Assise sur la dernière marche de l’escalier, je pense à ma vie depuis que je suis arrivée ici. Certes, je ne vis plus 24h/24 avec Henry, mais il occupe mon esprit à tout moment de la journée. Je repense à ce qu’un inconnu m’a dit et il est vrai qu’il a raison. Il serait peut-être temps que je fasse quelque chose pour ne plus en avoir peur à chaque heures, chaque minutes et chaque secondes. Mais c’est tellement compliqué ! Je sais d’avance que ça ne lui plaira pas et que je risque gros.
« Il m’aime selon lui, mais je sais absolument que ce n’est pas de l’amour ! » Je soupire, un peu désespérée. « Dans quel pétrin me suis-je mise ? Il faut que j’en sorte mais comment ? Je refuse l’aide de toute personne que je connais ou pas. » Perdue dans mes pensées, je n’entends pas les bruits de pas qui se rapproche de moi. Par contre je sens une présence et mon corps se met en alerte. « Il y a quelqu’un ? » Dis-je d’une voix qui se veut montrer forte mais qui est tremblotante. Il fait sombre, je me retourne plusieurs fois sans voir une âme à l’horizon : « Ma petite Katie, tu deviens folle. Il n’y a personne ici. »
Je prends la décision de redescendre et au moment où je me retourne, je sens une main me serrer le poignet. « Non. Lâchez-moi » J’ai peur, mon sang ne fait qu’un tour, je reconnais cette poigne et surtout l’odeur d’alcool ! « Henry… Non… » Il rigole, j’entends sa voix mélangée entre alcool et colère « Je t’ai enfin retrouvé… On va pouvoir rentrer tous les deux à la maison ! » Je ferme les yeux, les larmes coulent sur mes joues. « Écoute Henry, je n’en peux plus ! Je… Je ne t’aime plus ! Faut que tu partes. » J’aurai pu attendre plus tard, mais il fallait que je mette mon ressenti sur la table. Comme je l’avais prédit, il le prit mal. En criant, je ne comprends pas ce qu’il dit, mais je sens sa poigne resserrée mon poignet et ma joue droite bruler : il a recommencé, je viens de recevoir une baigne !
Kiss me hard before you go. Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. Got my red dress on tonight. Dancing in the dark in the pale moonlight. Done my hair up real big beauty queen style. Highheels off, I'm feeling alive. Oh, my God, I feel it in the air Telephone wires above are sizzlin' like a snare. Honey I'm on fire I feel it everywhere. Nothing scares me anymore. Kiss me hard before you go; Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. summertime sadness...♪
De mon point du vue, on pouvait voir le centre-ville de Burlington. C'est un paysage sensationnel, un paysage à couper le souffle. Jusqu'à ne plus en avoir, d'air. C'était tellement beau, que mes yeux étaient ronds tel un cercle tracé au compas. Je n'allais pas souvent à la dernière marche de l'escalier, car je n'y allais que lorsque j'étais "mal". Lorsque la sensation de dépression remonte dans tout ton corps, c'est tellement chiant. Mais on y pouvait rien, c'est comme ça.. Mais le paysage, fesait partir cette 'dépression' qui me hantait. Par contre, je n'étais pas au bout de mes forces, ce n'est pas une dépression qui va me rendre aussi faible et démuni. Je n'étais pas le genre de gars à se morfondre devant la balle au bois dormant, en traind e pleurer tout mes larmes juqu'à en faire une piscine. Je suis un homme courageux et fort, comme si j'avais ue dépression à chaque mauvaise action que je fesais. Je sais que c'étai bizarre de venir ici, mais je viens d'arriver, je dois visiter tout les lieux possibles et imaginables. Je prennais la vie du bon côtés à chaque moment où je me sentais seul, lorsque j'étais seul sur la dernière marche, je pensais au paysages. C'était tellement alluscinant que vu que je suis " perfectionniste ", je pensais aux créateurs de cette ville. C'était tellement une belle ville, que revenir au source était une bonne chose. Avoir de la reconaissance aux créateurs de cette ville est le b.a.-ba d'une philosophie seine. Voir le créateur de toutes les lumières qui s'illuminent à cette heure tardive de la journée.
