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  Les mains pleines

Je n'étais pas particlièrement interessé par la cuisine, mais la faim n'est pas très une excuse valable pour mourir.
Je ne sais pas pourquoi je n'étais pas découragé pour aller au supermarché.. Mais j'y allais avec la bonne humeure.
C'était comme un défi pour d'y aller, car je n'y allais pas souvent. J'aimais sortir de chez moi, et faire de novuelle rencontre.
Je ne suis pas le mec le plus sociable mais monsieur tout le monde est mon ami. Et je ne m'en lasserais jamais.
Ma grande villa devait être deserté en mon absence, malgré que Dude y soit, mais une chienne dans une si grande villa.
C'est une aiguille dans une boîte de foin, c'est une façon de parler. On attendrait ses aboiements à plus de 10 km.
J'étais venu chercher des légumes et des fruits.. Car je me lance un régime, je sais que je suis pas gros, mais je mangeais trop c'est temps-ci.
Je finissais les courses après 30$ de courses, j'avais juste un sac dans ma main droite, il était léger ou c'était mes muscles.. La musculation, sa sert à quelque chose.
La caissière était particulièrement aimable, en me fesant un légère réduction, voyant que je n'avais aps pour beaucoups.
J'aime bien les personnes comme ça, car ils font des bonnes actions et pas des moindre.
Après avoir passé la caisse, je voulais prendre exemple sur la caissirèe, dans mon champs de vision.. Il y avait une jeune femme qui n'arrivait pas à sortir du centre.
Je savais que ça allait être ma bonne action, je l'avais vu de tellement loin, que je savais que c'était la bonne.
Elle était tellement belle et volumineuse qu'on ne pouvait pas la rater.
Son bronzage foncé mais pas trop, en fesait sa particuliarité. Digne d'une vraie mannequin.
Je m'approchais rapidement d'elle, je marchais en fesant des pas bruyants pour qu'elle m'entende.
Je ne voulais en aucun cas qu'elle ai peur de moi, et je suis loins d'avoir la tête d'un sérial killer.
Mon diction était 'rapide et efficace'. Et je le mettrais en pratique à chaque fois que j'en aurais besoins.
Je prennais rapidement ses sacs de courses avant même qu'elle ne puisse m'assigner un pardon .
Avec ma rapidité je pouvais paraître tel un voleur, mais je me retournais me rendant face à elle, ne regarde se croisaient.
« Je vous en prie. Où est votre voiture ? » disais-je de ma voix rauque et fluide.
J'attendais patiemment sa réponse, en ouvrant la porte d'une pression de mon dos.
Je pouvais paraître macho, mais c'était ma nature, et j'étais loin de changer, car c'était moi.

  Les mains pleines

Je n'étais pas le genre de gars à faire des bonnes actions toute la journée. Ce n'etait pas que la jeune femme m'intéresser, juste que je voyais qu'elle était en galère. Je suis un homme aimable et macho, je dois en faire preuve quand j'en ai l'occasion. Et l'occasion s'était présenté à moi.. Une jeune femme, les mains pleines n'arrivaient pas à porter ses sacs de courses. Elle paraissait bien embêtée avec tous ses sacs. Mais je n'ai pas rigolé une seule fois car ça ne se fait pas, mais pas du tout. La moquerie est un vilain défaut, ou peut-être que les autres personnes seraient passées droite. Et n'aurait même pas regarder la jeune femme.

Je portais ses sacs de course, qui n'étaient pas aussi lourds qu'ils en avaient l'air. La musculation est le résultat des bonnes actions. Je l'attendais pour faire où était sa voiture, mais elle était encore sous le choc. Je l'ai peut-être effrayé avec ma rapidité. Car lorsque quelqu'un te prend tes sacs.. C'est un vol, sauf que là.. Ça n'était pas le cas. Je ne savais pas ce qu'elle fesait avec tout ça, mais heureusement que je suis intervenut. Les sacs pouvaient peusés plus lourds qu'elle. C'est incroyable. Elle m'exclamait que sa voiture était une AX grise en me pointant du doigt sa voiture. Je fixais éperdument sa voiture car ce n'était pas la meilleure voiture du monde. Une voiture aussi petite que ça ne pouvait pas loger tout ses sacs de course, et avec nous dedans.. Le moteur de démarrarait jamais. Nous marchions tout les deux, en direction de sa voiture lorsqu'un idée me traverse le crâne, pas la,meilleure mais la plus sociale. Je sentais qu'elle voulait prendre les sacs dans mes mains, mais je persistais en serrant mes mains sur la poignée des sacs. Je l'entendais encore et encore me remercier, alors que c'était juste une bonne action. Rien de plus.
« Il n'y a pas de quoi. Mais je ne pense pas que tout ses sacs rentrent dans cette voiture. Vous voulez venir ?  ? » disais-je de ma voix rauque et fluide.
Je ne savais pas si elle allait accepter ou pas, mais dans tout les cas, nous allons gardés contact. Je ne voulais pas la pressée à l'idée de prendre ma voiture, je voulais juste proposer une solution.. Car cette voiture était loin d'être un chariot.