« Plus j’aime les chiens moins j’aime les hommes. » Cette phrase résume très bien ce que je pense en ce moment, enfin avant l’arrivée de mon nouveau chéri. Henry m’avait privé de tellement de chose, que je ne faisais plus confiance aux hommes ni aux êtres humains que je considère comme cons et dangereux. Je me souviens encore de la tête de ma petite Doberman dans sa cage, elle faisait une tête d’enterrement comme si tout le poids était sur ses épaules. Je me suis accroupie, je l’ai appelé et elle est venue. Nous, nous ressemblons toutes les deux et j’ai complètement craqué sur elle. Une fois à la maison, elle s’est métamorphosée, ce n’était pas la chienne que j’avais vu au refuge. En une matinée, elle m’a donné plus d’amour qu’Henry en deux ans. Je lui serai éternellement reconnaissante. Évidemment aujourd’hui je me demande comment elle réagira en la présence de James. Malgré sa présence, je ne pourrai pas me séparer de mon chien, je ne veux pas la faire souffrir une deuxième fois en l’abandonnant mais je n’ai pas envie de quitter James non plus. Enfin je ne vais pas commencer à stresser maintenant. Ils ne se sont pas encore rencontrer.
Lorsqu’il accepte enfin de dormir, je souris. Contente qu’il accepte de se reposer un petit peu. Mon sourire se transforme en rire lorsque je l’entends me dire de ne pas faire de bêtises en son absence. « Je serai sage comme une image promis ! » Dis-je en m’approchant de lui et m’installant dans le lit à ses côtés avant de continuer sur une voix douce « Si je reste ici, ça te va ? Tu penses que je serai sage ? » Répondant ensuite amoureusement à son baiser et lui caressant la joue.
Nous partons dans la salle de bain, ses gestes ne me dérangent pas du tout car je sais qu’ils partent d’une bonne intention. Il ne me fera jamais de mal. Cela fait plus de deux ans que je n’ai plus entendu un homme s’excuser, alors quand je l’entends, je m’arrête au beau milieu de la pièce et me retourne pour être face à lui : « Hey, je ne veux pas que tu t’excuse d’accord ? Je ne le prends pas mal. Je sais que ça part d’une bonne intention, c’est juste que c’est trop tôt pour moi. » Il fallait qu’il soit patient mais je sais qu’il le sera. Je ne me fais pas de soucis là-dessus. Pour prouver que je dis vrai, je me rapproche de lui et l’encercle de mes bras pour un énorme câlin avant de reposer mes lèvres sur les siennes et ce pendant quelques minutes.
Soupirant de bien être, j’étais un peu frustrée de l’arrivée de Dude mais je comprenais ce que la chienne ressentait. Pour ça ma Doberman et le Cavalier King Charles se ressemblent beaucoup. Tout est bon pour recevoir un câlin, un bisou, une caresse ou une gourmandise. La seule différence entre Jamie et moi c’est qu’il accepte que son chien l’embrasse dans la figure alors que moi je refuse catégoriquement. Mais je ne dis rien car je ne veux pas recevoir de remarques de la part de James. Et à croire que Dude le comprend car elle me donne des léchouilles sur les mains, dans le dos mais aucune fois dans la figure. J’explique ensuite que j’ai moi aussi un animal de compagnie, certes pas toujours vu comme une bonne race, pourtant c’est une crème.
Après les retrouvailles entre son chien et lui, il rapporte son attention sur moi en cherchant à rentrer sa langue dans ma bouche dans un baiser. Doucement j’ouvre mes lèvres et nos langues jouent doucement, c’est fou comme ces baisers me font un bien fou. Je souris lorsque j’entends Dude aboyer, serait-elle jalouse de notre baiser ? Et lorsqu’il s’allonge dans son lit, je l’aide à lui mettre sa couverture avant de lui donner un baiser sur son front. A ses paroles, je rougis, souris avant de répondre tout bas : « Moi aussi. »
Cela fait quelques minutes qu’il dort, toujours assise à ses cotés dans le lit et le regarde tout en passant ma main délicatement dans ses cheveux. Je pourrai rester ainsi des heures mais il est presque midi et nous n’avons encore rien mangé et je commence à avoir faim. Doucement je me lève sans le réveiller, je vais dans la cuisine et regarde dans les placards. Je ne suis pas une grande cuisinière mais je sais faire de bons petits plats. Ce sera des pâtes à la bolognaise pour ce midi. Il me faut quelques minutes pour préparer ce dont j’ai besoin et préparer la sauce. Une bonne odeur commence à s’élever dans la maison… En espérant que James ne m’en voudra pas de trop d’avoir fouillé comme ça.
Kiss me hard before you go. Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. Got my red dress on tonight. Dancing in the dark in the pale moonlight. Done my hair up real big beauty queen style. Highheels off, I'm feeling alive. Oh, my God, I feel it in the air Telephone wires above are sizzlin' like a snare. Honey I'm on fire I feel it everywhere. Nothing scares me anymore. Kiss me hard before you go; Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. summertime sadness...♪
Je n'avais jamais été le plus grand dormeur du monde, car je l'avoue.. Je dors très peu, très très peu. Je ne suis pas du genre à dormir à chaque fois que je suis fatigué, car je déteste dormir. Je m'investis souvent dans des choses importantes, la plupart plus intéressante que dormir. En plus que je suis presque jamais chez moi, surtout le soir. Je suis toujours dans un motel ou chez un ami. Ma maison a beau être grande, je m'ennuierais toujours autant.. Elle est belle je sais, elle est spacieuse je sais, mais ce n'est pas pour autant que j'y resterais longtemps. C'était un défi pour moi de rester plusieurs heures chez moi, dans mon lit.. C'est tellement ennuyeux de dormir, à part lorsque tu fais des rêves passionnants et joyeux. Mais c'est temps-ci, je ne fesais que des cauchemars.. Et c'est très énervant, tellement énervant, que je caressais Dude toute la journée et toute la soirée. C'est peut-être mal de ne pas dormir, mais c'est mon quotidien. Je déteste perdre du temps, car j'ai toujours quelque chose à faire. Je n'ai jamais été un homme exemplaire, ou un homme qui fascinerait des enfants, mais je suis comme ça et je ne changerais jamais. C'était comme si j'étais un homme normal, j'aurais beau être beau et musclé, il ne faudra jamais devenir comme moi. Car je suis quelqu'un de très impertinent mais pas du tout modèle. Ce n'est pas mon reflexe de contredire, mais j'assume pleinement.