Je me tenais assis sur la dernière marche, je contemplais le paysage. Mes yeux étaient globuleux comme si ils allaient sortir de mon visage. Ca serait moche, mais sa prouve la beauté de ce paysage. Je ne fesais aucun bruit, voulant respecter le chant des oiseaux qui allaient sans doutes dormir. Ce chant était brisé par une femme et une homme qui discuttaient, qui dialoguaient. Je rapprochais mon visage de la fente des escaliers afin de voir le couple. A leurs paroles, c'était un couple mignon et romantique, je finissais par voir un homme qui avait surpris sa femme par derrière. D'après les cris de détresse, la jeune femme, blonde à ce que je vois, ne voulait pas parler à son homme. Peut-être qu'il ne se sentait pas très à l'aise ici.. Mais après les paroles de l'homme qui disait la retrouvé, la jeune femme devait fuir. Est-ce un bon choix de fuir ? Je ne pense pas, car un homme ferait tout pour retrouver sa femme. Il parcourerait le monde entier, jusqu'à la retrouver. Je ferais pareil, sauf si je reconnaîtrais pourquoi elle me fuit, l'homme par sa voix rauque paraissait saoûl. Je regardais toujours le couple sur les escaliers, paraîssant tellement amoureux.. Comme deux tourtereaux qui venaient de se retrouver. Au début c'était mignon, un très beau couple, mais lorsque la jeune femme déclairait qu'elle ne l'aimait plus.. L'amour entre eux était fini, c'était tellement mignon mais maintenant ça ne l'était plus. Je comprennais mieux pourquoi la jeune femme avait peur. C'était bien parce qu'elle ne voulzit plus le voir, c'était bien un soulard.. Je la voyais pleureur de peur dans son coin.. Elle avait prit son courage à deux mains pour lui avouer la fin de ses sentiments. J'étais reconnaissant car une femme a peur de réveller la fin de ses sentiments à un homme dangereux. Elle doit être si courageuse que ça avait été facile.
« Génial, je suis chanceuse ! » Pensais-je. Ma sœur m’avait parlé d’un endroit calme et magnifique où je pourrai réfléchir en toute quiétude à l’avenir de mon couple. Mais à la place, je trouve un endroit terne, triste et inquiétant. Ce n’est pas la vue ou la hauteur qui me fait trembler mais bien la personne qui se trouve face à moi. Celui qui au début de notre couple, m’avait fait découvrir mille et une belles choses et qui au fil du temps c’était transformer en monstre. Car oui c’est ce qu’il était devenu et grâce à l’inconnu, j’avais ouvert les yeux.
J’ignore en ce moment que nous ne sommes pas seuls, qu’un autre homme nous surveille et c’est mieux ainsi. Je n’aime pas me montrer faible comme j’ai pu paraitre à la fête d’intégration ou quand j’étais face à mon homme. Il faut que ça change. C’est pour ça que je lui tiens tête même si en échange je sens ses mains se resserrer sur mes poignets et de plus en plus fort le mur contre mon dos, qui me fait grimacer à chaque contact.
« Aujourd’hui je bosse dans mon studio à Paris, dans l’après midi, j’avais eu un shooting photo avec un mannequin pour un article sur mon blog. Plongée dans mes brouillons et dans mes images, je n’avais pas vu l’heure passée et j’étais revenue une demi-heure plus tard que prévu. Sur le chemin, j’avais évidemment téléphoné à mon homme pour lui expliquer mais il n’avait rien voulu entendre. En rentrant, il m’avait saisi les bras et plaqué plusieurs fois contre le mur. Je l’avais supplié d’arrêter, mais aveuglé par la colère, il n’avait rien voulu entendre. J’avais fini par fermer les yeux et attendre que le moment passe. Une quinzaine de minutes plus tard, il avait cessé et était parti comme si de rien n’était. Sous le choc, je m’étais laissée glisser contre le sol, en larmes »
Aujourd’hui c’est différent, je ne le supplie pas et je le regarde droit dans les yeux. Il faut que je trouve le moyen pour qu’il arrête sans lui dire que je le suivrai car ce serait mentir. D’une fois forte entre coupée par des gémissements de douleur parfois, je lui dis : « Henry lâche-moi maintenant ! Ce n’est pas de l’amour ça ! C’est de la violence ! » Il me regarde d’un air dédaigneux et me répond : « Qui t’a dit cette connerie ! C’est du n’importe quoi ! » Continuant à le regarder et en commençant à me débattre « Tu as tellement changé Henry, tu n’es plus l’homme que j’aimais… » Une de ses mains me lâche et se plaque sur ma bouche. Elle est moite et collante, ça me dégoute. Ma voix parvient à mes oreilles : « Tu vas arrêter de dire ça ! Je suis ton mari et ça ne changera jamais tu m’entends ?! JAMAIS ! » Il hurle et commence à vraiment me faire mal. Il faut que je trouve un moyen de m’enfuir : il est trop proche de moi pour que je lui donne un coup de pied par contre sa main… « Mais oui sa main ! » Petit à petit j’approche mes dents et le mort. Surpris il se détache suffisant de moi pour que je file en direction de l’escalier, je cours le plus vite possible avec la vue brouillée mais arrivée près de l’endroit où se cache l'homme je trébuche...
