Roulant sur l’autoroute, je me demande bien où il m’emmène. Pas parce que j’ai peur, loin de là mais j’aime savoir où je vais et c’est ainsi depuis que je suis toute petite. Mes parents n’ont jamais pu me faire de surprises. Je suis une fille qui n’aime pas les surprises même les plus belles ! Enfin peut-être que quelqu’un me fera changer d’avis là-dessus. Il n’y a que les cons qui restent planté sur leur position. Interloquée de voir la voiture qui s’arrête au bord de l’autoroute je lui demande : « Pourquoi tu t’arrêtes ? Il y a un souci ? » Dis-je d’une voix inquiète, passant ma main libre sur son avant bras et le regardant dans le blanc des yeux.
C’est fou comme une personne peut vous changer en quelques minutes. Certes il me faudra du temps pour certaines choses mais je sais que si c’est avec James, je redeviendrais heureuse comme dans mon adolescence mais je ne sais pas si c’est réciproque mais je pense avoir ma petite idée. Rien qu’à y pensée je rougis à en devenir comme une tomate. En espérant qu’il ne pose pas de questions de pourquoi ce changement de comportement soudain. Je me concentre alors sur ses paroles, c’est un petit nouveau comme moi... enfin moins que moi tout de même. Je le regarde dans les yeux : « Depuis seulement une semaine » Je sais que le fait que nous soyons nouveaux ne changera rien, au contraire ça pourra nous rapprocher. On pourra visiter la ville tous les deux ou voyager ensembles tout court. Cette idée m’emballe, tout comme mon rythme cardiaque. « Il faut que tu te calme Katie, rien n’est définitif et tu sors juste d’une relation difficile. Prends ton temps ! » Nous parlons ensuite de nos métiers, le fait qu’il soit chômeur ne me dérange en rien. Je souris et ose lui dire avec fierté : « Un très beau métier. » avant de continuer : « J’ai plusieurs métiers. A Paris, j’ai d’abord été mannequin dans une agence mais ça ne me plaisait pas alors avec des amies, nous avons ouvert un site de mode. Je suis devenue blogueuse tout en restant mannequin. Ensuite j’ai fait une formation de photographe pour être complète concernant mon travail de blogueuse. Malheureusement j’ai arrêté de travailler à cause de Henry : mais je pense que je vais reprendre ce boulot, faire des recherches de mannequins et de photographes. » Bien-sur j’ai mon idée, mais je n’ose pas la poser. Rapidement devant le silence qui s'installe je demande d'une voix rapide: « Cela te dirait d'être mon premier mannequin à Burlington ? En plus tu verras, je suis sympa comme patronne » Dis-je en rigolant avant de tenter un petit bisou sur sa joue pour qu'il accepte plus rapidement et le remercier de tout ce qu'il fait pour moi
Kiss me hard before you go. Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. Got my red dress on tonight. Dancing in the dark in the pale moonlight. Done my hair up real big beauty queen style. Highheels off, I'm feeling alive. Oh, my God, I feel it in the air Telephone wires above are sizzlin' like a snare. Honey I'm on fire I feel it everywhere. Nothing scares me anymore. Kiss me hard before you go; Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. summertime sadness...♪
Depuis que j'avais quitté Phoenix pour venir à Burlington, je n'avais jamais eu de métier. Je ne suis pas fier mais je ne peux rien y faire. On me refuse tout le temps, car je suis souvent trop âgé. Mais qu'est-ce qu'on s'en fou d'être vieux ou pas ? L'âge n'est qu'un détail, comme dans une relation. C'est peut-être mieux d'être vieux que jeune, lorsqu'on est vieux, on a plus d'éxperience, plus de professionalisme. Mais seul, les vrais travailleurs savent ce que c'est d'être vieux et demander un emploi. C'est différent d'être vieux que d'être jeune. Même si tout le monde passe par là, après avoir passer la quarantaine. C'est bourré de stéréotype car on dit souvent qu'après avoir passer la quarantaine, c'est la pire période de notre vie. Mais c'est faux, c'est la meilleure en vérité, lorsque tu es libre, et que tu peux faire tout ce que tu souhaite de A à Z. C'est vrai qu'on commence à boiter, on commence à vieillir, à avoir des rides, ect.. Mais ce n'est qu'un détail, c'était le physique. Si c'est le physique, ce n'est qu'un détail, le physique n'est qu'un petit pourcentage de la personne que tu aimes, ou même toute les personnes. Chaque personne a un caractère et une âme, c'est ça qui fait la personne. C'est peut-être un crime, de juger sur le physique, mais la plupart des personnes le font. Comme, le font la plupart des applications de rencontre, comme Tinder.. En jugeant que sur le physique. C'est pour ça, que je ne les ai jamais utilié, c'est nous prendre pour des cons ou quoi ? Enfin' moi, surtout. C'est comme si toute les valeurs que Dieu nous a donné, partent en poussière, seul le physique reste, alors que c'est le plus inutile.
Nous étions arréter, sur la bande d'arrêt d'urgence, comme si nous avons un pneu crevé. Mais je vois que c'est pas que les personnes, car Kat' me le demande aussi. Je la voyais un peu stressé, à l'idée d'être au milieu de l'autoroute. Le bruit de moteur m'agassait, reste calme, il n'y a rien de grave. Avec ma voix raque, son stress venait chuté, il disparaissait de plus en plus. Je la voyais reprendre la couleur de sa peau, basique.. Beige claire, ça allait mieux avec son rouge à lèvres. Je me sentais plus à l'aise avec Kat', comme si le temps passait largement plus vite. C'était pour moi, une amie d'enfance à qui je donnerais la lune pour son bien-être. Je la voyais légèrement rouge, mal-à-l'aise de dire qu'elle est nouvelle.. Mais ce n'a changerais rien à notre relation, je l'aiderais toujours jusqu'à la mort. Je voulais la soulager car, je la voyais perdre tout ses moyens, légèrement la parole. Je te ferais visiter, la boîte de strip-tease, non je rigole.. J'étais légèrement de bonne humeur aurjourd'hui. Je fesais preuve d'humour, bien sûr car j'adorais déjà son léger sourire angélique. Il était tellement beau, qu'un baiser errant pouvait arrivé. Mais je n'étais pas le seul, elle me fesait rire, aussi. Car elle appréciait mon travail, qui est chômeur.. C'était un vrai petit mensonge, je pense. J'avais les yeux énormes avec son historique de travail, elle n'en a pas un seul. Elle avait le corps qui allait avec bien sûr. Mes pensées étaient vraies, c'était une mannequin, ce n'était pas négatif, mais je ne me doutais pas du tout. Je savais avec son corps parfait, son visage d'ange que c'était une mannequin. Je savais que tu étais mannequin, tu es si belle. Je la complimentais encore et toujours que je disais la vérité. Son corps était digne d'une vraie mannequin, je ne dis pas que c'est une fausse, juste qu'lle devait paraître dans les journaux, dans le Time Magazin. J'étais tout rouge, car avoir une mannequin devant soi, ça procure des émotions fortes. C'est bizarre de défendre une mannequin, qui doit avoir beaucoups d'argent. Mais je la défendrais toujours, même si c'était une mannequin. J'étais un peu fier qu'elle me demande d'être son premier mannequin, mais j'étais loin d'être un mannequin, et aussi beau qu'un mannequin. Je veux bien, mais j'en suis capable ? Je suis loin d'être aussi beau qu'un mannequin professionnel. Je voulais savoir, si elle me complimenterais aussi.. Je suis sûr qu'elle le ferait, elle ne propose pas à n'importe qui d'être son mannequin. Je suis peut-être un bon choix, peut-être pas. J'espère que ça sera une bonne patronne, car si elle sort le fouet.. J'espère que tu ne sortiras pas le fouet.. Et je ne parle pas de celui de cuisine.