J'étais dans le lit, presque légèrement fatigué mais je ne le montrais pas, fin' je ne voulais pas le montrer. J'adorais lorsqu'elle me promettait des choses, car je sais qu'elle le fera. Je ne doutais du tout de sa parole, car j'en avais de sa confiance. C'était rigolo de la voir dire qu'elle sera sage, car je savais qu'elle n'allaitpas faire de bétises. Je continuais le baiser, en sentant des caresses sur ma joue. J'adore lorsqu'on me donne beaucoup d'affection comme ça. Non, tu peux rester là.. Je sais que tu seras sage. Sentir sa salive coulait sur ma langue me donnait des frissons, comme si j'adorais le faire. Elle pouvait se lasser mes baisers et mes compliments mais c'était le seul moyen de prouver mon amour pour elle. Je me mettais sur mon épaule gauche, pour être face à face avec elle, continuant le baiser rapidement après. Elle me demandait si ça me plaiser ici, mais je ne pouvais prouver le contraire.. Car j'adorais sa présence. Je viens la prendre dans mes bras, la tirant vers moi. Nous étions tout les deux, collés l'un contre l'autre. Je continuais toujours le baiser, car je ne m'en lassait jamais. Je lâchais sa bouche de la mienne, toujours collés contre l'autre. J'étais un peu intimidé de ma demande, un peu perverse je l'avoue.. Mais je ne sais pas pourquoi je l'avais dit. Je l'entendais me faire une leçon car je ne devais pas m'excuser.. Et que je devais attendre. Je restais derrière elle, bouche-bée, je ne voulais pas aggraver les choses.. Car je suis un vrai gaffeur moi, un vrai de vrai. Je la voyais me serrer dans ses bras, j'étais presque tétanisé.. Mais je la serrais dans mes bras toujours aussi affectionnement. C'était un peu bizarre, de ne pas m'avoir gueuler dessus, mais je voulais me faire pardonner avec l'un des meilleurs baisers que je lui ai fait à ce jours. Je la plaquais contre le mur, voulant me faire pardonner. C'était une mauvaise chose peut-être mais c'était la seule chose que je pouvais faire. Je ne savais pas si ça lui plaisait que Dude lui léchait les bras et le dos, mais je ne pouvais rien y faire. J'enfonçais ma langue dans sa bouche continuant encore et toujours le baiser, j'en avais des frissons, car sa procurer des icnroyables sensations. A part crier sur Dude, mais je ne ferais jamais ça, car sa petite bouille me fesait prdre toute ma colère. Je ne la voyais pas très " heureuse " de voir Dude, mais ce n'était qu'une rencontre, ils allaient se connaître un peu plus après. Je finissais rapidement les papouilles avec Dude, pour enfin embrasser langorueusement Katie. Sa langue était maintenant pour moi son muscle que j'adore le plus. J'adorais le titiller, jouer avec sa langue, danser, toucher.. Ce n'était pas quelque chose d'intimident ou pas, car tout le monde le fait au moins une fois. Une fois couvert par la couverture, je commençais à me mettre à l'aise dans mon lit. Je l'exclamais que je l'aimais et elle me disait réciproquement la même chose. Je rougissais comme elle, car je ne pensais pas que notre relation allait évoluer aussi vite. Je fermais les yeux m'imaginant être avec elle toute ma vie, comme future femme. Après quelques heures de recherche sur internet, je commençais à dormir, sous l'obligation de ma chérie. Je ne savais pas si je bavais, car c'est un reflex pour moi, mais ça ne dérangeait pas je pense. Je dormais depuis quelque minute, d'un profond sommeil. Je rêvais toujours de Katie, car c'était le sujet de ma vie. Le point symétrique. C'était après avoir rêver de Katie, que je sentais sa présence s'envolait. Je ne sais pas si c'était un rêve ou quoi qu ce soit, mais elle n'était plus là. Mais ça ne m'a pas dérangé, car je dormais toujours. Ca je m'a pas empêcher de continuer de rêver d'elle. Je dormais encore et encore, jusqu'à qu'une odeur venait titiller mon nez. Elle venait rentrer dans mes narines. C'était une odeur de nourriture, j'aime particulièrement manger, mais avec modération, car je ne voudrais jamais être gros. Je me levais un peu lentement, car c'était un peu chiant de se lever, mais l'odeur me motiver encore plus. Je sortais lentement de la chambre pour aller dans la cuisine.. Un peu peur de voir qui était dans la cuisine. Je scrutais la cuisine de font en combre avant de voir une silouhette féminine devant la plaque de cuisson. C'était bizarre car elle portait mon t-shirt, mais je savais que c'était Katie. Je ne suis pas fourbe ou quoi que ce soit, c'était tellement facile. Je m'approchais d'elle, en ne fesant aucun bruit, mais ce n'était pas pour la faire peur. Je fesais des baisers sur son épaule, son cou jusqu'à son oreille, avant de chuchoter. C'est sûr ce n'est pas une bétise. Qu'est-ce que je t'aime mon coeur. J'avais remarqué que c'était des pâtes à la bolognaise, mon plat préféré.Et je ne savais pas comment elle a sû. Je la retournais, la rendant fasse à moi. Visage contre visage. Je plongeais mon regard dans le sien, avant de collait mes lèvres contre les siennes. Ma langue entrait dans sa bouche, frottant celle-ci contre sa langue à elle. Tu veux combien de baisers ? Car je t'en ferais une centaine. J'étais complètement capable de le faire, car ça prouverait mon amour pour Katie.
Depuis toute petite je suis une marmotte ambulante : bébé je ne pleurais que pour avoir manger ou être changé, le reste du temps, je le passais dans mon lit ou sur les bras. En grandissant j’allais dormir tôt pour avoir au moins 9h de sommeil. En devenant adulte ça a continué jusqu’à ce que le comportement de mon mari change : j’allais dormir tôt, pour gagner quelques heures de sommeil et me levais avant lui. Aujourd’hui, je compte reprendre mon petit rôle de marmotte et je sais qu’avec James je n’aurai pas de soucis pour ça.
Je souris lorsqu’il accepte que je reste là et continue le baiser tout en donnant de l’affection par des caresses sur sa joue. Je ne sais pas s’il aime bien, mais je continue c’est plus fort que moi. J’étais une fille tactile qui ne se lassait jamais des baisers, des touchers et des caresses. Cela va revenir j’en suis certaine en tout cas je ne peux me passer des baisers de James. D’ailleurs lorsqu’il stoppe son baiser pour se mettre sur son épaule gauche et être face à moi, je ressens un vide mais lorsqu’il le reprend, c’est la magie qui réopère. Gardant une distance entre nous, celui-ci la réduit en me prenant contre lui. C’est assez bizarre pour moi, de me retrouver dès la première nuit en culotte avec un tee-shirt dans les bras d’un homme, que je ne connais pas depuis longtemps. Heureusement d’ailleurs que je suis « habillée » car je n’aurai pas accepté. J’arrive au bout de mes limites !
C’est pour ça que j’ai refusé qu’il vienne avec moi dans la douche. C’est encore trop tôt. Je ne lui en veux pas du tout de m’avoir dit ça. Je le comprends très bien. A sa tête, j’ai comprit qu’il se sentait mal et même mon câlin, n’avait pas su le calmer. « Hey oh, détend toi… Ce n’est pas grave hein » Dis-je d’une voix douce lui caressant doucement son dos, avant de me sentir plaquer contre le mur et en plein baiser. Je m’étais raidi, mais maintenant mon corps était détendu.
Les baisers reprennent de plus belle, nos langues dansent comme si elles s’étaient toujours connues. Je l’aide avec la couverture et le voir rougir. « Tu es si mignon quand tu rougis » Dis-je avant de l’embrasser doucement sur les lèvres. Je le regarde quelques minutes puis prépare le diner. Je ne veux pas le réveiller mais il faut bien qu’il mange quand même et mon ventre réclame famine depuis plus d’une demi-heure. Je vérifie que tout se passe bien quand je sens que quelqu’un me fixe, pour la première fois, je ne me retourne pas cherchant l’origine de cette impression car je sais qu’il s’agit de James. Je ne dis rien, me concentrant sur ma tâche. Pourtant rapidement je sens sur mon épaule, dans mon cou jusqu’à mon oreille des baisers. Je souris et rigole un peu : « Tu me chatouilles » C’est mon point sensible : je suis très chatouilleuse. Je rougis lorsque j’entends à nouveau sa voix : « Cela me rassure alors… Tu n’as pas prit de petit déjeuner donc je me suis dit que tu aurais surement faim à ton réveil. Moi aussi je t’aime » Sentant ses mains sur mes hanches, il me tourne face à lui, visage contre visage, nos yeux se croisent et nos regards se fixent avant de sentir ses lèvres contre les miennes. A sa question, je rigole et le regarde. Je fais mine de réfléchir… « Euh, une centaine c’est un peu trop pour moi… Une vingtaine ça m’ira très bien » Dis-je d’une voix douce en l'embrassant avant de voir ou en était les pâtes et la sauce. Prenant une cuillère, je la plonge dans la marmite et la tend à James : « Veux-tu gouter ? Promis je ne t’empoisonnerai pas ! » Dis-je en rigolant
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Lorsque j'étais petit, j'aidais beaucoup ma mère et mes soeurs pour faire la cuisine. A vrai dire, je n'ai jamais aimé faire la cuisine, mais c'était pour le plaisir, et sous l'obligation aussi. Ce n'était pas un métier pour moi, ni un passe-temps.. Juste un loisier obligatoire. On ne pouvait pas s'en passer. Lorsqu'une mère te l'oblige tu ne peux même pas la contredire. A part si tu veux mourrir. Qui a déjà osé contredire sa mère.. C'est juste vouloir mourir, car c'est impossible. Je ne sais pas qui aurait pû faire ça, il doit être bien fou pour le faire.. Déjà que parfois, tu ne peux même pas répondre à ta mère, dire non, c'est encore plus dur.. Et encore plus fou. C'est pour ça que je fesais toujours la cuisine, mais sous l'obligation de ma mère bien sûr. Je n'aurais jamais osé cuisiner sans l'obligation de quelqu'un, mais c'était avant. Lorsque tu vis seul, tu es obligé toi-même de le faire. C'est une question de vie ou de mort. Mais lorsque tu grandis.. Tu développes un plaisir à cuisiner, et c'est mon cas. Ca devient tellement facile de le faire que c'est une habitude.. Ou même un plaisir. J'aimerais pas être cuisiner mais j'aime bien faire la cuisine. Mais que quand j'ai ai besoins, pas sans but précis. Mais je ne fais pas des plats divins, juste ce qui me fait plaisir..
