Il est dix-neuf heures et la musique commence à se faire entendre dans le parc de l'Hôtel de Ville. Ce soir a lieu la fête d'intégration et de grandes tables y sont installées en vue d'un magnifique repas convivial. Des restaurateurs de la ville ont installé des stands pour vendre leurs produits et le manège de chevaux de bois tourne déjà au rythme d'une musique ancienne.
Il doit être environ 18h lorsque j'arrive enfin chez moi, ce soir se déroulait une fête, que dis-je, la fête ou je vais depuis que je vais tous les étés toute petite, je me rappelle d'ailleurs encore de l'époque où je devais avoir combien... six ou sept ans ? Cette époque où j'allais avec mes parents à la fête, où je mangeais les petits gâteaux que la vieille voisine vendait et où je rencontrais les nouvelles petites filles qui allaient être dans ma classe. Enfin, comme je disait ce soir c'est la fête d'intégration, j'ai donc passé mon après-midi avec des amies du lycée – disons qu'elle m'accompagnaient pour essayer de s'excuser du fait qu'elles ne puissent pas venir, elles savent pas ce qu'elles ratent pourtant... – à faire du shopping au centre-ville, elles pour je ne sais quoi, et moi bah... pour la fête.
J'ai finalement craqué sur un t-shirt ambre à rayures blanches et bleues marines ainsi qu'un short bleu clair. Une tenue confortable qui ne me tiendra j'espère pas trop chaud, ce qu'il faut donc.
Quand j'entre chez moi, mes parents ne sont pas là, sûrement pour le travail. Je regrette un peu l'époque où on allait à cette fête en famille mais bon... Bref, après m'être douchée, habillée, coiffée et maquillée, je siffle pour appeler Lyra – ma petite cocker anglaise de trois ans voyez ? –, je lui met ainsi sa laisse et lui donne ses friandises du jour, une habitude que j'ai depuis que je l'ai, lui donner une friandise tous les jours où elle est sage.
Enfin, je sors rapidement de la maison en n'oubliant pas de fermer à clef la porte derrière moi. Et c'est avec Lyra que je me met à courir vers l'hôtel de ville en espérant arriver à temps.
xxx
Quand j'arrive au parc de l'hôtel de ville, je détache Lyra qui vas se défouler avec avec d'autres chiens présents dans le parc. Je reconnais quelques personnes à la fête mais sans envie de vraiment aller les voir. Puis là, j'ai une idée lumineuse, j'avais entendu parler dans la journée que les pokémons les plus rares se trouvaient dans les parcs, et où étais-je ? Dans un parc ! Je sors rapidement mon téléphone tout en gardant un œil sur Lyra qui revient juste à côté de moi, j'ouvre l'application et marche quelques instants dans le parc pendant que la cocker me suit.
Puis d'un coup, boom, un nouveau pokémon apparaît sur la carte, un pokémon que je voulais de tout mon cœur depuis que j'avais appris sont existence dans le jeu. « OH PUNAISE YA UN EVOLI » Après avoir hurlé à m'en péter la gorge, je me met à courir à travers le parc pour trouver le pokémon rare.