« Satanée société. » Aujourd’hui il est si difficile de trouver du boulot. Heureusement pour moi, je ne suis pas dans cette catégorie là de personne mais ça me fait mal pour ceux qui n’en ont pas. Les directeurs sont difficiles : ils veulent des jeunes avec de l’expérience, hors généralement les jeunes adultes sortent de plus en plus tard de l’école, n’ont pas beaucoup d’expérience donc on ne les prend pas. Et inversement : ceux qui ont de l’expérience, sont trop vieux : coute trop cher et on ne les prend pas non plus. Il faudrait faire un choix et savoir ce qu’ils veulent. Une autre chose qui m’énerve dans les métiers, c’est ceux qui regardent le physique des personnes qu’ils embauchent. Je peux comprendre que ça peut donner une idée mais ça peut devenir vite discriminatoire ou raciste et ça je ne supporte pas. C’est pour ça que, en tant que patronne de mon blog, je prends parfois plusieurs mannequins d’origine et de corpulences différentes.
Arrêté sur la bande d’arrêt d’urgence, je stress un peu mais celui-ci me rassure très rapidement. Je souris comme seule réponse avant de lui dire : « Tu sais que tu es entrain de faire une infraction là… Car il n’y a aucune urgence à ce que je sache » Dis-je en souriant avant de m’étouffer avec ma salive quand il parle de boite de strip-tease. « Hey oh tu veux ma mort toi ! Cela n’a jamais été mon truc et ça ne le sera jamais. » Même si je le disais en blaguant c’est la vérité. Je respecte le travail de ces filles mais voilà ce n’est pas mon truc c’est comme ça.
Je continue à le fixer et la tête qu’il fait quand j’énonce mes métiers me fait rigoler. A croire qu’il a vu un monstre… A mon tour, je fais cette tête quand il me dit qu’il savait que j’étais mannequin car j’étais si belle. Je dépose mon doigt de libre sur ses lèvres pour l’empêcher de dire plus de bêtises : « Arrête de dire des bêtises, je suis loin d’être belle » Je pense évidemment à quelques cicatrices que je possédais à cause d’un con nommé Henry. Heureusement certaines se trouvent sur des parties du corps cachées mais je sais qu’elles sont là et ça me ruine le moral. Je retire mon doigt mais quelques minutes plus tard, je suis obliger de le remettre car il raconte encore des carabistouilles : « Je suis sur que tu en es capable. Au pire tu apprendras avec moi. » Dis-je en rapprochant ma tête de la sienne et parlant plus bas avant de rire à sa dernière paroles : « Tu es vraiment drôle toi. Je n’y avais jamais pensé à ça… On verra si tu es gentil sinon tu sais à quoi t’en tenir ! » Très rapidement, je rougis, ne sachant pas pourquoi j’ai dit ça… « Désolée les paroles ont dépassé ma pensée. »
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Mannequin, c'était comme un rêve d'enfant d'être mannequin. Je sais que je ne le serais jamais, mais avec Katie, c'est une pré-saison. Je suis loin d'être beau, mais c'était un peu pour avoir un métier, pour avoir une occupation à part traîner dans les bars. Ca me tenter tellement, d'être tout le temps au prêt de Kat', pour la protéger, tout le temps. C'était peut-être pas le métier qui m'allait le plus mais c'était pour moi un rêve de gosse. Je savais qu'en ayant ce " job ", je n'évoluerais pas jusqu'à venir dans l'une des plus grandes écoles de maquinnat. J'ai tellement voulu faire ce métier que même si je n'évoluerais jamais, je me ferais plaisir à poser. C'était bizarre d'accomplire un rêve d'enfant, grâce à une femme qui venait de loin, de son mari, saoûlard. Ce n'était pas simplement pour lui faire plaisir, car je voulais le faire, posait devant son objectif. J'adorais être devant un objectif, car ça prouve qu'on n'est peut-être pas beau, mais pose pour des caméra. Ce n'est pas le physique qui fait le métier, et j'en suis la preuve parfaite. Mais, je m'éclatais bien a être chômeur, libre de faire ce que je veux, libre de faire ce qu'il se présente à moi.
Je l'entandais craindre que j'étais en infraction, car j'étais arrêté sur la bande d'arrêt d'urgence, alors que ce n'était pas urgent. Mais il était minuit, donc il n'y aucunes patrouilles qui peuvent nous voir.. De toute façon, je n'avais pas d'autres lieux à part chez moi, mais c'était un peu direct. Je n'avais pas peur de me prendre une amende, car c'était juste une amende, je ne suis pas riche, mais j'étais capable de la payer rapidement. Tu penses vraiment que quelqu'un peut nous voir ? Il est minuit.. Ma voix rauque fesait un peu peur, mais c'était ma voix du quotidien. C'était peut-être un peu flippant dans le noir, en pleins milieu de la route, mais je n'avais pas d'autres endroits. J'adorais être seul à seul avec une femme, n'entendre que sa voix douce et gazouillante. Elle était si belle et tranquillisante, ça voix que je pouvais l'entendre jusqu'à ma mort. Je n'aurais jamais voulu la faire peur avec la plaisanterie du strip-tease, mais je pensais pas qu'elle allait aussi mal le prendre, même pas un petit sourire. J'ai faillit lui faire un bouche-à-bouche, en voyant qu'elle s'étouffait. Au départ, deux minutes après notre rencontre, elle paraissaît tout timide.. Toute reservée, mais maintenant, c'est différent, c'est elle qui parle. J'aime qu'elle se sente à l'aise, prouvant qu'elle se plaise ici. Je sais qu'elle n'y resterait pas des heures mais elle n'était pas clostrophobe. Et bien heureusement. J'avais ôsé lui complimenté, mais elle ne voulait pas recevoir ce compliment qu'elle était belle. Ca ne change pas notre relation, mais moi, j'en serais fier. C'est tellemet bien de se sentir beau. Mais au fond de moi, ma pensée était toujours vraie, elle était magnifiquement belle. Elle était timide au début, mais je sentais son doigt sur ma bouche, insinuant de me taire. Je ne fesais que ce qu'elle m'ordonnait, psychiquement, je me taisais. Je l'entendais dire que j'allais m'habituer, mais c'était sûr que j'allais être plus fort. Je deviendrais le meilleur mannequin du monde ! Je veux bien que tu m'apprennes. Je suis une fille maintenant alors! De ma main droite, je fesais un hairflip, en mettant en valeur ma cheveulure, courte mais belle. Le hairflip est la chose que presque toute les femmes font, pour prouver leurs fierté par leurs cheveux. Je savais qu'elle voulait libérer toute ses pensées, parler avec celui ou celle qu'elle connaîtrait depuis si longtemps, qu'ils n'auraient aucun secret. Je l'entendais prouver que si je n'étais pas sage elle le sortirait. Je pleurais presque de rire, tellement mouvementé par sa parole. Par sa pensée, qui était sortit toute seule. Avant même qu'elle finisse sa phrase, je mettais mon doigt sur ses lèvres, colorées. Elle ne pouvait même pas finir, car je ne le voulais pas, les excuse ce n'est pas important, ce n'est pas aussi important que notre relation. Arrète de t'excuser, ce n'est pas grave.. Vaut mieux que tu dises tout, que tu prennes tout pour toi, et en plus ça me fait rire.. Donc il faut le partager. Je voulais qu'elle dépasse encore plus ses limites, car avec moi, il n'y en a pas. C'est simple.. Tu penses, tu dis.. Le maître mot de ma philosophie de vie. Voulant franchir un cap, je viens souler le haut de mon T-shirt, montrant mes abdos à la jeune femme. Je voulais pimenter un peu cette rencontre, car sa stagner un peu. Je ne sais pas si une fille aurait ça, peut-être toi, hein..
