ? T'es là ?
Il grimpa rapidement les escaliers et ne vit pas de lumière du bas de la porte. C'est pourquoi il se permit de rentrer sans frapper, pensant qu'elle n'était pas là, sinon il aurait demander sa permission avant d'ouvrir la porte. Il entra donc et discerna une forme dans l'obscurité du côté du lit.
Qu'est ce que tu fait là, ma puce ? Tu devait avoir cours jusqu'à 17h normalement.
Oui, Liam connaissait l'emploi du temps de Katerina par cœur, sa parano d'ex-femme lui avait demander de l'apprendre. Il s'approcha et manqua de trébucher sur ce qui semblerait être un pantalon.
Bon sang, combien de fois je t'ai dit de ne pas laisser traîner tes affaires... dit-il sans se rendre compte que ce vêtement n'appartenait pas à sa fille. Son ton était très agacée à cause de cette matinée foutu en l'air. Il s'assit sur le bord du lit.

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liam & katerina

once i was eleven years old my daddy told me ✻✻✻ Comment se retrouver dans la merde ? Être sur le point de s'envoyer en l'air dans sa chambre chez son père et voir ce dernier débarquer. Heureusement pour toi, tu avais eu de bon geste pour le moment. Le jeune homme en caleçon et avec une bonne gaule cacher de l'autre côté du lit, les volets de ta chambre fermé, et toi sous la couette en sous-vêtements. Si ton père n'allumait pas la lumière, tout allait bien se passer. S'il ne remarquer pas les effets des fameux brownie qui commençaient à faire effet, tout allait bien se passer. Et alors qu'il rentrait dans ta chambre, tu arrêtas de gigoter dans ton lit. Qu'est ce que tu fait là, ma puce ? Tu devait avoir cours jusqu'à 17h normalement. C'est, vrai, tu devais finir les cours qu'à dix-sept heure mais bon cet après-midi tu ne ratais pas grand chose : que des cours que tu avais pris en option comme le français, l'art plastique et la musique. Rien de bien dérangeant et surtout des cours faciles a rattraper. Et alors que tu allais lui répondre, tu l'entendis avancer et marcher sur quelque chose. Bon sang, combien de fois je t'ai dit de ne pas laisser traîner tes affaires... Merde ! Le pantalon de Davis ! Il fallait que tu réagisses vite fait sinon il allait tout découvrir et tu serais surement punis jusqu'à tes trente cinq ans. Quelque fois tu te disais que c'était la galère d'âvoir dix-sept ans !

« Papa !? » dis-tu d'une toute petit voix. Oui tu passais à l'offensive. Tu ne pouvais pas le laisser tout découvrir alors tu adoptais une petite voix mignonne et innocente. « Je savais pas que tu allais rentrer aussi tôt désolé ... » Il ne savait pas encore que tu avais fais quelque chose de mal, mais autant commencer à s'excuser maintenant, peut-être que ça passerait mieux. « Je me sentais pas très bien au lycée du coup je suis partis après le déjeuné ... » Il ne fallait pas que tu dises que tu as un début de grippe ou autre parce qu'il t’amènerait directement chez le médecin. Parce qu'il était vraiment un bon père. « J'ai commencé à avoir mal au ventre vers dix heure alors je suis partis à l'infirmerie et comme après le déjeuné je me sentais toujours pas mieux je suis rentrer pour me reposer un peu. » Mal de ventre pour une jeune fille de ton âge signifiait souvent début des règles. Et ton père, eh bien c'était ton père et en plus c'était un homme. En général, ils n'aiment pas parler de ce genre de chose. « C'est le premier jour de règle, j'ai pris quelque médicament dans la pharmacie de la salle de bain. D'ailleurs faudrait racheter des tampons j'en ai plus. » dis-tu aussi simplement que possible, essayant de dissimuler ton sourire. « En fait, qu"est-ce que tu fais à la maison si tôt toi ? »Tout au fond de toi tu prier tous les Dieux possible de Thor en passant par Odin, Bouddha et même Zeus pour qu'il se laisse guider sur un autre sujet de conversation. ✻✻✻
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Liam était pas un simplet à qui on pouvait tout faire gober. Cependant sa princesse avait ce don là, celui de l'embobiner à sa guise. Pour sa défense, quand il était mariée, c'était sa femme qui se chargeait des disputes avec leur fille, tandis que lui s'était plus avec son frère. Voilà surement pourquoi Kat' et Liam s'entendaient aussi bien. Et surtout pourquoi il ne connaissait très peu les armes de sa fille, le mensonge, la dissimulation. Le jour où il l'apprendrait il sera extrêmement déçu par elle. Elle qui l'aura manipulé et qui se sera jouer de leur complicité qu'il pensait sincère.