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Ce n'était pas dans mon quotidien d'espionner les couples comme ça. C'était le simple hasard, j'étais venu juste pour une séance de relaxation. Je ne pensais pas voir une aussi belle blonde à 3 mètres en dessous de moi. Déjà que c'est inimaginable, qu'elle fuit l'était encore plus. Je j'ai jamais compris pourquoi les hommes étaient aussi possessif sur les femmes, aussi.. Supérieur, du moins c'est ce qu'ils croivent. Certains diront que l'homme est supérieur à la femme, d'autres diront que c'est le contraire. Ou une plus petite partie, disent qu'ils sont égaux.. Figurez-vous que je suis sur le petit pourcentage de ceux qui pensent qui sont égaux. Ils sont fait pour travailler en toute complicité et non, l'un travaille, l'autre dort.. Ce n'est las un vrai amour, ou un couple. Ce n'est pas de l'amour réciproque, comme c'est le cas avec ce couple. Un couple est fait du mari qui va travailler pour avoir de l'argent.. Et la femme qui travaille à la maison, la ranger. Mais c'était avant, la femme travaille aussi maintenant, car l'égalité à franchit des limites. Pour une femme, je serais prêt à tout, jusqu'à ce qu'elle se sente bien, si bien que le sourire aux lèvres, elle me dirait " je t'aime ".
Je me tenais toujours courbé même jusqu'à être accroupie.. Je contemplais le couple qui devait se baguarrer. Les tons se levaient de plus en plus, jusqu'à qu'on entende plus du tout les chants des oiseaux. Ça me rapellait les disuptes avec Hope, des souvenirs négatifs tel que positifs, Je me rapellais de sa silouhette contre les abdos. Sa poitrine volumineuse et nue, contre mon torse, doux et dur. Mais le dialogue arrêtait toute mes pensées, jusqu'à les cris de détresse de la jeune femme. Je savais que ça allait dégénéré. Je voyais l'homme faire des gestes brusques sur la jeune femme. De plus en plus violents. Il devenait de plus en plus insolent, en employant des mots vulgaires. La colère prenait le dessus. Je devais intervenir, mais j'attendais que la situation prouve vraiment la violence. D'un côtés je voulais attendre car ce n'était peut-être une blague ou une caméra cachée.. D'un autre côtés, je ne voulais pas attendre, car ça ferait souffrir la charmante blonde. Je le vois attraper sa main, en voyant les veines sortirent de celle-ci. Il serait le poignée de la jeune femme si fort, qu'elle en gémissait de douleur. La femme avait réussit à partir, et courrait en ma direction. Je me levais rapidement, lanchant la bouteille de Martini. La jeune femme courrait à tout allure, devant moi, elle tribuchait. J'accourais vers elle, en prenant sa main dans la mienne. Je ne disais rien, car c'était le maximum de la protection. Il n'y avait plus de doute, c'était de la violence. Je vennais tirer le poignée de la jeune femme derrière moi. Elle était derrière ma carrure, en larme.. J'étais si imposant que son mari ne devait même plus voir sa femme. En parlant du loup, celui-ci arrivait devant moi. Juste à être à ma taille, je venais le mettre un coup de poing dans la mâchoire, il tombait rapidement au sol. Je retenais sin bras, pour ne pas qu'il déboule tout l'escalier. Je venais m'approcher de son visage en sang. " Tu t'approches encore d'elle, tu es mort ! ". Je mettais son corps, presque K.O sur le côtés. Je vennais porter la jeune femme, sous le choc du coup, elle ne pouvait pas se lever. Elle êtait dans mes bras, quand je descendais les escaliers. Une fois en bas, je la regardais, presque pétrifiée. Une mèche bouchait le champ de vision de son oeil droit. De mon doigt long et robuste, je fesais un geste fluide pour déguager cette mèche. "Rien de casser ? " Ma vois rauque et fluide, venait poser la question à la belle et charmante femme. Son regard gris, bleu venait entrer en collision avec le mien.
Trébuchant, je me prépare à tomber au sol et dévaler les différentes marches de l’escalier mais ça n’arrive pas… Quelque chose me rattrape. Très rapidement, je reconnais la forme d’une main, je prends peur, encore sous le choc de l’agression de mon « mari, » et tente tant bien que mal de retirer mon poignet de cette « étreinte. » Pourtant sa manière de faire est différente : bien qu’en colère, celle-ci ne m’est pas destiné. Alors doucement, je me laisse aller au point de tomber par terre et laisser sortir le trop plein d’émotions pendant que l’inconnu s’occupe de Henry.
Assise au sol, caché derrière l’inconnu, je cache ma tête dans mes bras posé sur mes genoux. Je ne vois plus mon « ex » mais l’entend gémir. J’écoute aussi les menaces du jeune homme. A croire qu’ils se sont donné le mot avec l’inconnu de la fête d’intégration. Moi qui espérais qu’il n’y aurait pas de bagarre mais un accompagnement à la police ou chez le juge, je me suis trompée. De toute façon Henry a été trop loin et ma décision est prise : Dès demain, après une bonne douche et une nuit de sommeil, je me rendrai à la police pour porter plainte même si j’ai la frousse de m’y rendre de peur d’un quelconque jugement de la part des policiers.