J'adorais sentir ses doigts fins sur ma joue.. Avec des caresses sur ma joue. Mais ce n'était rien, car le baiser me donnait des sensations encore plus incroyable. Ses lèvres étaient pour moi, mes amis.. Je les humidifie à chaque baiser, car j'adore ça. Je ne pouvais même pas arréter un baiser, car j'adorais embrasser Katie. Lorsque je me mettais sur mon épaule, j'étais déjà en manque de ses lèvres, sa langue. Je continuais rapidement le baiser en ne ratant même pas une seconde. Comme si sa langue était mon eau, ma source de vie. Je la resserrais contre moi, sentant son étreinte proche de moi, tellement que j'adorais avoir une femme aussi proche. Je sentais son coeur battre, rien que pour moi.. Grâce à moi, son coeur battait.. Peut-être que ce n'était pas pour moi, mais c'était vrai.. Je l'aimais. Être dans un lit avec une femme qu'on connait il n'y a même pas une semaine. Mais je l'aimais déjà, et je me séparerais jamais d'elle.. C'était déjà ma femme. Je m'imaginais déjà ma vie avec elle, lorsque je la révellerais pour ne pas être en retard chez le coiffeur. Ou même tout les réveils possibles, je la révellerais toujours avec des baisers remplit d'amour. Je ne sais pas si elle était d'accord pour faire sa vie avec moi, mais moi.. Je suis d'accord. Elle était un peu.. un peu.. dénudé.. Juste une petite culotte avec mon t-shirt. Mais je ne voulais pas qu'elle soit intimidé ou mal à l'aise, c'est pour ça que je ne voulais pas aller plus loin. J'étais un peu mal à l'aise lorsqu'elle me fesait une morale..Je l'entendais me dire de ma calmer, mais je ne pouvais pas rester sur une [i@ défaute [/i] Je me sentais un peu fautif.. C'est pour ça que je voulais me faire pardonner. Et comment me faire pardonner ? Je lui fesais un de ces baisers.. L'un des meilleurs baisers de l'Amérique. Je la plaquais contre le mur pour être au plus proche d'elle, gardant toujours ma langue dans sa bouche. Je ne pouvais plus m'arreter, je n'étais pas un violeur car je respecte les valeurs de la femme, juste que je prend le bon côtés. J'étais tout rouge, de timidité lorsque je l'entendais dire que j'étais mignon.. Merci, mon coeur.. Tu es si mignonne aussi. disais-je avec ma voix moins rauque car j'étais légèremet timide. Je continuais toujours le baiser.. Ses lèvres étaient si sucrés, j'aimerais tellement les mangés. Je finissais le baiser avant de plonger dans un profond sommeil. Je ne doutais rien avant que je sente une odeur de bouffe. Je me levais lentement pour arriver dans la cuisine, et sans suspens c'était Katie. C'était la femme parfaite, elle a une peau douce et soigneuse. Un caractère révélateur et reservée. Une beauté sans limites.Et en plus, elle savait faire la cuisine. Je voulais bien sûr, faire ma vie avec elle, car c'était la femme parfaite. Je l'embrassais le cou, l'épaule et l'oreille.. La sensualité était là, présente. Je l'entendais rigoler avec son rire angélique.. elle déclarait de sa voix douce qu'elle était chatouilleuse. Tu n'aurais jamais dû le dire.. Je voulais prendre un ton sérieux, mais c'était impossible. Je rigolais éperdument après cette parole. Je prennais ses hanches dans mes mains avant de les compresser. Elle rigolait rapidement en gigotant dans tous les sens avec les gillis que je lui fesais. Je la voyais rougir, tel une femme timide.. Mais je suis sûr elle ne l'est pas. C'est elle qui m'a embrassé en premier, si elle ne l'aurait pas fait, je ne l'aurais pas fait non plus. Elle m'exclamait que sa la rassurer de ne pas l'avoir crier dessus.. Tu me connais déjà si bien. je disais ses paroles toujours en rigolant toujours avec son rire dans ma mémoire, ancré. Nous nous embrassions encore et encore, car on adorait sa tout les deux, on était pas sex-addict, et au contraire. Je ne voulais pas le faire de suite, mais le baiser n'était qu'un début. c'est un fait que je ferais toujours à Katie pour prouver mon amour, mon affection. Elle rigolait encore et encore, c'était une superbe journée qui s'offrait à nous. Je l'entendais dire qu'elle en voulait une vingtaine, j'allais les faire cette vingtaine. Et sans hésiter même. Je la voyais m'embrasser avant de regarder la marmite, elle était bien passioné par la cuisine on dirait. C'était presque une chef quisto si j'ose dire. Elle me propose de goûter, bien sûr que j'allais goûter. Même si c'était mon plat préféré j'allais goûter. Je gobais la cuillère rapidement, sentant le goût de ce plat. Il était parfait, le sel parfait, l'assaisonnement parfait aussi. Ce plat était succulent, je fesais un signe de parfait pour dire qu'il était parfaite. Je venais la tirer vers moi, commençant la série des vingts baiser. Bien sûr, je passais ma langue dans sa bouche, pour une sensation incroyable. Je ne m'arrétais plus, mais j'étais obligé. Je devais prendre de l'air, arrivé à la fin. J'étais fou amoureux de Katie, je ne pouvais plus me passer d'elle. C'était comme une clé pour moi, la clé à la vie. Si elle n'aurait pas été là.. Je ne serais pas aussi joyeux. Je me lasserais jamais de tes lèvres pulpeuses. Je venais prendre une assiette pour mettre les pates à la bolognaise dedans. Je ne savais pas si elle avait faim elle, mais je n'ai pas prit d'assiette pour elle. Je la tirais vers moi, de main ma droite, la main gauche portant l'assiette jusqu'à la table. Je m'asseyais sur la chaise en posant l'assiette devant moi, sans rien casser, sans rien faire tomber. Je la tirais toujours, insistant à ce qu'elle s'assoit sur mes genoux, il y avait deux fourchettes dans le plat, car on allait manger dans le même. Il y avait plus d'une portion dans l'assiette, j'avais bien calculé mon coup. Je venais embrasser sa joue, avant d'aiguisé ma voix rauque. Bonne appétit mon ange.
J’ai beau être une marmotte chatouilleuse, je ne suis pas un grand gourmet. Comme toutes les femmes, je fais attention à ma ligne mais je ne suis pas anorexique. Jamais je me ferai vomir parce que je me trouve trop grosse surtout que je n’aime pas ça : l’odeur, l’aspect, le gout. Rien que d’y penser j’en ai des nausées. Quand tu es enfant, les parents te proposent de faire des activités ou des stages pendant les vacances, moi je refusais alors j’allais chez mamy, à la campagne. Là-bas, j’ai apprit très tôt à faire la cuisine. Ma mère aurait voulu que je continue là-dedans, moi je me voyais dans la mode et j’ai choisi ma voie. Ce qui ne m’empêche pas de faire encore de bons petits plats à mes parents surtout lors des fêtes d’anniversaire, de Thanksgiving ou de fins d’années.
Bisous, amour, tendresse et câlins sont les maitres de mots de cette nouvelle relation qui commence. Cela m’était inconnu depuis plus de deux ans et c’est magique de les redécouvir. J’imagine déjà les réveils qu’on aura quand nous vivrons ensembles. Je tiens à vivre avec lui mais pas maintenant. Je ne suis pas encore prête pour ça, avant de vivre pleinement ma nouvelle relation il faut que je fasse un trait définitif avec celle d’Henry et aujourd’hui ce n’est pas encore le cas vu que nous sommes encore légalement mariés.
Collée contre le mur, je l’embrasse encore. Avec Henry, j’aurai déjà prit peur et stopper cela. Aujourd’hui avec James ça peut durer encore des heures, mon corps se sent en sécurité. Je m’habitue aussi petit à petit à ses surnoms, par contre je ne tiens pas à ce qu’il m’appelle « Ma princesse » car dans les derniers mois de la relation avec mon ex-mari c’était ainsi qu’il me nommait. Je souris à ces paroles avant de rajouter : « Tu es quand même le plus mignon nous deux » Dis-je doucement et un peu gênée.