Enfin pour l'instant, il se faisait piéger en beauté. Il se doutait qu'elle devait être souffrante, mais sa petite voix termina de le confirmer. Ses excuses le touche, il allait la réprimander car elle aurait du au moins lui envoyer un sms pour le prévenir qu'elle quittait le lycée, mais il en fit rien. Il l'écouta ses explications, se contentant de poser une main sur son front et l'autre poser sur sa hanche par dessus la couette. Ses problèmes de filles, comme on dit, ça ne le dérange pas d'en parler. Il n'y comprend pas tout, mais si ça concerne sa princesse, il fait tous les efforts du monde. Il voulu lui sourire pour lui faire comprendre qu'il pensera aux tampons mais dans le noir ce n'est pas aisée.

Je vais allumer la lumière une minute. Il se redresse pour approcher de sa table de nuit pour allumer la lampe de chevet. Ah non, si tu veux te reposer il vaut mieux que tu restes dans le noir. Il se ravise et se réinstalle. Sa question sur son emploi du temps le laisse indifférent, il est trop préoccupé par son état. Je t'expliquerais plus tard. Bon, je vais te laisser te reposer. Mais après je veux que tu relise tous tes cours de la semaine et tu viendras me raconter de quoi ça parle, pour être sûr que tu l'a fait.

Il se lève et s'apprête à partir quand il se met à renifler. Quelque chose lui titille les narines, une odeur très appétissante. Il continue à renifler et trouve enfin ce que c'est. Il se réinstalle sur le lit. Ça sent le chocolat, non ? Il renifle à nouveau. Oui, ça sent bien le chocolat et fort en plus. Son ton redevient un peu plus sévère. Dit moi, tu te serais pas goinfrer de chocolat au point de te choper une indigestion. Ce qui expliquerait les maux au ventre. En plus, tu sais que tu dois faire gaffe à cause des chiens, ça peut être toxique pour eux.

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liam & katerina

once i was eleven years old my daddy told me ✻✻✻ Tu as toujours été très proche de ton père. Depuis toute petite il a toujours été son super héro, ton sauveur pour la simple et bonne raison que c'était toujours le premier à prendre ta défense, surtout lorsque ta mère t'enguirlandait. Personne ne pouvait te toucher, personne ne devait toucher à la princesse à son papa. Et encore aujourd'hui c'était vrai. Tu sais que tu peux toujours compter sur lui. Tu sais qu'il vendrait son âme au diable pour toi. Et tu ferais pareil pour lui. Seulement voilà, il ne connaissait pas ton petit côté sombre disons. L'alcool, les sorties, les joints, les garçons et les filles ... au bien sur il savait que tu sortais et que tu t'amusait, après tout c'était de ton âge, mais il ne savait surement pas que tu pouvais partir aussi loin. Par exemple, juste le week-end dernier, ta soirée était partis en cacahuète et tu avais finis dans le lit d'une parfaite inconnu, une étudiante apparemment puisque tu avais dormis sur le campus universitaire. Tu avais bu et fumer -mauvais mélange en passant- et tu n'avais aucun souvenir de ta soirée. Tout ce que tu savais, c'est que, comme d'habitude, tu étais inventer une vie : tu t'étais appeler sara, tu avais dix-neuf ans et tu venais d'arriver en ville. Bref, en y repensant ton père ne connaissait pas cette partie de ta vie et heureusement pour lui parce que découvrir ce côté risquait bien de mettre en péril votre relation et tu le savais très bien.

Je vais allumer la lumière une minute.En parlant de péril, tu avais cru mourir quand il t'avait dit qu'il allait allumer la lumière. Coup de frayeur ! Ah non, si tu veux te reposer il vaut mieux que tu restes dans le noir. « Hmhm » fais-tu en hochant la tête même si tu savais très bien qu'il ne pouvait pas te voir dans le noir. C'était ton super héro, mais il avait quand même ses limites, comme le fait qu'il n'était pas un vrai héro comme dans les films ou les dessins animés. Je t'expliquerais plus tard. Bon, je vais te laisser te reposer. Mais après je veux que tu relise tous tes cours de la semaine et tu viendras me raconter de quoi ça parle, pour être sûr que tu l'a fait. Tu roules des yeux quand il te parle des cours. Tu sais très bien qu'il ne veux que ton bien, mais bon tu avais dix-sept ans et bien que tu sais que tu joues ton avenir, t'avais pas envie qu'on te le rappel constamment. Mais c'était ton père, alors tout passait toujours mieux. « Oui papa professeur ! » dis-tu d'un ton mi-amusé, mi-agacé. C'était le surnom que tu le donnais lorsqu'il jouait les profs avec toi comme à cet instant. Autant c'était adorable, autant c'était chiant des fois. Mais pour là, pour le moment ça te faisait plus sourire qu'autre chose. Enfin sourire, c'était un peu sourire crispé parce qu'il ne savait pas mais vous n'étiez pas que deux dans cette chambre mais plutôt trois.