Perdue dans mes songes, je ne vois pas l’homme revenir vers moi en silence. Je reprends contact avec la réalité au moment où il place ses bras sous moi pour me porter. Je sursaute et veux partir mais mon corps refuse de m’écouter. Il me soulève sans trop de difficulté, je n’ai jamais été très lourde mais je ne suis pas un poids plume et descend l’escalier. Pendant ce temps là, je place doucement ma tête contre son épaule et ferme les yeux un instant avant de les rouvrir.
« Cela me rappelle mon mariage, à la sortie de la mairie. Henry m’avait porté ainsi pour les photos, jusqu’à la voiture qui devait nous emmener à la salle de réception quelques kilomètres plus loin. » Ce souvenir heureux du passé, avait un sale gout amer aujourd’hui. Une fois en bas des marches, je bouge de ses bras, j’ai envie de descendre mais je ne sais pas s’il acceptera. Je sens son regard sur moi mais je refuse de croiser le sien alors je ferme un instant les yeux et les rouvre quand il dégage une mèche de cheveux. A sa question, je réfléchis quelques instants : les ecchymoses prennent doucement leur place sur mon dos et mes poignets mais je sais bouger toutes les parties de mon corps. Décidant de croiser son regard, je lui réponds : « Je ne pense pas. Juste quelques ecchymoses pendant plusieurs jours… » Puis repensant à la bagarre : « J’ai entendu la droite que vous lui avez mit, vous n’avez rien j’espère ? » Demandais-je un peu inquiète pour le jeune homme.
Quelques minutes ont passées, les larmes ne coulent plus et ma respiration est revenue presque à la normale. Mon corps et ma voix tremblent encore, ce sont les deux seules réactions qu’il reste de ce qu’il vient de se passer. Pour oublier, j’ai besoin de quitter cet endroit et d’être dans un endroit chaud et calme pour me reposer et me remettre totalement de mes émotions. D’une voix basse et suppliante je lui dis : « On ne se connait pas mais… nous pourrions quitter cet endroit… S’il vous plait ? »
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J Je n'avais jamais eu la sensation d'avoir fait une si bonne action.. J'en fais et pas des moindre, une fois un chat était coincé dans un chêne, à près de 30 mètres de haut.. J'avais prit mon courage à deux mains, et je décide de monter, j'escalader la paroi gondolante du chêne, jusqu'à voir le chat sur une branche. Il miaulait, et il n'en finissait pas, je le prit dans mes bras et je fesais le chemin inverse. Arrivés à 8 mètres, le chat commençait à me morde, je décide de sauter.. Je saute, mais ma chute n'est pas assez étudiée, ligament croisé mais rien de plus. Le chat était sauvé. Mais cette fois ci, ce n'était pas qu'un simple chat, c'était la vie d'une femme. Une jolie blonde aux yeux clairs, frappée par son mari. Je ne pouvais pas rester dans mon coin à regarder la scène. Je ne suis pas un partisan de la violence, juste un " novice ". Je ne l'utilise pas tout le temps, à tout va.. Je savais qu'en m'interposant, l'homme l'aurait mal prit et m'aurait frappé à l'abdomen, de ses bras mous et " frauduleux ". Vaut mieux agir silencieusement, et efficacement. La devise d'un jour, la devise toujours. J'espère que j'aurais le revendant de ce sauvetage, car ses lèvres m'avaient l'air bien pulpeuses.
La jeune femme, entre mes bras, n'était pas aussi lourde qu'elle paraissait. Je ne dis pas qu'elle es grosse, je dis qu'elle est parfaite. Après 20 ans à la salle de musculation, on peut sentir des poids, on les soulèvera toujours. Je la déposais sur le mur, assise avant de lui poser la question. Je voyais son regard ne rôdant pas le mien. Est-ce un signe de peur ? Ou un signe de supériorité ? Dans tous les cas, je ne serais jamais supérieur à elle. Elle me déclarait qu'elle n'avait que les coups de son mari sur elle.. Plus tard, je pense qu'elle voulait prendre soin de moi, elle me demande si je vais bien.. Il n'a rien vu et je n'ai rien eu.. Aucunes blessures. Je la voyais perdre tout ses moyens, elle était tremblotante comme si elle se souvenait de poing que j'ai mit à son mari. Elle devait être fiere, mais d'un côtés non, vu que c'est son mari. D'après sa demande, elle devait être fière. Elle me demandait d'aller avec elle. Je prennais sa main dans le mienne, avant d'entre-laçait mes doigts avec les siens. Je fesais cela pour qu'elle soit sur d'elle, qu'elle ne soit pas en train de redouter ses actes. Je l'attirais vers ma voiture, une bentley des années 80. Je l'ouvrais la porte du "co-pilote" car je ne l'autorisais pas à aller derrière. Je la connais assez bien maintenant, je sais qu'elle voudra bien être assis à côtés de moi. Nous deux, assis dans la voiture.. C'est assez rassurant ici ? J'avais le sourire aux lèvres après cette blague, je pouvais la soulagée avec de l'humour, ça marche plutôt bien. Je démarrais la voiture, avant de partir sur les routes. Je n'avais pas de lieux précis, car à cette heure aucunes voitures roulaient, on pouvait voguer sur les routes.. Parlant, discuttant. Comment t'apelles-tu ? Je ne sais pas pourquoi je les tutoyais, car chaque personne que je viens de rencontrer, je les vouvoies. Mais là, c'était comme si je la connaissais depuis longtemps, mais ce n'était pas le cas.