Certains vous diront que je suis belle, j’expliquerai le contraire. Je suis mannequin à petit échelle. Je n’ai pas fait la une des grands magasines mais ça ne m’intéresse pas. Je préfère être indépendante et faire ce que j’ai envie que d’être casée dans une agence et d’être surveillée de partout car oui c’est la grande différence entre mannequin professionnel et mannequin pour le plaisir.
De mon avis professionnel, James est parfait : taille normal, beau comme un cœur et assez musclé. Rien que d’y penser, une idée de séances photos me vient en tête par contre je sèche un peu pour le sujet. Mais avec James à mes côtés, je suis sur qu’il pourra me donner des idées : je suis toujours attentive à ce que mes modèles proposent même si parfois c’est un peu loufoque mais au moins on discute, on se marre et on passe de supers moments ensembles. Je le regarde en souriant avant de lui proposer mon idée : « C’est fou comme avec toi, ça me parait beaucoup plus simple ! Avant que je n’arrête à Paris, il m’arrivait de ne pas savoir quoi faire comme séances photos, j’étais usée et la plupart des idées ne venaient plus de moi. Là j’ai déjà l’idée d’une séance photos : dont le décor serait ta voiture si tu es d’accord avec toi comme conducteur. » Évidemment, pour commencer quoique ce soit, il faut que je trouve un bureau ainsi qu’une pièce qui nous servira pour les photos en intérieur.
Parlant de la bande d’arrêt d’urgence, je hausse les épaules à sa question car je ne sais pas si quelqu’un peut vraiment nous voir à cette heure-ci. Sa voix rauque pourrait surprendre mais moi elle me rassure. Dans d’autres circonstance, j’aurai eu peur mais là je suis rassurée et en sécurité. Je sais que rien ne peut m’arriver avec lui, il est là pour me protéger, du moins aujourd’hui. Rediscutant à nouveau du projet mannequin, sa parole me fait sourire : « Arrête, tu sais qu’il n’y a pas que des filles dans le mannequinat et tu resteras bel homme ne t’inquiète pas ! » Lorsque de sa main droite il fait un hairflip, je rigole en faisant un signe négatif de la tête. « Tu n’es pas croyable toi cela ne te va pas du tout ! » Avant même que je finisse ma phrase, c’est à son tour de poser un doigt sur mes lèvres. Surprise je sursaute mais pas de peur, un sursaut de plaisir peut-être, je fais un signe positif de la tête cette fois pour montrer que j’ai bien comprit la leçon.
Plus haut, j’expliquais que je le trouvais musclé et je ne me suis pas trompée. Il lève son tee-shirt et me montre ses abdos. Je le regarde bouche-bée et en rougissant. « Non Katie, ne regarde pas… C’est une très mauvaise idée… » Sentant mon dos, légèrement douloureux, je change de position et me rapproche doucement de lui, je le regarde dans les yeux et pose mes deux mains à plat sur son ventre pour les toucher et les caresser. Je ne peux pas m’arrêter c’est comme si deux aimants se rencontraient. Je le fixe encore dans les yeux, rouge comme une pivoine en approchant doucement ma tête près de la sienne et déposant un doux baiser sur ses lèvres avant de les retirer comme brulée par ce contact si interdit. Il veut que je ne m’excuse plus et que je dise ce que je ressens : Je venais de le faire… Et j’ai une chance sur deux pour que ça se retombe contre moi.
Repensant à sa dernière phrase, je le regarde à nouveau avant de prendre sa main pour qu’il soulève un peu mon tee-shirt. Personne d’autres n’avaient vu mon ventre et c’était mieux ainsi car il n’était pas si joli à voir, surtout en ce moment. « Peut-être… Quel est ton verdict ? » Dis-je d'une voix fatiguée avant de bailler sans pouvoir le cacher... Prenant les devants je demande : « Je suis un peu fatiguée, on pourrait rentrer s'il te plait ? Mais je n'ai pas envie d'être seule ce soir... »
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Mes atouts, son belles et bien visibles, un corps musclé, un caractère forgé, un visage angélique, et un esprit sein. Tout ça me représente, je ne sais pas si c'est l'homme parfait ou pas, mais c'est moi. J'aurais beau avoir des compliments, je ne me caractériserais jamais de bel homme. Un bel homme est un homme qui se met en valeur, or ce n'est pas mon cas. Je suis un homme normal bousculé par sa corpulence. Je ne prend pas mon physique comme un défaut, ni comme un qualité.. Car lors des fêtes, il n'y a que les jolies filles qui viennent vers moi et je sais que la plupart des jolies filles, ne veulent que faire l'amour. On est vite tenté à Burlington. Et après avoir quitté ma femme, un ama de femme est venu vers moi. C'était presque un cauchemar, une dizaine de femme pour juste une nuit. Ce n'est pas ici, la boîte de nuit, en plus que je m trouvais proche de chez moi. C'était à peine croyable de voir des jolies fait se faire exploiter. Mais, Katie était la seule a ne pas s'etre tenté. Sa se voyait qu'avec son mari, sa allait vachement plus vite.. D'empêcher de faire ce genre de truc. Il n'y a que les hommes et femmes seins qui le savent.. C'est difficile à comprendre, mais facile à employer.