Une fois dans la cuisine, j’ose lui avouer que je suis chatouilleuse. Ce qui est une très grosse erreur de ma part car s’il ressemble à Henry lors de nos premiers mois de couple, j’en verrai de toutes les couleurs… En haussant les épaules et en souriant : « Je sais… Mais je compte sur toi pour me laisser tranquille avec ça » Terminant par un clin d’œil. Je termine à peine ma phrase que je sens ses mains sur mes hanches puis des gillis. Je ne peux m’empêcher de gesticuler dans tous les sens et de rigoler. « Tu es un petit diablotin monsieur James » Avant de l’embrasser à nouveau.
Nous ne passons pas de rire aux larmes, mais du rire aux baisers. Deux choses que nous aimons. Il gobe la cuillère et j’attends son verdict avec une petite pointe de stress. J’ai l’impression de me retrouver en face de ma mère lorsque je tente une nouvelle recette. Lorsqu’il fait son petit signe, je souris en signe de merci avant de sentir ses lèvres se poser sur les miennes pour une série de vingt baisers avec la langue. Heureusement ça ne prit que quelques minutes. Après une grande inspiration, je rougis à sa dernière parole. J’ai loin d’avoir des lèvres pulpeuse mais je ne le contredit pas.
Il prend une assiette et se sert. Je n’ai pas le temps de me servir que je sens déjà sa main me tirer vers la table. Il s’assoit sur une chaise et pose l’assiette devant lui. En silence je le regarde faire avant de m’assoir sur ses genoux. Croisant mes jambes, je prends une des deux fourchettes et vole quelques pâtes dans son assiette avant de le regarder pour voir sa réaction. « Merci, bon appétit à toi aussi » Dis-je avant de l’embrasser et de prendre à nouveau quelques pâtes.
Très rapidement, je prends ma dernière bouchée. Comme dit plus haut, je ne suis pas une grande mangeuse. Je regarde vers la marmite puis mon homme en souriant : « Si tu as encore faim, il en reste dans la marmite. J’en ai fait pour les pauvres et pour les riches. Pour moi ne t’inquiète pas, j’ai mangé assez. Je ne mange souvent pas beaucoup. » Me levant de ses genoux, je me dirige vers l’évier pour déposer ma fourchette. « Tu veux boire quelque chose ? et que voudrais tu faire après manger ? »
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Je n'avais jamais eu des invités dans ma cuisine. Je peux être beau garçon, et élégant, mais personne n'a visité ma cuisine. C'est peut-être car je ne suis pas souvent chez moi, mais à chaque fois que je suis avec quelqu'un.. C'est au restaurent. On peut pas dire que c'est la poèce la plus importante de la maison, vu que la bouffe n'a jamais été mon point fort. En plus, que je ne viens pas souvent dans la cuisine. Je traîne souvent dans les rues, mais je pas dans la maison. Mais bien sûr, je dors ici, malgré que je dors seul. Je n'abandonnerais jamais mon lit douillé. Il est tellement confortable. Je sais que j'ai une superbe villa, mais je ne l'utilise pas trop.. Juste pour dormir. C'est un peu bête, mais c'est moi, et on m'aime comme je suis. Et je ne changerais pas, car c'est ma personnalité. C'est peut-être que je suis un homme car, on aime souvent sortir, mais un peu plus souvent que les femmes. C'est bizarre comment on peut-être différent sur certains niveaux, alors qu'on peut penser qu'on est tous égal. Je n'ai jamais été pour la supériorité des hommes, mais pour l'égalité des sexes. C'est peut-être bizarre, car je n'aime pas être égal aux femmes. On pourrait me dire toutes les quaités d'être supérieur au femmes, je ne le serais jamais. Je respecte les femmes et leurs valeurs, car c'est ceux qui font d'eux des femmes. C'est important les valeurs de quelqu'un, car c'est ce qui fait sa personnalité. Si quelqu'un fait disparaître les valeurs de quelqu'un en ma présence, je suis sûr de me battre, et pas gentillement. Celui qui ferait ça, serait un homme sans vie, sans but, sans objectif.
Je l'avais plaqué contre le mur, dans une bonne intention, non pas pour la punir et loin de là. Je fesais cela pour prouver mon amour pour elle, pas en guise de violence. Ses lèvres étaient comme collées aux miennes, c'était comme si je ne pouvais les décoller. Je ne pouvais pas m'en passer. J'adorais sentir sa langue dans ma bouche, tellement c'était bon. Sentir son corps collé au mien, me fesait trembloter, c'était comme si on s'était rencontré depuis si longtemps. Je la complimentais encore et encore.. Car je ne disais que la vérité. Elle était si mignonne, car je ne pouvais m'arreter de la complimenter. J'étais légèrement timide en pensant que ça fesait qu'une journée qu'on s'était rencontré. Si je ne l'avais pas vu dans l'escalier, je n'aurais jamais pensé l'embrasser comme ça dès le premier soir. C'était comme un rêve pour moi, un rêve légèrement réel. Mais je l'embrassais encore et toujours, car je ne pouvais pas m'en passer. Je l'entendais dire que j'étais le plus mignon. Je rougissais encore plus, avec son compliment, car je ne voulais pas que ça se voit. J'étais à la fois fier, et à la fois intimidé, car elle avait vu quelque chose qu'il ne fallait pas voir. Mer..ci..Merci, tu es mignonne aussi, j'adore la couleure de tes cheveux. Je ne savais pas quoi dire, après tous les compliments que je lui avais dit. Mais, son corps ne réservait pas qu'un seul compliment, et ni deux. Tout pouvait être complimenté sur son corps, tellement il était beau, et sculté. Il n'y avait que les ecchymoses qui gâchaient son corps, mais je l'aimerais même avec ça. C'était comme si peut importe son corps, je l'aimerais toujours. Et je me lasserais jamais de ses baisers, et de ses lèvres pulpeuses. Chaque paroles étaient suivies d'un baiser doux et affectueux. Nous étions sans doutes le couple qui s'embrasse le plus, mais on adore ça. J'adore ça, et je sais que c'est réciproque.
Je la serrais contre moi, dans la cuisine, lorsqu'elle m'avouait qu'elle était chatouilleuse. Je suis moi-même chatouilleux, c'est pour ça que je n'abuserais pas de ce défaut. Elle m'avouait que je ne devais pas l'énerver avec ça, mais je ne le ferais jamais. Car c'était quelque chose d'insuportable quand on l'en abuse. Ne t'inquiète pas, Kat'. Et pour que tu sâches, je suis chatouilleux aussi. Je savais qu'elle n'allait pas me chatouiller. Je la connais bien malgré que sa fait que 1 jours que je la connais. Mais ça ne me dérangerais pas trop qu'elle me chatouille, car j'aime lorsqu'on me chatouille. Pour moi, c'est un signe d'affection, pour elle, je ne sais pas du tout, mais après, il ne faut pas en abuser. Je lui fesais des guillis, une fois pour avoir sa réaction.. Je la voyais bouger dans tous les sens. C'était rigolo de la voir, gesticuler, comme si elle dansait de façon épileptique. Je rigolais encore, car elle me déclarait que j'étais un petit diablotin. Je suis un peu, fou.. Je l'avoue. Tu me connais de plus en plus. Tu devrais peut-être te mettre à la danse, tu danses bien. Je rigolais toujours, avec la comparaison de la danser à sa bougeote. C'était rigolo, toujours le sourire aux lèvres. Je rigole rapidement moi, pour un rien. Je l'embrassais toujours à la fin de mes phrases, car c'est lèvres fesaient partit des miens. Elles étaient soudées maintenant. Je ne savais pas qu'elle cuisinait aussi bien, car son plat était divinement bon. Je venais de me réveiller, donc mon ventre n'était pas du tout vide. Et je ne voulais pas manger une tonne, car je ne suis pas le genre de gars à bouffer tout le temps. Mais je ne voulais pas tomber faible dans la journée car ça serait énervant. Je n'avais pas prit une grosse assiette, remplit de pâtes, car je voulais pas devenir gros. Je la souhaitais bonne appétit, de ma voix rauque et douce à la fois. Et je l'entendais rapidement après, me remercier et me souhaiter de même. Merci, mais en tout cas, c'est délicieux Je sentais ses lèvres se poser sur les miennes avant-même de prendre des pâtes. Je la voyais prendre quelque pâtes délicatemment. Je fesais pareil, en prenant légèrement plus car elle n'était pas très affamé. Elle se levait rapidement, en ayant plus faim. Mais il ne restait pas beaucoups de pâtes. Je finissais le plat juste après elle. Elle me déclare qu'elle ne mange pas beaucoup, et qu'il y en avait encore dans la marmite. Mais j'étais full, même pas un dessert ne pouvait rentrer dans mon ventre. Je la voyais déposer sa fourchette dans lévier, et me demander si j'avais besoins de quelque chose. Tu en as trop fait, mon coeur.. C'est moi qui prend les commandes maintenant. Je ne sais pas, tu voudrais faire quoi ?