Cela faisait bien longtemps qu'Alasky n'avait pas été aussi heureux dans sa vie. Il avait arrêter de se laissé couler au fil de ses relations. Si sa propre soeur ne comprenait pas ce qui le poussait à être avec un garçon comme Loukas, lui Alasky ne se posait pas la question. C'était venu naturellement. Et, jamais il n'aurait cru pouvoir tourner la page aussi simplement. Enfin la page tournée, peut-être pas à ce point la, car finalement, il avait simplement décidé de fuir de près comme de loin Thibault et son frère. Il ne voulait ni être dans une même pièce qu'eux, ni sur le même trottoir. Et encore moins qu'on lui en parle. Mais dire que la page est définitivement tournée, c'est moins évident. Dans tous les cas, il était bien avec Loukas, et n'avait pas besoin de finir le soir dans les bars à picoler comme personne. Il n'avait pas envie de se casser de cette ville, ni de changer de vie. Pas envie d'être avec une autre personne qu'elle, à cet instant précis. Il s'était rarement vu ainsi, aussi calme et apaisé en tout point. Son boulot aussi roulait pas mal, de nombreux clients, mais profitant aussi de son doux nouveau copain qu'il appréciait davantage de jour en jour. Il y avait donc des jours où il levait plus ou moins le pied pour profiter d'un coucher de soleil avec lui, ou passer une nuit torride en sa compagnie et prendre le petit déjeuner avec lui dans le lit avant d'aller travailler. Ce genre de petites attentions, qui ne font pas de lui un mec trop envahissant malgré tout. Il avait pu avoir l'honneur de rencontrer Nora la cousine d'Alasky, qui était l'une des personnes très proche de ce dernier. Ainsi que rencontrer Marion la soeur d'Alasky, mais aussi amie très proche de Loukas. Entre les deux, ça se sentait, ce n'était pas l'amour fou, il faut dire qu'ils sont différentes mais Alasky s'en fichait pas mal, il devait concilier sa soeur avec sa nouvelle copine, pas d'autre choix. Pour l'heure, il avait besoin de passer du temps avec lui, Loukas était son nouveau petit ami, et pourtant il avait l'impression d'avoir encore tellement de chose à découvrir de lui. Et il n'est pas du genre à se confier facilement. Il n'est pas du genre à se laissé submerger par ses sentiments et par ce qu'il ressent. Il faut dire qu'il se ressemble sur ce point, autant il peut avoir des gestes attachants et agréables pour lui, autant il n'est pas du genre à dévoiler sa flamme en dessous de sa fenêtre avec une guitare à la main. Qu'importe, après avoir passé la première partie de la journée à travailler, le jeune homme se rendît devant le Park proche de l'hotêl de ville. Il lui avait demandé de se tenir prêt pour dix neuf heures, qu'il l'attendait car il avait quelque chose à partager avec elle. Chose étonnante de sa part, qui ne ferait que éveiller la curiosité du jeune homme, c'est pourquoi il jouait pas mal de ce charme la. A peine devant le parc, qu'ils entrèrent après l'avoir embrassé longuement. Il n'avait pas d'autre choix que de le supporter à cet instant précis. Mais l'attente fût de courte durée, puisqu'à peine arrivés devan les arbres, il vît au loin un attroupement. D'ailleurs, c'est après avoir garé la voiture non loin de la qu'elle comprit assez vite le déroulement de la fin d'après-midi. « J'espère que tu aimes danser ! » Dit-il, resserrant l'étreinte de sa main contre celle du jeune homme, en souriant. Ils se dirigeaient tout deux en direction de la fête. Lui, il adore danser, discuter, rigoler. Lui, il mourrait pour ce genre de fête, n'y voyant de toute façon pas le risque. Sa bonne étoile est de toute manière sur sa tête en ce moment......
fait par Clem
HRP:
Je veux bien que le PNJ agisse sur moi, mais sur échelle de 10, je veux 3
Le problème quand tu es footballeur professionnel, c’est que tout les ans tu changes d’équipe, enfin si tu le veux bien. Tu peux aussi accepter de rester longtemps dans la même équipe, mais c’est vrai que moi je trouve ça bien de changer, de voir autre chose et de me faire connaitre partout alors je n’hésite pas à accepter le contrat qui m’offrira le plus d’argent. De plus, Saraya, ma petite sœur, a toujours accepté de me suivre partout où j’allais, je pense que ça lui faisait du bien de se dire que partout où l’on irait, elle pourrait recommencer une nouvelle vie.
Malheureusement quand on déménage, on sait aussi que l’on ne connaitra personne là où l’on va et qu’il faudra se refaire un cercle d’amis, mais ça ne nous a jamais fais peur, on arrive toujours à bien s’intégrer. D’ailleurs, ce soir il y a une petite fête donné par la mairie et je compte bien y aller pour voir si je peux me faire des connaissances ou bien même rencontrer quelques fans, certains doivent bien me connaitre ici quand même, ce n’est pas si perdu que ça ! Encore faut-il aimer le football américain pour me connaitre !