J'avais découvert à l'âge de 13 ans que j'étais très photogénique. J'adore être devant l'objectif d'une caméra. J'aime bien prendre la pose pour des appareils photos, lorsque j'étais petit, c'était de la vantardise. Mais maintenant, c'est une passion, sauf que maintenant, c'est le photomaton. Je n'avais pas vraiment d'objectif certains pour me lancer dans la photographie ou dans le mannequinat, juste pour m'amuser. Pour prendre des poses débiles qui fait rire toute la galerie. J'étais toujours le débile de la classe quand j'étais au collège et au lycée. J'avais des choses dans la tête même plus que d'autres mais je ne les utilisais presque jamais.. Je m'amusais à faire rigoler la classe, car j'avais un superbe humour. Et c'est comme ça, que j'ai rencontré Hope, car j'étais l'un des garçons les plus populaires ( j'étais au sommet de la pyramide ). Hope était une fille magnifique mais pas très populaire, je voulais la faire découvrir une autre facette du collège. Je l'entendais déclarer qu'avec moi, son imagination n'arrêtait pas de fonctionner. J'en étais fier, car je lui procurer d'autres sensations que la peur, la tristesse et le mépris. Bien sûr que je suis d'accord.. C'est bon là ? je prenais une pose ridicule, car c'était un peu dure de faire le photogénique dans une voiture. Mais j'étais penché, mettant mes muscles en valeur tel un vrai mannequin sur le TIME magazine. Je rigolais à tout vas, ne m'arrêtant même plus, c'était pire que le palais du rire dans les fêtes foraines. Sa nous fesais rire, mais pas aussi longtemps que maintenant.. C'était peut-être car une relation langoureuse commence toujours par des rires.. Je la regardais toujours, éclairant la voiture avec ses yeux bleus claires, presque gris et sa cheveulure blonde. Je me noyais dedans, me rapellant les souvenirs à la plage avec mes parents. C'était tellement de bons souvenirs, que je versais discrètement une larme mais, Kat' ne l'avait pas vu, mais si elle la voyait, j'aurais des excuses valables. Sa peut prouver que je suis sensible, mais j'ai toujours un coeur de pierre, prêt à tout pour la protéger, la rassurer. Je l'entend dire que je suis un bel homme et que ma chevelure n'est pas mise en valeur avec un hairflip. Première leçon de la maîtresse. Oui, maîtresse ! Je rigolais toujours, jusqu'à que mon doigt atterrisse sur sa bouche.. Il y avait un silence, jusqu'à ma parole casse le silence. J'avais les abdos à l'air, comme objectif de la caméra. Je sentais les fines et douces mains de Katie, se posaient sur mes abdos. En face des mains lisses et douces, de l'autre côtés, des abdos durs et contractés. Et oui, j'ai beau être musclé, je suis obligé de contracter, ou sinon, il n'y aura qu'un abdal, et c'est le bide. Mes pensées me fesaient rire, tellement que j'avais mes fausettes qui apparaîssaient. Mes lèvres étaient alors caressaient par les siennes, je la voyais timide, mais maintenant, c'est moi le timide. J'avais un plaisir fou à embrasser une mannequin et oui, je prennais rapidement sa joue dans ma main, avant de continuer le baiser. Je bougeais ma langue sir sa lèvre supérieur, demandant le mot de passe pour entrer. Je sentais sa bouche s'ouvrir, je ne pouvais pas m'empêcher de lancer ma langue à l'intérieur. Nos langues dansaient sensuellement à l'intérieur de nos bouches. Je viens retirer mes lèvres de sienne, ma langue à l'intérieur de sa bouche. J'adorais ce moment, ça fesait si longtemps que je n'avais las fait de baiser aussi sensuel. Je sentais toujours ma main tracté vers son t-shirt que je vennais de relever. Avec de l'entrainement, il n'y aura plus rien. Je venais tapoter sur son petit ventre doux, voulant faire ressortir les abdos. Sa fesait si longtemps que je fesais de la musculation, que je devais initier à certaine personne. Je la voyais bailler, en me demandant de l'emmener chez moi.. Je fesais ça de suite, je savais qu'une femme aussi belle, devait dormir.. En plus qu'il était tard, presque une heure du matin. Ma maison n'était très loin, à 250 km. Je prenais sa tête et je viens la a contre mon épaule, sur mon épaule. Elle pouvait y dormir, baver tout ce qu'elle voulait. Si elle s'endormait, je la porterais. -/Arrivé à la maison\- Je me garais dans le garage, voyant qu'elle dormait déjà.. Je venais délicatement la reposer sur son siège normalement, avant de venir la prendre. Je la portais par l'avant, arrivé devant mon lit, fait car je payais une femme de ménage. Je la déposais délicatement sur le lit douillé. Je prenais la couverture pour la mettre sur elle, jusqu'à sa poitrine volumineuse. Je rapprochais mes lèvres de sa bouche, en y laissant un doux baiser. Bonne nuit, Kat'. Tandis qu'elle dormait profondemment, je prennais mon ordi' avant de m'allonger à cotés d'elle. Je n'allais pas dormir cette nuit là, je me rensegner sur la procédure de divorce. La nuit allait être longue, mais je m'amusais quand même en fesant des recherche.
Spoiler:
On continue après la nuit ou pas ? Parce que moi, j'ai envie
Je sais que les filles peuvent être belles et connes. Voilà pourquoi les boites ne sont pas ma tasse de thé : elles boivent, voient des beaux mecs et cherchent par tous les moyens à coucher avec eux. Je suis fidèle et je ne comprends pas très bien ce qu’elles aiment là-dedans surtout que ça peut-être dangereux, enfin bref, je ne vais plus y penser pour le moment.
Quelqu’un qui n’a jamais été dans le mannequinat peut trouver ça facile, mais c’est un métier qui s’apprend. Parfois et surtout sur le tas : Chaque séances est différentes et les poses on ne les apprend pas dans les cours. Pour ma part c’est un peu plus simple que ça : Une agence cherchait un mannequin entre 15 et 18 ans, j’ai postulé et j’ai été prise alors que je n’avais aucune expérience là-dedans et c’est sur le terrain que j’ai tout apprit et découvert. Aujourd’hui, je n’ai pas besoin de formation ou de diplôme vu que c’est une petite boite de mannequinat et un petit site. A sa réponse je suis contente et sourit : « Merci. » Lorsqu’il prend une pause ridicule dans sa voiture, je rigole aux éclats : « Non ce n’est pas bon, il y aura peut-être deux ou trois photos dans la voiture, le reste se fera à l’extérieur. »
Nos regards se fixent et je ne veux en aucun cas que ça se brise. Je crois voir une larme roulée sur sa joue mais je ne dis rien, il pleure peut-être de rire. D’ailleurs très vite, il reprend ses bêtises. « Je n’aime pas qu’on m’appelle maitresse, mon prénom c’est Katie et il est présent pour qu’on s’en serve » Viens ensuite un moment assez agréable et assez « hot » mes mains se posent sur ses abdos contractés et durs, mes lèvres rencontrent les siennes, très rapidement, je remarque que j’ai eu tord de penser qu’il ne ressentait pas la même chose : Sa main sur ma joue, il continue le baiser et entreprend un passe-langue. Les papillons dans mon ventre étaient à nouveau de sortie ainsi que les frissons. « Mon dieu que ça fait longtemps que je n’avais plus ressenti ça, en embrassant Henry. La peur avait vraiment prit le dessus sur l’amour. Je le comprends seulement maintenant » Sa main remonte mon tee-shirt, j’écoute son avis et sourit « J’accepte l’entrainement seulement si c’est toi mon professeur ! »
Cela fait aussi longtemps que je n’ai pas été dormir tard. Avec Henry, j’avais arrêté de l’attendre et mon lit m’accueillait vers 22h au plus tard. C’est pour ça que ce soir mon corps montrait des signes de fatigue. Je le sens prendre ma tête et la déposer contre son épaule. Je l’embrasse sur la joue pour dire merci avant de redéposer sur son épaule où très rapidement je m’endormis.