S’il pense à une supériorité venant de ma part, il fait fausse route. Mes parents m’ont toujours inculqué que tout le monde devait être traité de la même façon, à la même enseigne et à égalité même si la société ne le permet pas toujours. Encore plus aujourd’hui où les inégalités sont énormes et très souvent injustes !
« Cela me fait penser à mon adolescence et au moment où j’ai commencé mon métier de mannequin. Beaucoup en rêvait, moi je l’avais fait et je suis devenue une garce aux yeux de mes camarades de classe. Quand ma mère l’a apprit, j’ai passé un assez sale quart d’heure, elle m’avait sermonnée car elle ne m’avait pas éduqué ainsi. Depuis même les plus démunis, je les vois comme un humain dans toute son intégrité et comme mon égal. »
D’abord assise sur le petit mur, je l’écoute me dire qu’il n’a eu aucunes blessures. Je soupire de soulagement et tente de faire un sourire pour lui montrer avant de le suivre vers un endroit plus calme et sécurisant comme je lui avais proposé quelques minutes auparavant. Surprise de sentir sa main dans la mienne et nos doigts entrelacer je baisse le regard vers cette partie de nos corps avant de resserrer mes doigts contre sa main et de lui sourire un peu plus avant de croiser son regard.
« C’était une habitude avec Henry de nous promener main dans la main, même si vers la fin, pour ma part c’était du pur forçage. Malheureuse, je voulais ne plus montrer avec lui mais je n’avais pas le choix, il me forçait. »
Concentrée sur la sensation ressentie, je ne remarque pas de suite que nous sommes devant sa voiture. Je suis une fille et je ne m’intéresse pas aux voitures donc j’ignore la marque. Il retire sa main, je ressens comme un vide mais ne montre rien, je m’installe coté passager et le suis du regard jusqu’au moment où lui s’assied coté conducteur. A sa question, je souris : « Je pense que oui… enfin du moment qu’elle est fermée à clé » Dis-je en posant ma main sur la sienne et me positionnant sur le coté pour être vers lui. Lorsqu’il démarra la voiture, ma main glissa sur son avant bras ne voulant pas le déranger pour conduire. J’étais de nature tactile avec Henry et petit à petit avec l’inconnu cela revenait. Je n’irai pas plus loin, je ne me sens pas encore capable mais c’est un début. A son tutoiement et à sa question, je souris. Généralement le fait qu’on me tutoie sans me connaitre me dérange mais là, ça sonne tellement bien que je ne dis rien à part : « Katie… Kate ou Kat pour les intimes et toi ? » Dis-je en rougissant, ne comprenant pas pourquoi je venais de lâcher ça !
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Depuis que je suis arrivé, je n'ai jamais été aussi proche d'une femme. Je suis toujours aussi à l'aise avec elles, mais pas aussi rapidement. Elle ne savait même pas mon prénom; qu'elle me tenait la main, la douceur des femmes est incroyable. C'était peut-être pas aussi rassurant dans une voiture, mais c'était la seule chose qui était si proche. Je l'avoue, j'avais légèrement stressé, mais j'avais toujours les choses en main. Si un invoncéniant arriver, je l'anticiperais, je suis un homme courageux et fluide. Cette ville est remplit d'incertitude, arrivé ici.. Je n'avais jamais pensé renconter une aussi belle femme, dans un contexte aussi désastreux. Je n'étais pas venu pour rencontrer l'âme soeur, juste pour découvrir de nouveaux lieux. C'était un peu vague notre rencontre, c'était peut-être le destin, ou même le hasard. Dans tous les cas, il l'a bien fait.. Je n'aurais jamais pû penser une aussi belle femme, se faire battre. C'était presque un cauchemar pour moi.. Une aussi belle femme.. Je plains complètement son mari. C'était un crime de battre sa femme, ça ne procure rien.. Même pas un plaisir. La plupart des hommes qui battent leurs femmes, sont des soulards.. Ca prouve que l'alcool doit être consommé avec modération. Je peux faire la fête tout le temps, je n'ai jamais été capable de battre une fille. C'est impossible de battre sa femme, peut-être parce que c'est moi.. Mais je pense que je ne suis pas le seul à être comme ça. Si je serais président, battre sa femme serait constaté comme un crime, sa condamnerait le soulard à 20 ans de prisions.