Lorsque vous vivez dans la peur, la routine s’installe rapidement dans votre vie : « debout à la même heure, préparation du petit déjeuner (la plupart du temps des tartines de confiture ou de chocolat accompagné d’un café noir sans sucre) et lui emmener au lit. Vaisselle, ménage et préparation du déjeuner avec à chaque fois un plat différent pour chaque jour de la semaine. L’après midi : vaisselle, repassage, petite sortie pour les courses et préparation du repas du soir : tartines et sandwiches et pour finir dernière vaisselle, moment devant la télé puis monter dans la chambre pour enfin se reposer » Tout un programme ! Surtout quand l’homme avec qui vous vivez ne vous aide pas énormément. Mais maintenant c’est du passé. Je vis chez ma sœur où elle a une toute autre organisation de la semaine. Ce n’est jamais monotone et j’aime ça : Il arrive parfois que nous mangions deux fois du chaud ou le même plat, que nous allions manger au restaurant, au Mc Do ou prendre une pita. Le meilleur dans tout ça, c’est que les taches ménagères sont partagées entre elle et moi. J’ai un peu observé la maison de James, si notre relation dure et que nous prenons la décision de nous mettre ensembles, je ne sais pas comment cela se passera, je sais juste que ce sera différent de ce que j’ai vécu avec Henry. Enfin nous n’en sommes pas encore là donc je ne vais pas penser à ça tout de suite.
Je suis le genre de femme qui aime faire des compliments mais qui n’aime pas en recevoir car ça me mets mal à l’aise et j’ai du mal à croire ce que les gens disent. Encore plus maintenant qu’ils ne connaissent pas mon histoire. Ils me trouveraient moche rien qu’en sachant que j’ai des marques de violence sur le corps. J’aurai pu me trouver mignonne dans le passé, mais ça c’était avant. Je l’écoute, fais un signe négatif de la tête et baisse le regard avant de poser la question qui me fait le plus peur d’une petite voix : « Tu me trouves mignonne même avec les ecchymoses ? Et soit honnête s’il te plait ? » Finissant par l’embrasser pour tenter de me rassurer un peu.
Nous sommes sur le même pied d’égalité : nous sommes tous les deux chatouilleux. Le fait de le savoir me fait sourire mais comme je n’aime pas être chatouillée, je ne le ferai pas avec lui. Sauf peut-être s’il le mérite mais je garde cette pensée dans un coin de ma tête. En ce moment, il le mériterait mais ça risque de partir dans une bataille et je n’ai pas envie de ça alors je ne fais rien à part rigoler et lui dire « Désolée pour toi mon petit diablotin mais je n’ai jamais aimé la danse. » C’est vrai, je n’ai jamais aimé ce sport, je trouve ça sans importance. Par contre en soirée c’est différent, enfin c’était différent vu que je n’y vais plus à cause d’Henry et de la foule qui me fait peur.
Cela fait longtemps que je n’ai pas ressenti de plaisir à faire la cuisine et à manger. J’observe qu’il n’est pas un grand mangeur, tout comme moi. Cela va être difficile au début pour trouver la bonne quantité. « C’est peut-être pas aussi bon que toi… Tu aimes faire la cuisine ? » Dis-je en souriant, voulant apprendre à le connaitre un peu plus car je ne le connaissais pas tant que ça. J’écoute alors sa réponse à ma question en souriant, avant de réfléchir à notre programme de l’après-midi. Quelques secondes plus tard, je hausse les épaules toujours sourire aux lèvres : « J’ai juste envie d’oublier Henry et passer un moment ici au calme. On pourrait par exemple apprendre à se connaitre un peu plus ? » Avant de l’embrasser à nouveau sur les lèvres et l’emmener dans le canapé et s’assoir sur ses genoux et dans ses bras. « Car à part ton prénom, ton travail et ton animal de compagnie, je ne connais pas grand-chose sur toi. »
Kiss me hard before you go. Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. Got my red dress on tonight. Dancing in the dark in the pale moonlight. Done my hair up real big beauty queen style. Highheels off, I'm feeling alive. Oh, my God, I feel it in the air Telephone wires above are sizzlin' like a snare. Honey I'm on fire I feel it everywhere. Nothing scares me anymore. Kiss me hard before you go; Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. summertime sadness...♪
Je ne savais pas pourquoi je mangeais peu, peut-être que Katie avait bouleversé positivement ma vie. J'ai toujours été un gros mangeur, mais avec modération bien sûr. Je prend soin de mon corps, en aucun cas, je ne veux devenir gros ou même obèse. Même si je fais de la musculation, sa peut-être dévastateur de manger beaucoup. J'ai beaucoup de respect pour les gros sauf que je ne veux pas en devenir un. J'ai toujours voulu aider les personnes démunies, comme les obèses, les handicapés, et c'est ce que j'ai fait, avec des oeuvres caritatives. C'est pour cela, que au cours de ma vie, j'ai dépensé au moins 1000$ de dons pour les enfants démunis. Dans ma vie, je n'ai jamais été riche, mais j'utilise le peu de somme d'argent pour aider. Sa peut être bête de penser que ça changera toute une vie, mais, je ne suis pas le seul à faire cela. Une étude scientifique présume que près de 2 quarts de l'Amérique fait des dons au dessus de 500$. Sa fait une sacrée somme, pour les enfants démunis. Plus de 2 000 000 de dollards versés dans les assossiation caritatives. C'est pour la bonne cause, et je n'ai jamais detesté le faire. Il faut voir le résultat, pas les efforts qu'il faut fournir. Dans ma vie, j'ai eu des bas, et c'est à ce moment là, que je pensais aux enfants démunis. Il ne faut jamais être narcissique.