Je sens qu’on me porte, je suppose que nous sommes arrivés à la maison de James mais je ne me réveille pas. Il me pose sur le lit, me couvre et me laisse un doux baiser sur mes lèvres avant de me dire bonne nuit. Très rapidement après, je sens un poids à coté de moi, il s’est allongé à mes côtés. Quelques heures plus tard, je me réveille en sursaut mais reste silencieuse, j’observe l’homme à mes côtés puis fini par demander : « Tu devrais dormir un peu. Je ne voudrais pas que tu sois fatigué à cause de moi » Je m’étire un peu, ça me fait penser que je n’ai pas prit de douche hier soir et je n’aime pas trop ça. « Excuse-moi, se serait possible de prendre une douche s’il te plait ? Et aurais tu de la crème pour ecchymoses ? » Dis-je avant de lui donner un baiser sur les lèvres et poser ma tête sur son épaule
Kiss me hard before you go. Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. Got my red dress on tonight. Dancing in the dark in the pale moonlight. Done my hair up real big beauty queen style. Highheels off, I'm feeling alive. Oh, my God, I feel it in the air Telephone wires above are sizzlin' like a snare. Honey I'm on fire I feel it everywhere. Nothing scares me anymore. Kiss me hard before you go; Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. summertime sadness...♪
Sa fesait longtemps qu'une femme dormait chez moi, après Hope, lorsque j'étais encore à Phoenix. C'est une sensation bizarre d'avoir une femme qui dort dans le même lit que toi, quand tu peux t'accrocher à elle comme une maman singe à son bébé. Lorsque tu sens son coeur battre, ce battement qui résonne dans ton corps, et c'est ce qui fait passer le temps. Quand tu entends sa respiration, rythmé la nuit avec elle.. Ou même parfois, des ronflements, mais on est pas malade - pas moi, peut-être Katie -. Lorsque tu ne fais qu'un corps avec le corps de la jeune femme, mais lorsque c'est juste des amis.. Il ne faut pas trop se collé, parce que ça pas être encore plus HOT. Mais c'est adorable de sentir une femme se collait à soi, en signe de confiance ou même.. de protection. Mais, dans ma vie, il n'y avait qu'une femme dans mon lit, Hope, il a tout fait avec elle. C'est avec elle que son lit était devenu une demeure. On peut dire que j'étais un pro du sommeil en compagnie, je savais comme m'y prendre, mais avec Katie, c'était elle qui était la femme de maison. Ca fou une sensation incroyable d'avoir un être à côtés de toi, qui pourrait chasser les monstres à ta place. Qui te protégera des cauchemars, qui te réconfortera lorsque tu n'arriveras pas à dormir.. En bref, c'est quelque chose qu'il faut faire au moins une fois dans ta vie.. Dormir avec une fille, mais rien d'autre.
Nous parlons toujours mannequinat, en pensant que j'allais être un super mannequin, mais elle me calmait rapidement, en disant que ça n'allait pas être le lieu parfait dans la voiture. Tout les lieux me vontmoi, c'était juste pour faire le con quand je prennais la pose.. C'était une super pose, n'emêche. Je restais bouche-bée, pas négativement, juste car je n'avais plus rien à dire.. C'est vrai que je parle souvent et beaucoups, mais elle a sû me faire taire. Je voyais qu'elle était exigante, car elle ne rigolait pas que je l'apellais maitresse. Je voulais lui faire rire, mais avec la fatigue, l'humour était transparent. J'adorais qu'une femme, me touche aussi sensuellement, ça me procure des frissons, une sensation d'affection.. Ses lèvres sucrées et pulpeuses fesaient copain-copain avec mes lèvres. J'adorais me sentir libre avec une femme.. Aussi belle, et aussi féminine et moulée. Je pense, que mes abdos aimaient sa aussi, sentir quelque les caressait. Je voyais son petit ventre, presque musclé.. Mais je croyais qu'elle allait refuser, mais.. Elle acceptait mais si c'était moi le prof'. On commence toute suite, 20 pompes.. Quelle blague ! Je voulais la faire rire, depuis qu'elle avait mal prit la blague que j'avais fait. Sa tête n'était pas aussi lourde.. Je pouvais la prendre facilement dans mes bras, peut-être que c'était l'entraînement de la musculation.. La force. Je roulais lentement, pour pas trop agité Katie qui dort.. Sur mon épaule. C'était un poid plume, je la portais facilement. Très facilement même, je fesais du garage à la porte, si facilement.. Que je pouvais faire des allés-retours. Je la jettais sur le lit, sensuellement, pas agressivement.. Je la réveille, je suis mort. C'est peut-être pas très galant.. De jeter une femme pour qu'elle dorme. Après le baiser, que je lui avais donné, je fesais toujours ça au femme avant de dormir. C'est peut-être une habitude, c'est au quotidien.. Que quand il y a une femme dans mon lit, car où sinon ça serait difficile. Après plusieurs heures de recherche sur Internet et plusieurs heures de sommeil pour Katie, elle se réveillait. Elle m'ordonnait de dormir.. Mais, quand je fais quelque chose, je le fais bien.. C'était plus important de chercher comment l'aider que de dormir. C'est plus important, ce que je fais, que de dormir.. C'est pour t'aider. Je ne voulais pas vraiment la contredire, mais je voulais faire preuve de franchise. C'est peut-être parce que la franchise est la solution d'une relation parfaite. Je n'avais pas l'habitude d'être avec une femme aussi à l'aise avec moi. Elle n'avait pas du tout fait preuve de timidité ou quoi. Et c'est ce qui me plaisait en elle, je vois qu'elle cachait bien son jeu.. Elle araîssait si timide, au début. Elle me demandait si elle pouvait prendre une douche, mais je savais que si je disais non, elle allait mal le prendre. Je voulais qu'elle soit propre, même si ça ne changerait rien.. Elle serait toujours aussi belle. Bien sûr, fais-toi belle, et pour la crème, cherche dans le placard. J'avais toujours le sourire, tellement content de mon compliment. Je la voyais aller dans la salle bain, je la respectais, donc je n'allais pas venir avec elle.. Un peu d'intimité, non ? Après quelque minute dans la douche, je voulais savoir si sa s'était bien passé, au cas où elle serait tombé. Tout va bien ?
Lorsque tu as un homme violent à côté de toi, ton esprit se conditionne pour ne plus faire d’erreur et recevoir « bêtement » des coups. Pour ne plus le voir, tu te couche plus tôt et tente de dormir paisiblement pendant son absence. C’est ce qui arrivait chaque nuit depuis plus de deux ans avec Henry. Aujourd’hui, pour la première fois depuis des lustres, j’ai la nette impression que je pourrai dormir des jours pour récupérer ces deux années où mon sommeil a été parsemé de cauchemars. Tout ça car je sais que James ne me fera pas du mal et qu’il fera presque tout pour me protéger.
Lorsque nous parlons du mannequinat, je parle toujours de James en tant que mannequin car pour l’instant, je ne me sens pas encore prête d’être à découvert sur des photos. Peu de personnes sont au courant de l’enfer que Henry m’a fait vivre et j’ai envie que ça reste comme ça. Alors pour le moment, tant que les cicatrices sont encore visibles, je resterai dans l’ombre de l’objectif. En parlant de cicatrices, il y en a d’autres : qu’on ne voit pas mais qui sont plus importantes, alors oui il me faudra encore quelques temps pour être à nouveau à l’aise dans le rôle de mannequin.