Nous êtions seul dans la voiture, la seule voiture qui roulait sur l'autoroute. On y voyait rien, juste les phares de la voiture, de la Bentley. On pouvait voir une grosse tâche bleu sur le côtés de la voiture, j'étais un peu fièr.. Mais c'était moi qui l'avait faite, avec de la peinture.. Sans faire exprès, c'était une erreure, une gaffe. Je l'entendais m'exclamait que si la voiture était fermée, sa serait plus rassurant. Je suis comme un protecteur pour elle, ses désirs sont des ordres.. Je venais sécuriser la voiture, en écoutant le "TIC" qui prouver la fermeture de la voiture. Je roulais lentement, pour pas qu'elle soit interrompue par le ronronnement de la voiture. Après le démarage, je sentais sa main sur ma main.. Si douce et moîte. Elle l'enlevait pour la mettre sur mon avant-bras. Je voulais qu'elle soit à l'aise ici, je venais lâcher le volant pour mettre sa main sur la mienne. J'entre-laçais mes doigts avec le sien, je savais qu'elle serait à l'aise ses mains avec les miens. On est seul sur la route, on peut rouler lentement Je regardais la jeune femme dans les yeux, pour qu'elle voit ma franchise et mon plaisir à la protéger. Je roulais sur une ligne droite, je n'étais pas obligé de regarder la route.. Déjà que j'avais un bon niveau en voiture, aucun point retiré sur mon permis. C'était un talent, non ? Je l'entendais déclarer qu'elle s'apeller Katie, et toute les dérivations. C'était un magnifique prénom, si mignon et si beau.. Sa aller super bien avec sa corupulence, avec sa façon de parler. Il y avait toute sorte de noms en Amérique, celui là allait parfaitement avec elle.. C'était comme si, on lui avait donné son prénom à deux ans.. Lorsque sonc aractère était forgé. Elle me reposait la même question, ça voix était mignonne et douce.. En écoutant sa voix, c'était comme si, son passé rotantissait dans sa voix. Je n'avais pas honte de dire mon prénom, juste que je n'aimais pas qu'on m'apelle James.. C'est pas très beau, je trouve. James, tu peux m'apeller Jamie, ou Jamou.. Je voulais qu'elle se sente en sécurité, donc qu'elle m'apelle de toute sorte. Si elle le fesait, sa veut dire qu'elle me voyait comme un protecteur, comme un frère ou même plus. Je voulais la rassurer le plus possible pour insinuer qu'avec moi, rien ne pouvait lui arriver. Tu n'as plus à t'en faire de ton mari..
Le hasard fait bien les choses : Jamais je n’aurai pensé être aussi proche d’un homme après deux ans de terreur mais James est totalement différent d’Henry : sa posture, sa façon de parler aux femmes et ses gestes ne peuvent qu’être synonyme de protection, d’amour et de respect envers l’autre. Tous n’étaient pas comme Henry, je le comprenais à nouveau et c’était en partie grâce à lui.
En sécurité dans la voiture fermée, je repense à tous les contacts que nous avons eus et à la sensation que ça m’a procurée : électricité, frissons et bien-être. Rien qu’à la pensée, je sens mon rythme cardiaque s’accélérer. « Non ce n’est pas possible Katie ! Arrête ça de suite ! » Cela ne peut pas être possible, « Tu es toujours marié avec ton « ex-mari », tu ne peux pas tomber amoureuse d’un autre. » En plus c’est trop tôt après lui, je ne veux pas souffrir à nouveau, comme j’ai souffert au moment où Henry a changé pourtant je ne peux pas faire comme si je ne ressentais rien pour lui.
Ma main ne reste pas longtemps sur son avant bras, roulant doucement il fait comme il y a quelques minutes avant de monter dans la voiture. Croisant mon regard je me demande s'il sait ce que je ressens et s’il pense à la même chose que moi. Je reste silencieuse pendant plusieurs minutes, ne sachant pas quoi lui dire de plus et pour ne pas trahir une émotion quelconque. Sans lui demander son avis, je pousse sur le bouton de la radio et baisse le son, je ne suis pas fan des chansons à tout casser… Lorsqu’il me dit son prénom et ses surnoms je souris. « Enchanté monsieur Jamie. »
Lorsqu’il parle de mon mari. Je soupire en le regardant. « Tu veux parler de mon ex-mari ? Car oui ma décision est prise. Demain faut que je fasse les démarches mais je ne sais pas comment faire ? Par où commencer ? » Soit par le commissariat, soit par le juge ou bien par l’hôpital pour un certificat médical. Posant sa main entrelacée avec la mienne, sur mes cuisses et regardant un point fixe devant moi. « Je… je sais pas si j’arriverai toute seule... Tu pourrais être là ? S'il te plait ?» Dis-je d’une toute petite voix et en le regardant dans les yeux.