Je demande à Saraya si elle veut venir avec moi, mais elle n’a pas l’air décidé. Mademoiselle me dit qu’elle me rejoindra peut-être plus tard dans la soirée si l’envie de bouger la prend, bon, je n’insiste pas et je vais me préparer après avoir diné en tête à tête avec ma petite sœur. Jean, chemise, ça fera l’affaire, pas besoin d’être trop habillé pour ce genre de soirée, surtout que je vais surement rentrer avec une belle tâche de bière sur la chemise… Je prends alors ma voiture et conduis jusqu’au lieu de la soirée, il y a un peu de voiture, c’est qu’il doit y avoir du monde, ça fait plaisir. Je gare ma voiture et me rend dans la foule, je prends une bière à un bar et observe les gens autour de moi.
« Gaby, je te l’ai dis, je suis toujours malade quand je vais sur ces machines ! »
Faisant une petite moue, la jeune fille aux cheveux arc en ciel, observa le manège. Elle adorait les sensations fortes ! L’adrénaline lui parcourait les veines tandis qu’elle hurlait mi-joyeuse, mi-effrayée. Pourtant, elle levait les bras à chaque début de chute dans le vide et finissait par se cramponner à son voisin (quel qu’il soit) juste après le lancement. Une attitude qui lui avait valu beaucoup de rire lorsqu’elle avait agit de la même manière dans le manège de cheveux de bois… Mais peu importe, la première descente de la licorne qu’elle avait choisi avait été rapide et surprenante. De quoi réveiller les drôles d’habitude de la jeune femme qui n’avait que faire des moqueries.
Néanmoins, elle ne voulait pas aller sur ce grand huit sans quelqu’un pour l’y accompagner. Non pas qu’elle ait la moindre crainte mais disons qu’elle n’aimait pas être seule dans un siège pour ce genre d’attraction. Ça perdait de sa saveur. Et malheureusement, d’après ce qu’elle pouvait voir, tous ceux qui se mettaient dans la file, y allaient par nombre pair. Comme si ce soir, tout les couples étaient de sortie. Bon ! Et bien tant pis, elle trouverait quelqu’un bon gré, mal gré.
Abandonnant son amie sur place, elle s’éloigna à travers la foule avec deux missions en tête. La première, s’offrir un verre, une bière de préférence. De quoi se rafraîchir tout en se mettant dans l’ambiance de la soirée. Elle avait bien une petite bouteille d’un cocktail fait main, cachée dans son sac, mais elle préférait la garder pour le cas où elle se retrouverait coincée sur une attraction. Ce serait l’occasion d’offrir un petit verre à son accompagnateur du moment. Ça éviterait peut-être une quelconque crise de panique…
Quant à sa deuxième mission… et bien, il s’agissait de se trouver une personne avec qui passer un moment de délicieux frissons dans l’attraction choisie. Puisqu’elle ne voyait aucun visage connu autour d’elle, elle allait choisir au feeling. Un homme. En général, elle se sentait plus à l’aise en leur compagnie et il y avait moins de risque de crise de larmes. Et quel homme ! Dés que son regard se posa sur le jeune homme, elle su qu’il était exactement l’homme qu’il lui fallait. Grand, avec une carrure de sportif de compet’, il serait parfait pour la caler dans son siège sans même avoir à la toucher. Seul, il semblait observer la foule sans chercher pour autant quelqu’un. Et puisqu’il n’avait qu’une bière à la main, il ne semblait pas devoir rejoindre qui que ce soit.
Ne réfléchissant pas plus, elle traversa la foule en sautillant joyeusement jusqu’à le rejoindre. Là, elle se planta juste en face de lui et lui sourit. Ce mec n’était pas seulement grand et musclé à la perfection, il avait un charme d’homme viril, à se damner. Un peu surprise, Gabrielle failli faire demi tour car elle pouvait presqu’imaginer le nombre de femmes qui devaient l’aborder et tenter de le séduire. Il penserait sans doute qu’elle venait pour la même raison… Pourtant, son envie d’aller dans l’attraction avec lui prit le dessus et avec un grand sourire de gamine, elle releva les yeux et les planta dans son regard.
« Tiens, salut ! Tu tombes à pic, viens ! »
Lui attrapant la main libre, elle fit volte face et l’emmena dans son sillage. Ne se rendant même pas compte qu’elle ne lui avait pas demandé son avis, ni même expliqué ce qu’elle lui voulait, elle ne le senti pas la retenir. S’il était offusqué, il n’en avait rien dit. Tant mieux, puisqu’il se laissait entraîné, elle lui fit traverser la place jusqu’à arriver devant le forain à qui elle acheta deux places. Et n’attendant pas plus longtemps, elle entraîna à nouveau l’inconnu jusqu’à une nacelle.