Après le baiser échanger, nous parlons du sport. Je n’ai jamais été très sportive dans ma vie. Le plus de sport que j’ai fait c’est quand j’étais à l’école et que nous avions chaque semaine le cours de gymnastique ou le cours de natation. Après avec les sorties, le mannequinat et Henry je n’avais plus le temps pour tout ça. Mais aujourd’hui j’ai envie que ça évolue donc je vais me remettre au sport. Je rigole lorsqu’il propose qu’on commence tout de suite avec vingt pompes. Doucement je lui réponds : « Désolée coach, je ne fais jamais de sport la nuit » Je rougis à cette pensée, une personne trop porté sur la chose pourrait penser que je n’aime pas les relations sexuelles. Ce n’est pas le cas mais pour le moment encore une fois je ne suis pas prête. Les autres cicatrices (celles qu’on ne voit pas) sont là et il faudra du temps pour qu’elles se referment. Enfin bref, je parlais du sport dans une salle de sport et non pas du sport au lit. J’espère qu’il l’avait bien comprit.
Lorsque je me réveille, je lui demande de se reposer, serait-il têtu comme moi ? Même si pour moi ce n’était plus arrivée depuis longtemps… Je l’écoute et fais un signe négatif de la tête tout en prenant doucement le pc de ses mains pour le déposer sur une table de nuit « C’est peut-être pour m’aider, mais imagine que tu tombes malade… Je préfère te savoir en bonne santé pour m’aider que malade… » Ce n’est pas que je ne voulais pas l’aider s’il tombait malade. Quand un ami, ou un petit ami tombe malade, c’est dans le devoir de l’autre de s’occuper de lui. Je le sais fort mais pas invincible, je suis peut-être égoïste mais malade il ne pourra pas me protéger et je n’ai pas envie de ça pour l’instant. Il me sent peut-être à l’aise, peut-être même trop mais c’est une illusion. Il suffira qu’il refuse encore une fois et je laisserai tomber l’affaire. J’ai apprit à ne plus me battre pour ce que j’aime même si c’est une fâcheuse habitude. Quand je parle d’illusion, c’est la vérité : On nous a toujours dit de partir confiant dans la vie même si on sait que ce n’est pas toujours rose. Pour l’instant, j’essaie de me montrer ainsi et ainsi vaincre une partie de ma peur qui reste en moi. Lorsqu’il accepte pour la douche, je descends doucement du lit en souriant, cela me fait bizarre qu’il me demande de chercher dans le placard moi qui n’aime pas, dès le premier jour fouiller dans les armoires. Je rentre dans la salle de bain mais ressort quelques minutes après encore habiller : « Tu peux me donner une serviette et un gant de toilette s’il vous plait ? » Évidemment, je ne connais pas la maison et c’est hors de question pour moi de fouiller sans lui demander la permission. Une fois ce dont j’ai besoin dans les mains, James me laisse mon intimité et ne me suit pas. J’ouvre la douche, m’y place et laisse couler l’eau quelques instants. Le froid du mur, faisant un bien fou sur mes ecchymoses. Quelques minutes plus tard, j’entends la voix de James qui me demande si ça se passe bien. Je souris et tente de contrôler ma voix : « Oui tout baigne. Merci »
Une fois lavée, je coupe l’eau, sort de la douche et m’essuie doucement. Je cherche la crème dans la pharmacie et en met sur mes poignets. Je m’habille puis sort de la salle de bain pour rejoindre James : « J’ai quelque chose à te demander encore… J’ai tenté de mettre de la crème dans mon dos, mais j’ai les bras trop court. Tu peux m’aider s’il te plait ? »
Kiss me hard before you go. Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. Got my red dress on tonight. Dancing in the dark in the pale moonlight. Done my hair up real big beauty queen style. Highheels off, I'm feeling alive. Oh, my God, I feel it in the air Telephone wires above are sizzlin' like a snare. Honey I'm on fire I feel it everywhere. Nothing scares me anymore. Kiss me hard before you go; Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. summertime sadness...♪
Sa fesait si longtemps que je n'avais pas fait de massage. Sa me rapellait lorsque j'allais à la plage, quand j'étais petit, et que ma soeur me demandait encore et toujours de mettre la crême sur elle. Ce n'était pas une épreuve facile pour moi, car sa giclait de partout. C'était presque une épreuve pour voir si j'étais un bon frère ou pas. Mais je redoutais cette é preuve avec cruauté. C'était pire qu'une évaluation à l'école.. Même si j'étais un bon élève à l'école.. Ce qui n'est pas le cas au collège. Je n'avais jamais aimé les lieux pédagogiques, car je voyais au fond de cas, tout les bénéfices qui venaient à eux. Et aucun ne venait à nous' il gagnait des millions en punissant les élèves de contrôle. Tandis que nous, on gagnait de l'intelligence avec leurs punitions. Même si parfois, on n'en gagnait pas du tout.
Depuis mon arrivé à Burlington, je ne suis jamais rentré dans un temple, une salle de sport. Ça peut être paradoxal, vu que j'adore faire de la musculation mais c'est vrai. Je suis peut-être trop vieux, ou pas assez.. Mais je n'y allais pas de si tôt, les entrainements que je ferais avec Katie, seront à la maison. Et que à la maison. Après ma blague des pompes, elle venait de dire une parole qui pouvait attiré les soupçons. Je le regardais toujours et je lui fesais un petit clin d'oeil. Ça ne voulait pas dire que j'étais pervers ou coquin, juste qu'il y avait d'autres sens à cette phrase. J'étais toujours en train d'appuyer sur me touche de clavier quand elle se réveille. Je fermais délicatement mon ordinateur, un Mac Book Pro, ce n'était pas pour cacher ce que je fesais au contraire, ça lui concernait. C'était juste pour prêter mon attention, que sur elle.. C'était le centre de ma vie, de ma nuit. Je ne voudrais jamais la contredire, car ses paroles sont vraies. Il est un peu tard pour dormir.. Mais bon.. Fais comme chez toi.. La maison est grande mais tu t'y habitueras. je venais l'aider à se sentir plus à l'aise en pensant à ce que je ferais aujourd'hui.. Car il doit être 10 heure.. Je rêvais pendant longtemps en fixant la jeune femme, un passé cauchemardesque.. Une histoire que ne jetterait jamais dans ton C.V.. Avant même que l'eau coule, elle me demande où elle peut trouver une serviette et un gant de douche. Je ne pouvais que sourire tellement elle paraissait perdue. Je ne voulais que ça dur,mais son visage angélique me redonnait le sourire à chaque fois que je la voyais. Je me levais lentement, m'approchant d'elle. Je mettais main sur ses fesses volumineuses, car c'était le point guide.. Je ne suis pas pervers, je vous l'assure. Après ça, je le guidais dans la salle de bain. Je montrais du doigt le placard du haut pour montrer les serviettes et la douche pour le gant de toilette. Tu veux que je vienne avec toi ? Je te montrais tout. J'avais dit cela en ne pensant pas à sa réponse, mais elle pouvait à tout moment dire oui, ou peut-être qu'elle ne le prenne mal et qu'elle m'engueule. Je me rasseyais sur le coin du lit, attendant avec impatience la fin de sa douche. Elle m'assurait une affection hors-norme, lorsqu'elle n'était pas là, je me sentais ramoli. C'était comme un