Kiss me hard before you go. Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. Got my red dress on tonight. Dancing in the dark in the pale moonlight. Done my hair up real big beauty queen style. Highheels off, I'm feeling alive. Oh, my God, I feel it in the air Telephone wires above are sizzlin' like a snare. Honey I'm on fire I feel it everywhere. Nothing scares me anymore. Kiss me hard before you go; Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. summertime sadness...♪
Dès que je suis arrivé à Burlington, je savais qu'une nouvelle vie commençait. Je ne savais pas si c'était une vie normale ou une vie parfaite, mais je m'en foutais car même se qui allait se passer, c'était une vie formidable. Une vie formidable n'est pas faite de rencontre qui dérive en faisant l'amour, une vie formidable n'est pas faite de personnes qui viennent négativement ou pire. Une vie parfaite n'est pas faite " lisse ", ce n'est pas une vie " pré-organisée ". On dit souvent que la vie réserve des surprises, et c'est ça qui prouvent que chaque vie est différente. Nous aurons pas les même surprise, nous aurons pas les mêmes problèmes, les mêmes maux.. Mais on a tous deux vie.. La première commence lorsqu'on naît. La deuxième commence lorsqu'on a compris que la première était finie. La vie n'est pas une simple période d'existance, derrière se cachent des centaines de scientifique qui cherche de résoudre des équations sur la vie.. Mais retenons, qu'on a une seule vie, il faut en profiter et la croquer à pleines dents, car qu'en elle ne sera plus là, vous ne pourrez plus le faire.
Ma voiture éclairait la façade des immeubles, les panneaux de signalisations, les bandes luisantes.. Le paysage était semblable à celui d'un film apocalyptique.. Après la tempête, il n'y avait plus personne.. Qu'un couple dans une voiture, valant plus de 34 000$. C'était une fierté pour moi, mais je ne voulais pas la vendre, c'est le seul souvenir, après mon chien de mes parents. Je ne pensais pas qu'elle allait être aussi à l'aise.. Mais j'entendais la musique qui diminiuait en volume. Je l'entendais me proposer de la suivre, et l'aider.. Mais bien sûr que j'allais l'aider, la soutenir. Il fait aller voir un juge, et ensuite un avocat, il me semble. Je serais toujours là pour te soutenir, Kat'. Je regardais la jeune femme dans les yeux, pour qu'elle voit ma franchise et mon plaisir à la protéger. Je ne m'y connaissais pas en procédure de divorce, mais je me sentais obligé de l'aider. Je lui soutiendrais jusqu'à ma mort. Je voulais faire preuve de franchise, jusqu'à ce qu'elle comprenne qu'avec moi, elle pourra tout faire. Je ne suis peut-être pas, le meilleur camarade pour une procédure de divorce, mais j'ai de bon arguments.. Et de preuves, je suis " témoin ". C'est possible qu'il divorce, et je l'espère fort.. Car je ne souhaite pas la voir souffrir. Avec Jamie, les problèmes, c'est finis ! je disais ces paroles en rigolant, le sourire aux lèvres.. C'était presque un slogan de propagande.. Ahah
Lorsque je suis arrivée ici, ma petite sœur m’avait parlé d’une nouvelle vie mais je ne l’avais pas crue à cause de l’état dans lequel je me trouvais. Je broyais du noir et n’étais plus très positive, vivant dans la peur constante de retrouver mon mari violent. Aujourd’hui ma pire crainte est arrivée, mais je vois enfin la lumière au bout du tunnel. Malheureusement, je ne dois pas me réjouir trop vite : connaissant Henry, il est capable de tout et j’ai un peu peur qu’il n’accepte pas le divorce et qu’il refuse de signer les papiers. A Paris, le divorce pour cause de violence conjugale est considéré comme cause aggravante et donc favorable dans la décision du juge. A Burlington je n’en ai aucune idée et j’espère que c’est le cas. Dans mon malheur, je ne suis pas toute seule contrairement à Henry, qui ne pourra pas nier les faits, vu que j’ai déjà au moins trois personnes au courant des traitements qu’il me faisait. Même s’il faut que je retrouve l’inconnu de la fête d’intégration dans la ville ce qui risque d’être un peu compliqué mais j’ai bon espoir… Lui qui cherchait aussi à m’aider !
Laissant Jamie me conduire où il le souhaite, je réfléchis à mon futur encore très incertain mais plus libre qu’auparavant. J’étais devenue mannequin, photographe et blogueuse mais j’avais du arrêter à cause du comportement de mon ex. A ce jour, je pense recommencer ce métier qui m’est cher avec de nouveaux clients et de nouveaux collègues. D’ailleurs une idée me trotte en tête : James est un assez beau garçon, il pourrait faire partir de mon équipe, s’il le souhaite…
Lui non plus ne sait pas quoi faire dans cette procédure de divorce, il me conseille d’aller voir un juge et un avocat. Je soupire… Je sens que ça va être long et pénible… A sa dernière parole, je souris et rougis. Je sais que je peux compter sur lui et ça me rassure plus que ça ne devrait : « Merci Jamie, tu ne peux pas savoir combien ça me rassure de savoir que tu me soutiendras. » Je suis quelqu’un d’honnête alors autant le lui dire tout de suite, puis comme ça, je ne donne pas l’impression que je m’en fou de ce qu’il propose comme aide. « J’espère juste que le juge ne demandera pas à nous voir Henry et moi, seul à seul, même avec nos avocats dans son bureau. Je ne me sens pas capable de le revoir tout de suite. » Ma parole cache un double sens, oui je ne veux plus voir Henry seule à seul car j’ai peur et que je ne suis pas prête. Mais je tente de dire à James qu’il est important pour moi qu’il soit là, à mes côtés pendant toute la procédure.