J'ai toujours été complimenté, mais je ne l'ai jamais assumé. Je n'assume pas d'être complimenté car je rougissais toujours. Surtout lorsque cele qui me le dit est aussi belle que moi. Mais Katie me contre-disais toujours, mais de façon gentille et aisé. Je la complimenterais toujours, car je ne dis que la vérité, sa beauté. Je n'avais jamais vu quelqu'un nier sa beauté, mais elle c'était pour une bonne excuse. Elle me demandait si même avec les ecchymoses elle était belle, mais je savais la réponse directement. Voit le bon côtés de toi, mon coeur. Favorise les bonnes choses et ne t'occupes pas des mauvaises. Juste après avoir fini ma phrase, je sentais ses lèvres se posaient sur les meinnes. Je ne savais pas si elle fesait ça juste pour me réconforter, mais en tout cas je ne pouvais plus les séparés. C'était marrant de rester quelques minutes collés, l'un contre l'autre. Nous étions collés en formant un petit couple, dans une grande villa. Je ne suis pas du genre à contredire une femme que j'aime, c'est pour ça que lorsqu'elle me dit de ne pas la chatouillé, je l'obeïrais. C'est vrai, que ce n'est pas très sensuel de chatouiller c'est pour cela que je ne le ferais jamais. je l'ai fait une fois, mais c'est juste pour rigoler, c'était une exeption. Je savais qu'elle n'allait pas me le faire à moi, je n'ai pas peur, juste que je connais assez bien Katie, malgré qu'on ne se soit rencontré une nuit avant. C'était pas dans mes projets de la faire fuir au contraire, je veux qu'elle reste avec moi et qu'elle se sente en sécurité. Nous rigolions toujours autant, car j'étais un vrai blagueur moi, un vrai de vrai. Le meilleur moyen de régler ses problèmes, c'est de rigoler. Je l'entendais dire qu'elle n'était pas fan de la danse, mais je savais qu'avec son mari elle ne devait pas aller bien loin dans les fêtes. Ils ne partaient même pas aux fêtes, sa se trouve. Tu as un joli petit déhanché pourtout. je disais pas ça d'un côtés pervers, en parlant de son fessier et loin de là. Chaque chose en son temps, je voulais juste la faire rire. En tout cas, je rigolais toujours autant, en pensant que ma blague allait être nulle, mais le principal c'est qu'elle rigolait de-même. C'était pas trop mon fort aussi, la danse, le seul sport que j'aime, c'était la musculation. Mais avec une femme, je ferais tous les sports du monde, car je serais prêt à tout pour le bonheur de la femme que j'aime. L'odeur de la bouffe se répendait rapidement dans la villa et commençait à y rester. Ce n'était pas négatif, juste qu'au bout d'un moment, c'était énervant. mais pas pour le moment, elle me demandait si j'aimais faire la cuisine, je voulais être franc avec elle. J'adore cuisiner, mais je ne le fais pas tout le temps, car je ne reste pas plus de 1 heure dans la villa. . Ca pouvait être paradoxal d'avoir une grande villa et de ne pas y rester, mais je ne vois pas grand chose à faire à part jouer avec Dude. Nous finissons de rigoler, mais nous avions toujours le sourire aux lèvres, comme si il était marqué au feutre permanent. Notre sourire allait sortir du bout de nos oreilles tellement il était grand. Elle me déclarait qu'elle voulait rester ici, ça ne m'enchantait pas mais je voulais faire un pas de plus avec elle. Je ne reste pas longtemps à la villa, je voulais franchir cap, et y rester plus de deux heures, juste pour elle. Je te raconterais toute ma vie, mais prépare-toi à découvrir des facettes de Jamie. Je ne savais pas si c'était la bonne solution, mais en tout cas, je voulais qu'elle en sache plus sur moi. Je l'entraînais sur le canapé, collant mes lèvres aux siennes. Durant le trajet, je ne les enlevais pas, car j'adorais ce moment. Elle s'asseyait sur mes genoux, se collant à moi, dans mes bras. C'était presque un rêve d'être aussi proche d'une femme, mais c'était la réalité. Je toussais en fesant semblant de prendre une foix de papi, lorsqu'on va raconter une histoire. Mais j'étais oblig& de rigoler après, car ce n'était pas du tout crédible. Je suis né au Québec, j'étais detesté par mes parents, enfin par mon père, car ma mère est morte après l'accouchement. Je n'étais pas du tout un enfant facile, car je sombrais dans le mauvais côtés, l'alcool, la drogue. Après ces paroles, je ne pouvais plus rien faire à part laisser couler une larme sur ma joue. Ces souvenirs exprimaient le mauvais côtés de mon enfance. Après, avoir vu la goutte tomber sur le canapé, j'incante de ma vois presque émoustuée. Excuse-moi, j'ai quitté le foyer familial, car je m'étais battu avec mon père, je vivais dans des foyers, mais ça ne me plaisait pas. J'ai rencontré, Hope. C'était pour moi, la femme de ma vie, c'est grâce à elle que j'ai reprit le contrôle de mon corps. Mais lorsque j'ai apprit qu'elle me trompait, j'ai quitté Phoenix, car j'y vivais après avoir quitté le foyer familial, pour venir à Burlington. Et voilà qu'une nouvelle vie commençait. Je laissais les larmes couler sur mes joues douces, en ayant les yeux globuleux de malheurs. Et toi ?
J’ai encore fait trop de nourriture ce qui m’arrache le cœur. En espérant que je pourrai en reprendre pour la maison et pour ma sœur afin de ne pas jeter. Depuis toute petite, j’ai été habituée à prendre soin de mes affaires et à ne pas déjeter de la nourriture car dehors dans la rue ou dans certains pays d’Afrique, les gens n’ont rien de tout ça. Aujourd’hui je perds cette habitude mais c’est une question de temps… Un jour je reviendrai comme avant : Pleine de vie, amoureuse comme jamais, prête à devenir maman et aidant des associations caritatives.
J’ai l’impression que pour les compliments, James et moi sommes pareil : Nous aimons en dire à l’autre mais ne pas en recevoir. Ensembles il faudrait que nous remédiions à ça. Je parle ensuite de ma plus grande peur, mais sa réponse ne laisse pas de doute, il voit que le bon en moi et pas le mauvais. Cela me rassure, par contre moi voir le bon coté c’est plus délicat : On ne peut pas dire que j’ai une grosse poitrine et j’ai de longues jambes fines. « Tu me fais rire, je n’ai que des mauvaises choses : J’ai une petite poitrine, je suis grande » Le seul truc positif se serait peut-être mon ventre car il est assez plat.
Nos lèvres sont encore en contact, à ce train là, je ne pourrai plus m’en passer. Mais je pense que c’est son but. Je n’avais jamais connu un coup de foudre avant lui et c’est juste magique. Nous rigolons aussi beaucoup, le rire est une très bonne thérapie, je me sens mieux. « Bientôt tu pourras en profiter mon cœur quand nous irons dans des soirées » Dis-je avec un clin d’œil. Bientôt ? Était peut-être un bien grand mot mais je compte retourner dans les soirées. « J’aime danser en soirée encore plus lorsque j’ai un beau mec à mes cotés. » Cela me donnait une idée, avait il un lecteur CD ? On danserait bien un petit slow tous les deux…
Lorsqu’il m’explique qu’il ne reste pas plus d’une heure dans la villa, je grimace. Cela va être compliqué moi qui n’aime plus l’extérieur. Enfin du moment que je suis avec lui ça ne me pose pas de problème. « Cela risque de compliquer les choses si toi tu ne restes pas dans la villa et que moi je suis casanière. » J’accorde que c’est moins drôle de rester à la maison quand nous sommes seuls mais à deux c’est différent, il y a toujours quelque chose à faire.
Je souris lorsqu’il me dit qu’il me racontera toute sa vie et il s’agrandit encore lorsqu’il me demande de me préparer à découvrir des facettes de sa vie. « Je suis prête James. » Dis-je d’une voix douce avant de l’embrasser sur ses lèvres pendant le chemin de la salle à manger au canapé. Je m’installe sur ses genoux et me blottit dans ses bras avant de passer une main dans ses cheveux pour lui caresser. Lorsqu’il parle, je l’écoute attentivement, mon autre main glisse sur sa joue pour essuyer ses larmes. Je l’écoute, je ne le juge pas. Tout le monde fait des erreurs dans la vie, cela ne fait pas de lui une mauvaise personne. Je me place différent sur lui et passe mes deux bras dans son dos pour lui faire un gros câlin. Je n’ai pas tellement envie de raconter ma vie : pas parce que je ne lui fais pas confiance, ou qu’elle est inintéressante mais je préfèrerai d’abord le consoler avant de raconter la mienne. « Je suis désolée pour ta maman et pour ton papa aussi. Je suis aussi désolée de t’avoir posé cette question, je ne voulais pas te faire du mal. » Dis-je en l’embrassant sur ses lèvres. Après quelques minutes de silence je commence mon récit : « Je suis née à Paris, j’ai une sœur ainée qui me déteste depuis que je suis bébé et une sœur cadette qui habite ici dont je suis très proches mais que j’ai perdue vue à l’adolescence. Pendant cette période je me suis tournée vers des associations caritatives et j’ai rencontré Henry. A 18 ans, je me mettais en ménage avec lui et 7 ans plus tard je me mariais, la pire histoire de ma vie ! Il y a plus de deux ans, il a fait une faute grave, on l’a viré. Il est tombé dans l’alcool et est devenu violent… » La suite de l'histoire je n'ai pas besoin de lui raconter, il la connait déjà. Ne sachant plus quoi dire, je reste silencieuse dans ses bras, jouant doucement avec une de ses mains.
Kiss me hard before you go. Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. Got my red dress on tonight. Dancing in the dark in the pale moonlight. Done my hair up real big beauty queen style. Highheels off, I'm feeling alive. Oh, my God, I feel it in the air Telephone wires above are sizzlin' like a snare. Honey I'm on fire I feel it everywhere. Nothing scares me anymore. Kiss me hard before you go; Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. summertime sadness...♪
Je ne sais pas ce qui m'arriverait, mais je n'arrivais pas à ne pas faire de don pour les associations carritatives. C'était presque impossible de ne pas le faire. Quand je vois les personnes qui s'en foutent ça m'exaspère. C'était comme si, c'était une nouvelle race humaine. Encore plus impertinent que les personnes qui le sont déjà. Ils n'auront jamais vecu dans leurs vies une journée, à se sentir humaniste. Je suis prêt à me battre, pour le faire comprendre que c'est important de le faire. C'était comme si, il n'avait rien à la place du cerveau, un simple haricot qu'il venait de bouffer. Je n'ai pas peur de me battre, et j'étais capable de mourire d'un combat, car c'est pour la juste et bonne cause. C'est quelque chose d'important, de faire des dons, pensez au enfant sur le point de mourire, ne voulant que du sang. On peut être utile mais pas qu'en aidant les personnes, en fesant des bonnes actions, encore plus utile que ça. C'est plus intelligent de le faire, surtout lorsque tu gâches de l'argent pour de l'alcool. Je ne comprendais jamais ces gens là, leurs philosophie de vie. C'était des personnes aussi têtu qu'un âne. C'est juste des vaurien n'ayant rien à faire sur ce monde plus humaniste qu'eux.