pillier pour ma vie, alors que je ne la connaissais que depuis 12 heure. Mais des baisers fûrent échangés, alors le temps ne comptait plus. Et on s'aimait l'un l'autre. Je lui avais demandé, si tout allait bien et elle m'exclame qie oui. J'essayais de voir la vérité au fond d'elle mais ça l'était. Elle devait paraitre si mal dans les bras de son mari, mais ce n'est pas grave.. On ne parle plus de se vaut-rien. Si tu as besoins de T-Shirt' tu me dis, je t'en prêté ça fera une robe. Je voulais qu'elle se laisse aller avec moi, les limites qui s'étaient respectivement posées en elle devait rapidement disparaître. Aprés avoir entendu l'eau se coupait, une lueur de fierté s'était allumée en moi, preuve que tout c'était bien passé. Je la regardais, toute séchée, mais les cheveux légèrement dégoulinant. Elle me demandait si je pouvais lui mettre de la crème, bien sûr que je le pouvais. Je la prennais par la main, pour ensuite l'emmener sur le lit, dérangé et blanc. Elle était allongée sur le ventre que je venais m'assoir sur ses fesses. Je n'avais pas répondu à sa question, mais elle pouvait s'en douter, c'était un oui. Je le vais légèrement son t-shirt, pour voir son dos.. Presque parsemés d'ecchymoses. Mais sa ne changeait pas mon avis, j'allais'lui faire un massage, l'un des meilleurs. Je mettais légèrement de la crème sur son dos' avant de l'étaler. Je fesais des va-et-viens sur son dos pour étaler la crème. Bien sùr, je le fesais sensuellement, il n'y aurait plus de plaisir si c'était brutal. Je continuais le massage, quand Dude arrivait en courrant. Elle sautait sur le lit avant même que je ne dise un mot. Elle me léchait les genoux, car elle ne m'avait plus vu depuis si longtemps. Elle m'a manqué aussi. Dude ! Qu'est-ce que tu m'as manqué toi.. Je la voyais renifler le dos de Katie, comme si elle l'aimait déjà. Je ne savais pas si Katie avait peur des chiens ou quoi mais on dirait que non. Elle restait allongé, en regardant Dude. Dudé je te présente Katie, Katie je te présente Dude Dude était tout fou en ce moment, il reniflait partout et sautait partout. Il paraîssait tellement heureux avec Katie. C'était un bon signe, si ils s'aimaient bien car ou sinon.. Je ne préfère même pas imaginer. J'avais fini le massage de Katie, je me levais de ses fesses avant même que Dude saute sur moi. C'était un chien si mignon et attendrissant.
« Ils sont quand même sympa les parents hein ! » Quand tu es enfant, ils ne te demandent pas ton avis pour une petite sœur ou un petit frère mais quand il/elle est là, ils te le/la mettent dans les pieds et tu dois t’occuper d’il ou elle. Enfin bref pour moi ce n’était pas la fin du monde car j’ai toujours été proche de ma petite sœur et c’est souvent lors de ces moments qui sont devenus nos meilleurs moments. Mais celui que je redoutais c’était la plage, j’ai toujours été maniaque et devoir mettre de la crème à ma petite sœur (même quelques secondes) était un vrai supplice. Les mains collent et sont bizarres. Heureusement la mer n’était jamais bien loin pour pouvoir me les laver.
Il ferme son ordinateur lorsqu’il me dit qu’il est un peu tard pour dormir. Je fais un signe de tête négatif : « Il n’est jamais trop tard pour dormir ! Il y a bien des gens qui font des siestes. » Il est déjà beau en temps normal, mais je voulais le voir en train de dormir. « Non pas que j’allais le violer hein ! Mais c’était juste pour voir. » Enfin j’aurai surement l’occasion mais pas tout de suite car ce n’était pas dans mes projets proches d’habiter avec un autre homme. Lorsqu’il me dit que je peux faire comme chez moi, je ne montre rien mais je ne suis pas d’accord. Nous, nous ne connaissons pas encore assez pour que je fasse comme chez moi en tout cas s’il venait chez Amy, je ne voudrai pas qu’il fasse pareil.
Après avoir demandé ce dont j’avais besoin, je le vois se lever et s’approcher avant de mettre une main sur mes fesses. Surprise, je sursaute mais rapidement je me calme. « James n’est pas Henry ! Souviens toi, il ne fait pas ça pour te faire du mal ! » Je le suis docilement vers la salle de bain et regarde attentivement ce qu’il me montre. A sa demande, je le regarde en haussant les sourcils. Qu’il vienne avec moi dans la salle de bains ?! Non pas tout de suite, par contre après pourquoi pas ! Ça pourra m’aider. « Pas tout de suite s’il te plait ? Par contre après ma douche pourquoi pas… » Bon il veut peut-être me montrer certaines chose en rapport avec ma douche, mais je me sens tellement sale, qu’il faut que je me lave le plus vite possible et ce même avec le savon ou gel douche que James utilise. Toujours dans ma douche j’entends à nouveau la voix de celui que j’aime : « Euh oui j’en aurai besoin d’un s’il te plait… Mais attends que j’aille la serviette autour de moi pour rentrer s’il te plait ? »
Une fois terminé, la serviette collée à moi et les cheveux dégoulinant, j’attends le tee-shirt de mon homme. Je repars quelques secondes après dans la salle de bain pour l’enfiler et revient avec le tube de crème. Je n’avais pas eu besoin de réponse, son seul geste m’avait comprendre, je le suis en sécurité et me couche sur le lit à plat ventre montrant les cicatrices du passé dont aujourd’hui j’avais encore honte. Assis sur mes fesses, je sens ses mains se poser et masser sensuellement sans me faire le moindre mal. Cela changeait d’Henry qui appuyait de toutes ses forces et qui passait plus de temps à me faire mal. « Cela fait du bien… Merci Jamie. » Je termine ma phrase en entendant un petit bruit de pas venant dans la chambre. En sécurité avec Jamie je ne bouge pas d’un poil et laisse faire le temps. Jamie parle à Dude. Intriguée, je hausse les sourcils et tente de voir qui est cette « personne » rapidement j’ai ma réponse quand je sens des moustaches me chatouiller le dos. Je tente de me tourner pour voir la race et reconnait un Cavalier King Charles. « Il est si mignon ! » Je le regarde et doucement propose ma main, il a l’air gentil mais comme il ne me connait pas, on ne sait jamais. « Coucou Dude, enchanté de te connaitre. » Dis-je en souriant. J’aimais les chiens, j’en avais eu étant petite mais avec Henry c’était différent : il détestait les chiens. A mon arrivée en ville, j’avais rencontré un homme qui tient un chenil près du lac, j’avais été avec lui pour voir les chiens et comme j’étais sans défense, j’avais adopté une femelle doberman. Une crème de chien, pas du tout agressive sauf si on me faisait du mal. Aujourd’hui j’avais été conne de ne pas l’avoir prit à l’escalier mais je n’aurai surement pas rencontré James… Sentant que celui-ci se bouge de mes fesses, je me redresse tout en remettant le tee-shirt à sa place : « Il est vraiment mignon. Cela me fait penser que je devrais te faire rencontrer quelqu’un… Pas un humain, mais un chien : Une femelle Doberman. Je l’ai eue comme protection. Tu verras, elle n’a pas une once de méchanceté sauf quand quelqu’un veut de me faire du mal. J’aurai du la prendre avec moi la nuit de l’agression… Mais je ne t’aurai pas rencontré… » Dis-je en faisant une grimace.