« Gauche ou droite pour toi ? Je t’en prie dis-moi que tu n’as pas le vertige ! »
Le jaugeant des pieds à la tête, Gabrielle eut tout à coup l’impression d’avoir déjà vu cet homme. Elle ne l’avait pas réellement rencontré, ni même entamé une conversation avec lui mais… Son visage ne lui était pas inconnu. Qui pouvait-il bien être ?
AVENGEDINCHAINS
Spoiler:
Le pnj est toujours le bienvenuuuuuuu bien évidemment
Je ne sais pas vraiment ce que je fais ici et je vais surement vite le regretter puisque je ne connais personne et je n’ai pour le moment envie d’aller parler à personne… C’est difficile de s’intégrer dans un groupe quand on est seul… Mais un petit bout de jeune femme vint se poser devant moi, un regard pétillant et un vrai sourire de gamine, elle reste planter là quelque seconde avant de me prendre la main et de me faire traverser la foule… Je ne sais pas où elle m’emmène, mais j’avoue que pour le moment je m’en fiche, elle va me sauver de ce moment ennuyeux et solitaire dans lequel je mettais fourré et peu importe ce qu’elle voulait faire de moi je lui aurais dis oui, enfin à réflexion quand même !
Je nous vois alors atterrir devant un grand huit, installé pour la fête d’intégration… ils ne font pas les choses qu’à moitié ici dit donc ! « Gauche ! » Je monte alors dans l’attraction, prend la main de la jeune femme et la tire vers moi pour qu’elle ne perde pas une seconde pour s’installer. Je ne savais même pas qu’il y avait des attractions ce soir et j’adore ça ! En même temps, un mec sportif professionnel qui n’aime pas les attractions, je n’en connais pas moi ! Ça pimente la vie, ça fait peur et ça fait comprendre qu’on a qu’une seule vie, c’est un truc top quoi et on est jamais trop vieux pour se foutre dans de telles attractions !
Les ceintures de sécurité se bloquent et là je comprends que l’attraction va se lancer. Pas raté. Ça démarre lentement, le wagon nous emmène en haut d’une colline, enfin vous voyez ce que je veux dire… Puis en l’espace d’une seconde tout démarre. Le train se lâche et commence à faire son petit tour, les cheveux dans le vent, pas le temps de souffler qu’on a le cou qui tourne dans tout les sens, mais surtout, je sens les bras de la chère inconnue se serrer autour de mon bras droit. Ça me fait légèrement sourire puisque c’est elle qui m’a emmener dans cette attraction alors que j’avais rien demandé, mais pour rien au monde je lui en veux, au contraire, je la remercie !
L’attraction se termine enfin après une allure folle, des virages super serrés mais surtout deux loopings… Je rappelle quand même que j’avais une bière dans l’estomac et que j’ai mangé il n’y a même pas une heure. La mission maintenant ? Tout garder dans l’estomac ! Je sors alors de l’attraction en suivant la jeune femme. « Merci pour ce tour de manège, je t’offre un verre pour te remercier ? » Non ce n’est pas de la drague, mais je n’ai tellement pas envie de continuer cette soirée d’intégration tout seul… « Ah au fait, moi c’est Lyam »
Quelle chance, elle avait eue ! Non seulement, elle ne se trouvait pas en face d’un homme farouche mais en plus, il semblait aimer les attractions autant qu’elle ! D’ailleurs, c’était heureux car batit comme il semblait l’être, ce n’était pas avec sa force de moineau qu’elle aurait réussi à le forcer à la suivre. Elle l’avait senti au moment même où elle avait prit sa main dans la sienne, grande et ferme, il y avait une certaine puissance qui s’en dégageait. Comme si cet homme avait l’habitude de gérer, voir même contrôler une partie de son entourage… Du moins, c’était l’image qui s’était imposée à l’esprit de la demoiselle tandis qu’elle l’entraînait vers son but ultime. Et à présent qu’il s’était installé dans la nacelle, il était évident qu’au-delà de son charisme naturel, sa puissance physique n’était pas un leurre. Il était bel et bien un homme en pleine possession de sa force musculaire.