Croisant son regard, je ne doute plus de son aide et de sa franchise même si j’avais un peu peur, qu’il ne se force à m’aider mais mon instinct me disait que non. A sa dernière phrase, je souris et un petit rire sort de mes lèvres. Le premier depuis des années. « J’espère bien Jamie… car là je sature un peu avec eux. » Dis-je en resserrant mes doigts sur sa main avant de changer de sujet ne voulant plus parler de cette soirée catastrophique et magique à la fois et pour connaitre un peu plus l’homme en face de moi. « Cela fait longtemps que tu es à Burlington ? Tu fais quoi comme travail ? »
Kiss me hard before you go. Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. Got my red dress on tonight. Dancing in the dark in the pale moonlight. Done my hair up real big beauty queen style. Highheels off, I'm feeling alive. Oh, my God, I feel it in the air Telephone wires above are sizzlin' like a snare. Honey I'm on fire I feel it everywhere. Nothing scares me anymore. Kiss me hard before you go; Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. summertime sadness...♪
Je n'ai jamais été confronté à ce problème, le divorce. C'est quelque chose de difficile.. Mais pour le demander, il faut avoir des vraies preuves, des vrais arguments, pour prouver le divorce. C'est une étape difficile dans la vie d'un adulte, même si elle est facultative. Je n'aurais jamais recourd a cette épreuve, car lorsque j'aime une femme, je l'aime de tout mon corps. Je ne trahirais jamais une femme, car celle que je choisirais celle qui me conviendra le plus. Celle qui fera toute sa vie avec moi.. Je n'aurais jamais eu le toupet de trahir une femme pour une autre.. C'est pas très respectueux pour une femme de la trahir pour une autre, on conquiert son coeur pour un autre coeur.. Une femme a des valeurs, il faut les respecter, il faut les encourager à développer leurs valeurs. Car chaque personne a des valeurs, et une personne qui veut nier aux valeurs d'une femme n'est pas une vraie personne, un ennemi du monde. Dévaloriser une personne est un crime, un crime qui est sévèrement jugé.. Je suis peut-être philosophique avec les valeurs, mais c'est une règle importante pour le bien être d'un homme. Je tiens à ce qu'elle soit respecté.
Je tenais sa main gauche avec ma main droite, nos doigts entre-laçés. J'adorais être assi proche d'une femme, sentant sa présence si proche de moi.. J'aimais, mais j'espèrais qu'elle adorait aussi, car c'est le maitre mot de la situation est la sécurité. Après ce qui vient de se passer, la sécurité est la chose la plus importante. Je m'arrêtais sur le bord de la route, en pleins milieu de l'autoroute. Je ne voulais plus entendre le ronronnement de la voiture qui nous gênait. J'entendais mieux sa voix douce et gazouillante me remercier et me déclarer que ça allait être dur. La regardant droit dans les yeux, je la voyais se mordre la lèvre. Je savais que j'allais être important à ces yeux.. Que j'allais la soutenir pendant de long moment. C'est le plus important pour une femme, d'être soutenue dans les moments difficiles. Ce n'est pas une insulte, mais une femme à toujours besoins de soutien dans les moments durs, dans les moments où elle ne peut pas rester seule. J'avais toujours le sourire aux lèvres, après avoir dit mon slogan. Elle l'avait aussi. Son sourire était angéliquement beau, si beau que je me noyais dans la couleur de son rouge à lèvre, un rose pâle similaire à rose, la fleure. Il y avait un silence camouflé par nos rires.. Je l'entendais faire des preuves scientifiques en disant que ça sature.. Qu'elle ne pouvait plus se retenir de rester dans l'ombre. Je sentais ses doigts se serrait à ma main, c'était une sensation incroyable.. Sentir l'envie de protection entre ses doigts. Je l'entendais me demander depuis quand je suis à Burlington. Je voulais faire preuve de franchise.. Pour la femme, qui doit avoir de l'affection. J'y suis depuis 1 ans.. Ou même moin, et toi ? Je savais que l'ancienneté ne changerait jamais notre relation, entre nous deux. Je voulais savoir elle fesait quoi comme métier, car c'était peut-être une star de la mode, ou même une star de la chanson. Elle avait le physique quoi, c'était une femme magnifique, elle choisissait ses vêtements avec soin, car même ses vêtements allaient avec elle. Tandis que les hommes, s'en foutait un peu, tant qu'on était pas torse, nu.. C'est bien. Tu fais quoi comme boulot ? Moi, je suis chômeur, c'est un beau métier, faire le ménage chez lui, non ? Une étude scientifique prouve que l'humour règle beaucoups de problème, que ça soit physique que psychique.
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