Kiss me hard before you go. Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. Got my red dress on tonight. Dancing in the dark in the pale moonlight. Done my hair up real big beauty queen style. Highheels off, I'm feeling alive. Oh, my God, I feel it in the air Telephone wires above are sizzlin' like a snare. Honey I'm on fire I feel it everywhere. Nothing scares me anymore. Kiss me hard before you go; Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. summertime sadness...♪
Ddde était la seule membre de ma famille encore existence, et ce n'était pas des moindre. C'était l'animal à qui je je suis le plus proche, c'était comme si nous étions lié d'unfil d'affection. Je n'avais pas pû résister sa petite bouille errante dans la rue. Presque attristé. Elle allait presque s'écrouler au sol, ne supportant pas le poids de ses longues oreilles. C'est oreille sont presque deux fois plus grandes qu'elle, mais c'est ce qui fait son charme, sa beauté. Elle était là à chaque moment où j'avais besoins, elle me donnait gratuitement des léchouilles sur le visage. C'était comm un bébé pour moi, c'était ma fille quoi. Je ne passais pas un moment sans elle, malgré que je fasse la fête souvent. Ses aboiements qui résonnaient dans ma tête à chaque fois qu'elle voulait des caresses. Ses pleures de tristesse lorsqu'elle se sentait seul. Elle était tout pour moi, car je lui apportais toute l'affection que j'avais en moi. C'était presque ma moitié, sa bouille était tellement belle, que je dormais avec elle le soir. Elle venait dans mon lit presque exitée pour dormir avec moi, impatiente de cette nuit. C'était un petit ange, elle veut toujours des carresses. C'était une petite princesse à mes yeux, à chaque fois qu'elle voulait quelque chose, elle l'avait. J'ai une centaine de jeux pour lui, et elle en utilise que trois je pense. Même si elle est très joueuse, elle fait que dormir, aller dans sa litière et manger. C'est peut-être une habitude.. Mais c'est un peu bizarre de ne faire que ça.. Je serais bien un chat, moi.. Car, ma vie est un peu dure, malgré que j'ai rencontré Katie. C'était comme une révolution dans ma vie, car elle chamboulera toute ma vie, mais ce n'est pas négatif. Ma vie est malheureuse, mais avec Katie, sa changera tout, je connaîtrais enfin le vrai amour. Le vrai de vrai, pas comme avec Hope.
Je venais de refuser de dormir, mais je sentais que la fatigue montait plus rapidement. C'était un peu dur de contre dire une femme aussi pertinante et sûr de soit. D'accord, mais fais pas de bétîse en mon absence. Je fesais preuve d'obeïssance au femme, car ça peut aller plus loi.. Jusqu'à la dispute. Je me rapprochais d'elle en prenant sa taille dans mes bras, je rapprochais sa taille plus proche de ma taille. Je posais mes lèvres sur les siennes comme un baiser. C'était comme un baiser d'aurevoir, mais juste pour une petite sieste, deux heure après le réveil matinal habituel. C'était un peu inhabituelle de faire une sieste, mais je ne voulais pas la contredire de plus. Je ne savais pas pourquoi je lui avait demandé si je devais venir avec elle ou pas.. C'était sortit tout seul. Je suis peut-être possédé ou quoi que ce soit, mais devant une femme, je n'aurais jamais dit ça. Je perds tout mes moyens devant une femme aussi belle. C'était comme si lorsque je l'a prennais pour l'emmener dans la salle de bain, ce n'était pas moi. Je ne comprennais pas. Mais elle ne l'avait pas mal prit, en tout cas elle ne m'a pas enguelé ou quoi que ce soit. Excuse-moi, je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça.. Je te laisse prendre ta douche seule. Je devais m'excuser, car sa devait être intimident pour elle.. Je voulais tellement avoir un masque sur moi, car je n'assumais pas du tout ma parole en ce moment. Après quelque minutes dans sa douche, je lui demande si elle veut mon t-shirt. Je ne voulais pas qu'elle soit nue dans la maison, elle voisin se douterait de quelque chose. Enfin' pas tout de suite quoi. Elle ne pouvait qu'accepter, à pars si elle voulait être nue dans la maison, je serais d'accord, dans les deux cas. Elle me déclare que je dois l'attendre qu'elle mette sa serviette. Je n'allais jamais oser rentrer, alors qu'elle n'était pas habillé, c'est un manque de respect et d'intimité aussi. Après qu'elle soit devant moi, collée par une serviette.. Je lui tendais l'un de mes meilleurs t-shirt, malgré que j'en ai beaucoup. Elle ressortait avec le tube de crème. Je lui fais un massage avec de la crème, alors qu'elle est sûr le ventre sous moi. Je fesais le meilleur que je pouvais malgré les ecchymoses qui restaient. Je l'entendais soupirais que ça fesait du bien, c'était un meilleur support par rapport à ma soeur.. Je t'en prie.. Ma belle Je voulais l'apeller par ce nomcar c'est la pure vérité, la simple et foudroyante vérité. Mais ce massage n'était qu'une illusion, car Dude arrivait tellement rapidement ici, que je ne pouvais même pas finir le massage. Je sortais des fesses de Katie, pour caresser tendrement Dude, tellement sa fesait si longtemps. Je l'embrassais le museau tandis qu'elle me léchait le bout du nez, avec sa bave. Elle était si impatiente de me voir, qu'elle ne s'arrêtait plus. Je fesais la rencontre entre Katie et Dude, et à première vue, elles s'aimaient bien. Beaucoups de l'échouilles s'échangeait entre les deux femmes. Dude est une femme, à 3 ans.. Et oui, elle peut paraître toute jeune, mais elle est vieille, 27 ans quoi. Même si je suis plus vieux qu'elle, ça sera toujours ma fille. J'entendais dire que Katie, avait une chienne, aussi. Elle pouvait faire connaissance avec Dude, même si Dude ne veut pas vraiment sortir de la maison. Elle déclarait aussi que si elle était venu avec sa chienne, le soir.. Elle m'aurait pas rencontré, mais je sais qu'on se serait rencontré dans tout les cas. Je me retirais de la bouche de Dude, en fixant Katie du regard. Le destin nous a lié, même si tu avais emmené ta chienne, on se serrait rencontré. J'embrassais langoureusement Katie, en cherchant sa cavité bucale du bout de ma langue. Je voulais qu'elle prouve son amour et ma protection pour elle. Lorsqu'on s'embrassait, Dude aboyait gentillement. Elle prouvait notre amour l'un pour l'autre. Je retirais mes lèvres des siennes avant d'aller m'alloongait dans le lit. Je mettais la couverture sur moi, avant de fermer mes yeux pour dire que j'allais dormir. Je t'aime Katie. Je fermais légèrement les yeux en mettant la couverture sur moi.. N'assumans pas ce que j'ai dit.
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