Je n'étais pas ce genre de gars à se vanter à chaque fois qu'on me complimenter, je n'autorisais personne à me complimenter. Je déteste ça, car parfois, ils ne le font, juste pour me draguer ou pour me satisfaire. Mais avec Katie, c'était différent, je la connaissais à peine, mais je savais que c'était vrai, qu'elle le tirait du fond de son coeur. Et c'était pour ça, que je rougissais, car maintenant.. Je savais que c'était vrai, que j'étais mignon, et j'étais loin de m'en vanter. Je n'ai jamais voulu le mal de quelqu'un, nuir à quelqu'un, le rabaisser. Ce n'était pas dans mon dictionnaire, je ne voulais que complimenter et la favoriser. Lorsqu'elle me demandait si elle était mignonne, je ne pouvais que prouver sa beauté, mais c'était vrai. Son corps était sublimement beau, et je ne pouvais pas mentir. Qui te dit que c'est chose font ta beauté ? Ce qui fait ta beauté, c'est ton visage, ton corps en entier, et non pas des éléments. Mais ce qui te fait toi, c'est ton caractère, ton coeur intérieur. Et c'est pour ça que je t'aime. Je lui avouais ce que j'avais au plus profond de mon coeur, c'était pour moi, la chose la plus belle que j'ai dite dans toute ma vie. Je n'avais jamais révelé quelque chose d'aussi beau à une femme, et moins à quelqu'un aussi belle. J'étais fier de moi, et je n'allais pas oublier ce oment, le moment où j'ai favoriser les valeurs de Katie. Et j'en étais loin, d'en finir. Nos baisers étaient sensationels, c'était comme si à chaque fois que je l'embrassais, toutes les mauvaises choses disparaissaient de ma tête. Elle était la lueur en moi, qui fesait battre mon coeur. C'était presque impossible pour moi, de me passer de ses baisers, de ses cheveux dans ma main. Nos corps collés me fesaient frissoner car, je n'avais jamais été aussi proche d'une femme, à Burlingtone, et c'était avec la personne la plus belle. ░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░ Lorsque que j'étais ado, je n'avais jamais cru au coup de foudre. Je pensais que les personnes victimes, n'étaient que des personnes en manque d'amour, d'affection. Mais là, j'avais un tout autre avis, j'étais victime du coup de foudre, et j'en étais fier. J'allais faire ma vie, avec la femme qui est magnifiquement belle. Je me voyais tout mon avenir en elle, avec elle, toujours avec elle. Lorsque nos baisers s'arretaient, notre histoire s'arrêtait aussi, notre vie anéantie, mais c'était juste la fin d'un baiser. Lorsque je la voyais grimasser ça ne me fesait que sourire, avec sa grimasse qui rendait son visage aussi beau qu'elle même. Mon sourire allait presque sortir par les laubes de mes oreilles. Elle me déclarait que je profiterais de son déhanché en soirée, avec son petit clin d'oeil. Sa me fesait sourire, car elle était moins timide que je ne le pensais. C'était comme si ses barrières philosphoques avaient disparues. Et j'en étais plus que fier. J'ai déhà hâte. Je fesais un clin d'oeil aussi, mais largement moins discrèt. Car je n'arrivais pas à faire de clin d'oeil. Je suis peut-être con, mais je n'y arrive pas. J'ai beau essayé, ce sont mes deux yeux qui se ferment simultanément. Mais je ne suis pas du genre a danser dans les soirées, je suis pire que ça, je fais pire. Je fais plus que cela, je gesticule partout. Mais avec Katie, je vais rester romantique. J'aime mais pas pour danser, pour gesticuler pour toi, mais avec un aussi belle fille, je resterais romantique. Et merci de ce compliment. J'avouais enfin que je fesais largement le fou dans les soirées. Mais j'espère qu'elle ne le prend pas mal, car je suis capable d'être romantique. Ce n'était pas mon point fort et loin d'être une qualité non plus. Je suis fou, en soirée, je suis genre l'animateur. C'est moi qui fait le mouvement, comme lorsqu'on fait la chenille, c'est moi le meneur. Je m'étendais sur le sujet, qu'elle me dit qu'elle est pour rester dans la maison. Je n'avais jamais été resté longtemps dans la maison, mais là c'est différent. Avec elle, c'est quelque chose d'autres. " J'y resterais pour toi, car je ne peux pas rester seul, sans toi. " disais-je assez romantique malgré ma voix rauque. Je ferais tout pour qu'elle soit dans un bonheur profond. Je décrocherais la lune pour son bonheur, sa joie. Je n'aurais jamais été aussi galant de toute ma vie. Je tiens à elle aussi, c'est tout pour moi, c'est mon coeur. Mon tout. ░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░░ Je n'avais jamais eu de problème à conter mon histoire, mais là.. C'était plus dur. Je le disais devant la femme de ma vie, mon âme-soeur. Elle était désolée, mais elle n'avait pas de quoi, car c'est mon hstoire, je l'avoue. Je la prennais dans mes bras, car j'adorais la prendre dans mes bras, et la faire un calin aussi gros, et affectueux. Ne t'en fais pas, juste des souvenirs amers. Je sentais directement après, ses lèvres se posaient sur les miennes, sa me reconfortaient plus rapidement. Elle me contait son histoire, mais ça ne changeait pas mon point de vue. Je l'aimais toujours autant. J'adorais ne faire qu'un avec elle, nos corps collés. Je me levais en posant subitement son corps sur le canapé, en n'incantant. Je vais faire ma douche, ne fais pas de bétise. J'allais en direction de la salle de bain, je ne savais pas pourquoi, mais j'avais l'automatisme de laisser ouverte la porte. Je me déshabillais et entrer dans la douche. Ca fesait du bien de se réveiller comme cela, une bonne douche chaude.
Lorsqu’une femme est mannequin, c’est qu’elle se trouve un minimum jolie, sinon elle ne trainerait pas dans ce milieu. C’est pour ça qu’au départ j’ai commencé par être mannequin et que j’ai arrêté quand mes problèmes de couple ont commencé. Je n’étais plus belle ! Henry me le faisait comprendre et j’y croyais dur comme fer ! Aujourd’hui c’est différent, je connais James que depuis quelques heures et pourtant je crois à ses paroles. Enfin j’ai toujours besoin d’une approbation mais dans quelques jours, ça ne sera plus le cas. J’écoute ses paroles et hausse les épaules même si inconsciemment je connais la réponse. Il n’y a qu’une personne qui me dit que ce sont ces choses là qui font ma beauté et c’est moi !
Je me concentre à nouveau sur ses paroles. Mon caractère n’est plus ce qu’il était avant. Mais là aussi, je compte changer et redevenir comme avant. « Mon caractère ?! Il est différent d’avant… mais tu n’as pas tord sur mon cœur intérieur même si tu ne connais pas grand-chose sur moi. » Dis-je en souriant. C’était peut-être le bon moment pour exprimer mes souhaits sur des associations… « En parlant de cœur… Tu penses quoi des dons aux associations caritatives et don de sang ? » Avant de finir par un baiser.
Son sourire s’agrandit lorsque que je grimace et je ne peux m’empêcher d’éclater de rire lorsqu’il tente de faire un clin d’œil. « Tu es si beau lorsque tu essaies de faire un clin d’œil. » Je ne me moque pas car je ne pourrai jamais le faire. Mon rire est doux tout comme ma voix. « Ce que je préfère c’est les chansons qui bougent mais j’aime bien les slows de temps en temps avec mon homme. » Dis-je encore en l’embrassant avant de rougir à ses paroles qui concernent la maison. « C’est gentil, mais je ne peux pas t’empêcher de quitter ta maison si tu en as envie. » Je ne compte pas habiter encore chez lui peut-être plus tard, quand je serai divorcé mais pas maintenant, je ne suis pas prête.