Mais n’ayant pas plus de temps pour s’y attarder, la jeune femme se fit entraîner avec lui sur le siège qui lui était réservé. Comme elle devait paraître petite et frêle à côté de lui. Pourtant, elle se sentait bien, satisfaite même ! Cet inconnu lui semblait sympathique et elle se sentait à l’aise en sa compagnie. C’était tout ce qu’elle désirait…
Le cliquetis de la machine se met rapidement en route, immédiatement Gabrielle se mit à sourire comme une enfant un matin de Noël. Elle enroule le bras autour de celui de son inconnu tandis qu’un grand frisson la parcours. La machine entame son ascension et la jeune femme trépigne d’impatience. Enfin, elle va pouvoir se sentir emporter dans la vitesse. La machine se relâche et c’est partit ! Immédiatement, la jeune femme aux cheveux de licorne se met à rire puis à hurler, se cramponnant à son voisin comme à une branche de salut. Ah comme elle aime sentir ses entrailles se serrer et son cœur battre plus fort…
Et puis l’attraction se termine, elle relâche sa prise et descend en sautillant sur place, prête à quitter les lieux sans demander son reste. Pourtant, la voix du jeune l’arrêta net et elle se tourna vers lui, les yeux pétillants encore de bonheur. Elle s’était imaginée qu’à peine sa liberté retrouvée, il se serait enfui, sans un regard en arrière. Pourtant, voilà qu’il lui proposait un verre et se présentait. Décidément, elle était tombée sur un homme charmant.
« Lyam... » Prenant le temps d’intégrer son prénom, elle ne le quitta pas du regard tandis qu’elle s’éloignait de l’attraction à reculons. « J’ai l’impression de te connaître… » Dans un sens, elle espérait que ce ne soit pas le cas, car dans le cas contraire, il avait dû la croiser lors d’une de ses crises… Et dans ce cas, dieu sait quel genre de relation elle entretenait avec le beau jeune homme.
« Je bois un verre avec toi si tu me bats à la pêche aux canards ! Si c’est moi qui gagnes… Et bien… tu auras un gage que je choisirai … »
Sans plus attendre, elle pouffa de rire et se mit à courir en direction de l’échoppe colorée où on pouvait distinguer des petits oiseaux de plastiques sensé représenter les palmipèdes en question. Chaque année, la jeune femme désirait gagner la grosse licorne qui pendait parmi les trophées et chaque année, elle repartait avec un sifflet, un yoyo ou un petit stylo… A croire qu’elle ne réussissait à attraper que les plus faibles en matière de points…
Sujet Commun :#Fête d'intégration Au début Elsa ne pensait pas venir à cette fête. Elle ne connait pas grand monde ici de toute façon et elle est assez timide quand justement elle ne connait pas les gens. C'est sa mère qui à finit par la persuader d'y aller. Au mieux, elle fera de nouvelles connaissance, au pire, elle passera tout de même une bonne soirée à s'amuser avec les attractions ou jeux déjà présent. Un simple jeans noir, un top blanc et une chemise noire ouverte et nouée sur son ventre et une paire de sandales pour parfaire sa tenue. Ses longs cheveux elle les attache en queue de cheval et la voilà fin prête. Embrassant sa mère sur la joue, elle quitte la maison direction le lieu de la fête.
“Sometimes I believe that this less material life is our truer life, and that our vain presence on the terraqueous globe is itself the secondary or merely virtual phenomenon.”
F
aire la fête était loin d’être une spécialité de la maison, je préférais nettement le calme il y a longtemps que je ne m’étais pas adonné à ce genre de folie. J’étais tellement sage et rationnel, peut-être l’étais-je même trop mais toujours devais-je me l’admettre et c’était loin d’être une chose simple. Dire que gamin je me permettais les pires blagues vaseuses, de toute évidence je m’étais perdu en chemin.
Je décidai donc d’aller faire acte de présence à cette fête, dont on m’avait parlé, une fois n’était pas coutume et puis si cela ne me plaisait pas je n’avais qu’à filer. Au final je ne risquais pas grand-chose après tout. Arrivé sur place je remarquai la présence de quelques personnes dont la grande majorité m’était totalement inconnue, il faut dire que je n’étais pas trop le genre à me mêler aux gens je menais une existence paisible et je me plaisais à adopter un profil bas, haussant les épaules je me dirigeai vers ce petit stand afin de m’offrir un rafraîchissement bien mérité. Je ne demeurais jamais bien longtemps sans un verre à la main, dans ce genre de situation. Peut-être était-ce pour chasser mes inhibitions ? Allez donc savoir.