Ça sent le chocolat, non ? Oui, ça sent bien le chocolat et fort en plus.Et alors que tu crois que tout s'est bien passé, qu'il va enfin quitter ta chambre il sent l'odeur du chocolat et revient vers toi. Petit à petit tu commences vraiment à te dire qu'il va tout découvrir. Dit moi, tu te serais pas goinfrer de chocolat au point de te choper une indigestion. En plus, tu sais que tu dois faire gaffe à cause des chiens, ça peut être toxique pour eux. Enfin peut-être pas ! D'une voix faussement amuser tu lui réponds : « J'ai plus cinq quand pas ! Je sais que le chocolat et le chien, ils sont pas copain, je suis ta fille non !? Et non je n'ai pas manger de chocolat au point d'avoir une indigestion ! » Ton père tenant un chenil, tu adorais les chiens, tout comme lui. Tu réfléchis à un rapide mensonge. Le mensonge te vient tellement naturellement que tu te dis quand même qu'il serait temps de t’inquiéter. « Il y avait du chocolat en désert au self à midi, des brownies et j'en ai pris plusieurs mais douée comme je suis j'ai renversé mon plateau sur moi. » dis-tu en essayant de paraître décontracté. « J'ai mis mes vêtements au sale mais je dois encore sentir le chocolat ... je devrais aller prendre une douche et ça me fera peut-être du bien aussi. » Ca va, tu t'en étais pas trop mal sortis non ? Et peut-être qu'il allait enfin sortir de ta chambre pour que tu puisses faire sortir Davis de ta maison. ✻✻✻
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Un vrai dindon de la farce ! Et pas de la petite farce ah non là il avait le droit à la belle et grande farce suffisamment importante pour remplir la dinde de Thanksgiving. Il plongeait dans tous les mensonges de sa princesse. Qu'avait-il fait pour mériter une chipie pareille, enfin une chipie pour rester poli. Lui qui avait toujours été droit dans ses bottes. Il avait respecter sa femme jusqu’au bout de leur mariage, ne l’ayant jamais trahi, jamais trompé même quand son couple battait fortement de l’aile. De même qu’avec ses enfants. Il les avait éduquer du mieux qu'il pouvait, avait toujours respecter leurs choix, avait été toujours attentifs à leurs besoins. Il avait assister à toutes les compétitions sportives de sa fille. Il s'était tapé, sept ans de natation, quatre ans de volley et trois interminables trimestres de ballet classique. Il a passé plus de temps à la voir faire du sport qu’à en pratiquer lui même pour son loisir. Car c’est sans compter les entraînements, auxquels il n’assistait pas tous certes, mais où il devait quand même la conduire. Tout ça pour finir par se faire manipuler. Surtout par elle, la seule femme qu'il ne l'avait jamais déçu et avec qui il partageait tout. Enfin que voulez vous, on dit bien l'amour rend aveugle et bien avec lui, ça marche même pour son amour envers ses enfants. Et pour l'aimer, il l'aimait énormément.

Ce surnom, il l'appréciait en général bien, mais là, il savait que c'était du foutage de gueule. Il souffla fortement du nez comme pour signifier son mécontentement. Il a beau être gentil, il ne plaisante pas avec les études. Ouais ouais plaisante avec moi. Mais crois-moi que je t'attend de pied ferme ce soir et tu a intérêt à avoir fait ce que je t'ai demandé. Lui laissant s'expliquer enfin disons plutôt mentir. Il pense soudain à un truc. Pitié, me dit pas que t'as tâcher ton chemisier blanc avec le petit papillon. Le cadeau de ta mère, s'il est foutu elle va te tuer et moi je vais en entendre parler pendant des semaines. Sa relation avec son ex-femme était encore très étrange, leur divorce était récent et ils n’avaient jamais eu l’occasion de se revoir seul à seul. Si bien qu’il ignorait tout de sa vie écoulé depuis un an. Oh il n’espérait plus rien sentimentalement parlant de cet union, mais il souhaiterait pouvoir la garder en ami. Quand toute cette tension étrange serait retomber avec le temps. Avant que je te laisse dormir, j’aimerais ausculter ton ventre, histoire d’être sûr que ce n’est rien d’autres. Je veux juste palper ton petit bidon à différents endroits. Là pour le coup, il n’en démordrais pas. Il ne pouvait pas quitter cette chambre sans être sûr que ça n’était rien de grave. De plus un refus serait grandement suspect. Quand elle était sincèrement malade, Kat’ ne manquait jamais une occasion pour que son père prenne soin d’elle, jouant de ça tous les deux. Car lui aussi aimait s’occuper d’elle.