Il se confie et c’est un grand honneur même si son histoire est triste. Je resserre mon étreinte quand il me serre dans ses bras et je pose mes lèvres sur les siennes pour lui donner courage, compassion et amour. Subitement après, je le sens me porter et me déposer sur le canapé, mon corps se tend et je prends peur. « Katie, ne t’inquiète pas ! Il ne te fera pas du mal ! » Je tente de me calmer, fixant le vide face à moi, tentant de comprendre pourquoi il était parti si vite. Une larme roule sur ma joue, dès le premier jour, j’avais fait une gaffe ! Quelques minutes plus tard, je me lève et regarde ces CD, j’en prends un au hasard et le met dans le lecteur, ne le mettant pas trop fort car comme il l’avait dit, je ne pouvais pas faire de bêtises en son absence. Ne voulant pas déranger son moment de douche, je reprends ma place sur le canapé et l’attend en cherchant une excuse à lui donner.
Kiss me hard before you go. Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. Got my red dress on tonight. Dancing in the dark in the pale moonlight. Done my hair up real big beauty queen style. Highheels off, I'm feeling alive. Oh, my God, I feel it in the air Telephone wires above are sizzlin' like a snare. Honey I'm on fire I feel it everywhere. Nothing scares me anymore. Kiss me hard before you go; Summertime sadness. I just wanted you to know That baby you're the best. summertime sadness...♪
Depuis mon arrivée, je n'avais pas fait de rencontre aussi importante. Je ne sais pas ce qui m'empêchait d'en faire, mais je suis bien fier de l'avoir rencontré? Je ne regretterais jamais cette rencontre, car c'est peut-être la femme de ma vie, avec qui je ferais tout. Je voyais tout mon avenir dans ses yeux, et bien sûr avec elle. Je ne pouvais pas me retenir de penser à notre avenir ensemble, l'un contre l'autre, explorant le monde entier. Ma vie de couple a toujours été difficile après ma rupture, mais je compte bien reprendre ma vie avec Katie. Ses baisers me fesaient oublier tous les mauvais souvenirs de ma mémoire, pour alors profiter de l'instant présent. Je n'arrivais plus à la retirer de mes pensées, elle était mon cerveau en entier, sans elle.. Je ne pouvais rien faire à part pleurer. Mais je n'espère pas que sa va se produire, car j'ai des sentiments pour elle, je les aurais toujours, jusqu'à la fin de ma vie, car je l'aime ! Sans elle, je n'arriverais pas à vivre, son caractère, sa beauté, je ne m'en passerais jamais, tout comme ses baisers.
Je voyais que Katie, ne fixait que le côtés négatif d'elle. Alors qu'elle a un super potentiel, en parlant de beauté et de caractère. C'est dur de retrouver la confiance en soi, mais j'allais tout faire pour qu'elle la retrouve. C'est important d'avoir confiance en soi, et encore plus dans un couple. Je n'ai jamais été philosophe, mais je sais comment m'y prendre pour lui redonner confiance. Je l'entendais dire qu'elle avait changé, mais je savais.. Qu'au fond d'elle, elle voulait tout me dire, jusqu'à savoir sa vie telle une leçon de grammaire. Je découvrirais un jour où la Katie d'avant, car j'ai le malin plaisir à remonter dans le temps et voir ce qui c'est passé. " Tu marques un point, mais je sais déjà que tu m'aimes. C'est le principal. " Tel un film dramatique, je déposais un bisoux sur ses lèvres pour prouver encore et encore que je l'aime. Je ne pourrais jamais me lasser de lui dire je t'aime, car c'est le seul moyen de prouver mon amour pour elle. Je suis le maître des gaffes, il ne faut pas se merder avec une aussi belle femme. Elle me demande mon avis sur les associations caritatives. Et devant mes yeux ébaillis, c'est ce que j'attendais. Ce n'est plus un sujet tabou pour moi. Je suis un homme qui économiserait plus de 500$ pour ensuite, les donner aux associations. C'est soit tout, soit rien. Je viens fouillé dans ma poche de pantalon afin d'y sortir une médaille. Ce n'était pas une médaille ordinaire, c'était un PINS. Ce PINS représentait tout pour moi, c'était un cadeaux de la santé publique, pour me féliciter de ma fidélité et de ma paix. J'ai eu cette médaille en guise de merci, après mon centième dons au sein des associations caritatives. Voilà, la réponse à tout. Je venais déposer le pins dans sa main, que je fermais ensuite pour lui faire sentir que c'est important. La chose qui était importante à mes yeux, était entre les mains de ma future femme, de la femme de ma ville. C'était un moment émouvant pour moi, car je fesais confiance à Katie, et je savais qu'elle allait en prendre soin. Je n'aurais jamais fait ça avec une autre femme, juste elle. J'hésitais en fondre en larme, mais je pleurerais trop souvent, je dois être un peu macho. Je venais l'embrasser sur ses lèvres attachées aux miennes.
Je ne sais pas si c'est normal, mais je n'ai jamais réussi à cligner un seul oeil. Beaucoup se moque de moi, parce que j'y arrive pas. Mais ce n'est pas important - plus important que rouler les "R" en tout cas-. C'était peut-être un défaut, mais à moins de vouloir draguer d'un clin d'oeil.. Je ne vois pas à quoi ça peut servir. Elle me complimentait alors en disant que je suis beau en essayant, sa ne pouvait que me faire rire. Elle jouait avec ma joie, mon coeur, mon euphorie, mon rire.. Et j'adore ça. " C'est tellement dur.. " Je continuais encore, car je voulais réussir au moins une fois dans ma vie, de faire un clin d'oeil. Je réussissais enfin à faire un clin d'oeil, enfin.. Je pensais.. ( Clin d'oeil ) . Je criais dans toute la maison, pour voir si c'était bon, un vrai clin d'oeil. " C'est bon là ? Hein ? Oui.. Je pense ! J'étais tout affolé à l'idée d'avoir fait mon premier clin d'oeil de ma vie, en présence de ma femme. C'est vrai, que mon coeur fesait tout pour que je réussisse. Elle me dit qu'elle aime les chansons qui bouge mais aussi les slows. A vrai dire, j'adorais les slows. Sentir nos corps se collaient. Retenir notre respiration. Être à l'unisson avec une danse qui nous réconforte. Poser sa tête sur l'épaule de l'homme. Faire battre son coeur pour la femme qui danse avec toi. Mon premier slow était un moment fort dans ma vie, l'un des meilleurs moments mêmes. Je savais comme faire pour anser un slow, mais je n'ai jamais été le pro. Je n'arrète pas de pleurer à la fin d'un slow, car je n'avais jamais été aussi prohe d'une femme lors d'une danse. J'ai toujours gesticulé comme un fou, lors des danses. Mais avec les femmes, je me ressaisit comme-ci, j'y jouais ma vie. Les slow sont pour moi, les moyens de prouver mon amour éternel pour toi, Katie. Sentant ses lèvres se posaient sur les miennes, je ne pouvais que la serrer contre moi, pour alors sentir son coeur battre, pour moi. C'était comme une déclaration d'amour, mais ça ne l'était pas. Nous avons encore des choses à passer ensemble pour me marier avec elle. C'est vrai, que je sortais tout le temps car je ne fesais rien ici, mais avec Katie c'est différent. Je ferais tout ce qui n'est pas dans mon quotidien, pour lui faire plaisir. " J'y resterais tous le temps que tu voudras. "
Je voulais absolument éviter ce sujet, mais avec elle.. Je me sentais pousser des ailes, ce n'était plus le James normal qui était là.. C'était James, l'amant. Sentir son corps se collait au miens, ne pouvait que faire monter mon amour pour elle, monter la vitesse de battement pour elle. Ses lèvres venaient se posaient sur les miens. C'était l'apothéose de notre amour, le sommet du sommet. Sa me donnait encore plus de force pour finir mon histoire.. Mais je ne pouvais pas m'empêcher de me doucher, je ne soutenais plus ce fardeau. Je me déshabillais pour rentrer dans ma douche, pour me réveiller de ce rêve tendre et délicat. Après ma douche, je m'étais habillé simplement ( ici ) pour rester dans la maison quoi. J'arrivais dans le salon, répartissant mon parfum One Million dans toute la maison. Je ne sentais rien d'anormal à part la musique dans le salon. Sa me fesait sourire de la voir soucieuse. Elle ne m'avait pas entendu arriver dans la salon, malgré la sonorité. J'arrivais à pas de velour derrière elle, après m'être rendu compte qu'elle ne m'avait pas vu. Je lui fais quelque baiser sur le cou, sur les oreilles en demandant alors. C'est une invitation ? Je fesais recourt à la musique qu'on entendait assez fortement.
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