Depuis mon arrivée à Burlington je passe mes journées dans le canapé à regarder la télévision ou lire un livre. Aujourd’hui n’échappe pas à la règle : L’écran allumé c’est une émission de cuisine qui passe sur la première chaine. Je regarde sans intérêt : la cuisine n’étant pas mon domaine de prédilection. Soudain ma petite sœur se plante devant la télé, mains sur les hanches. Surprise, je la regarde en haussant les sourcils et en râlant un peu qu’elle me perturbe dans mes habitudes. Elle m’explique alors qu’il y a une fête d’intégration en ville et qu’il faudrait que je m’y rende vu que je suis nouvelle. L’idée ne me plait pas et je le fais savoir ; elle s’avance vers moi, me prend la main et m’emmène dans la chambre d’amis puis se poste devant la porte pour m’empêcher de partir avant d’être prête pour cette soirée. J’ouvre mon armoire et fixe mes différents vêtements en me demandant : « Que vais-je mettre ? » Dehors il fait chaud mais je ne peux encore mettre un tee-shirt ou une blouse à fines brides. Je soupire et doucement me plonge dans mes souvenirs :
J’ai 17 ans, c’est ma première soirée officielle avec Henry. Je suis inquiète pour plusieurs raisons mais j’essaie de ne pas le montrer. Une demi-heure avant qu’il n’arrive, je monte dans ma chambre pour prendre une robe. Le problème est que j’en ai plusieurs et que je ne sais pas laquelle je vais mettre. Je demande conseil à mes sœurs qui ne m’aident pas car toutes les deux choisissent une différente. Enfin bref j’en ai l’habitude donc c’est ma mère qui tranchera pour une robe bleu marine.
Prenant mon temps, je trouve enfin la tenue qui me plait : elle est simple, discrète et légère : il s’agit d’un chemisier et d’un short bleu marine. Je pars dans la salle de bain, prend une rapide douche, m’habille et fini par mettre une touche de maquillage discret sur mes yeux. Une fois terminé je fixe le miroir, je me rappelle des mots de Henry, un matin où il était encore sous influence :
« Les hommes te regardent, je ne veux plus que tu mettes ça. » Il avait alors prit tout ce qui se trouvait devant moi et les avait jeté dans la poubelle.
Je frissonne à cette pensée. « Il serait temps que tu l’oublies mais légalement tu es encore marié à lui. » Voulant passer une bonne soirée, j’essaie de ne plus y penser. Je retrouve Amy dans la cuisine quelques minutes plus tard. Nous sommes prêtes à partir pour cette fichue fête !
Une fois là-bas, je vois une place de libre, je sais que ma petite sœur ne peut rester avec moi tout le temps, elle a ses amis. Je vais au bar, commande deux verres et en donne un à ma petite sœur. Une fois installé, je préviens Amy qu’elle peut rejoindre ses amis, qu’elle n’a pas à s’inquiéter pour moi. Je ferai surement une ou deux connaissances.
Sur le panneau d'affiche de l'office de tourisme de la ville , annoncer une fête qui se déroulait au parc de la ville . Justin affichait un sourire, les fêtes il adorait ça ! . Déjà vêtu d'une chemise blanche et d'un pantalon classe sa tenue était parfaite pour se rendre à une fête . Justin regardait l'endroit exact où se déroulait la fête : à l'entrée du parc. C'est d'un pas décidait que Justin parti rejoindre les habitants qui était déjà en train de trinquer . Évidement à peine arriver Justin appelait un serveur pour commander un verre ... d'alcool . L'alcool était mauvais pour la santé mais qu'est que ça avait bon goût . Il était fort possible que Justin ne s'arrêterait pas à un verre . Une fois que le serveur apportait son verre Justin se dirigeait en solitaire vers une petite table assez grande pour une personne , posant doucement le verre sur la table et s'assoit. Comparaît à ses propres fêtes Justin était tout calme ce soir là . Peut être qu'après un verre ou deux il semblerait plus joyeux.
Accueil 
