[Terminé][Hot Ø -18 ]Une journée ennuyeuse, pour un travail flemmard ( ft. Loukas )

» A sport, is not an activity but a way to seduce

alasky ∞ loukas

“ ― Si tu rencontres
un homme de valeur,
cherche à lui ressembler.
Si tu rencontres un homme médiocre
◄► cherche ses défauts en toi-même.„

'Regarder sa montre', je le fesais chaque minutes sentant le temps passer si lentement que la personne devant moi était à son 5e verre.
Je n'arretais pas de lui servire de l'eau fatigué, fesant semblant de lui donner de la Vodka. Il était si bourré qu'il pensait vraiment que c'était de la Vodka.
Au fond de moi-même j'étais mort de rire.
L'homme devant moi fixait mon T-shirt blanc avec des rayures bleues avec ses yeux verts.
J'étais un peu rouge car je sentais qu'il me fixait mais je ne voulais pas lui dire d'arrêter.
Je fixais le sol de mes yeux bleus, je ne pouvais pas le regarder de face, je suis timide.. Et alors ? J'assume.
Je ne pouvais supporter ce regard fixé sur moi, je suis de service jusqu'à 21 heure. « Il est temps de rentrer chez vous, monsieur ».


Ma voix simple et calme, gazouillante venait obliger le monsieur à se lever à repartir.
Je n'avais pas penser si il avait une voiture ou pas, mais vu que je lui avais donner de l'eau, il risquerait d'aller très -très très- loin.
Je me sentais relâcher après qu'il soit partit, mais je fixais toujours ma montre sentant le temps passé de plus en plus lentement.
Je prennais mon mal en patience en jouant avec la paille qui traînait sur le comptoir.
Un coup à droite, à coup à gauche.. Et là paille quif esait des tours sur elle-même.
Ma journée était catastrophique, avec le temps qui avait gâché mon allé au parc. Cette fichue pluie !!

Et voilà que mon boulot qui me servait de passe-temps et de financement, se retrouver en ennuie total !
Je regardais les couples, les tourtereaux se lécher les lèvres, se les mordiller. J'étais limite en train de pleurer de chagrin.
Deuis mon arrivé, aucun homme n'a sû me satisfaire. Je savais que ce moment allait venir, mais il avait râté l'avion d'après les rumeurs.
J'acquissa un léger sourir après ses pensées drôles qui n'avaiet aucun sens, mais j'avais toujours une lueur de chagrin malgré ses paroles.
J'écoutais la cloche qui rotentissait à chaque allée et venue des soulards qui venaient dans le bar à cette heure.
Je pouvais dire que c'était des soulards car la plupart marchait tord en sortant.
Je n'étais pas comme ça moi, je régulais mon taux d'alcool pour ne pas avoir une tronche d'escargot. Je disais toujours ça dans ma tête car on est vite tentait par l'alcool.
J'essayais de faire du beat-box avec la cloche qui sonnait toute les minutes jusqu'à qu'une dame me mette en piece dans ma main. Je regardais ses yeux sombres cachées par ses lunettes de soleil.
Je ne savais pas si c'était pour me faire taire ou pour me féliciter, mais je l'avais bien prit.
Mais je m'arrèta quand même pour pas déranger les tourtereaux qui se lécher les lèvres.


La cloche retentissa si fort que mon regard se posa sur l'homme qui venait d'entrer.
Il était si beau, son corps si parfait.
Il était pas fait pour moi, mais je le gardais dans ma tête, j'étais si timide que je baissa le regard.
Il s'approcha de moi s'en faire de bruit, je commençait à voir sa silhouette de plus en plus proche, jusqu'à au moment où je lève les yeux et je vois son buste, sa tête et son corps en entier.
Je restais bouche-bée devant ce corps si parfait qui fesait 2 fois ma taille, au moins.

― made by clem' . citation by bastille ―

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alasky ∞ loukas

“ ― Si tu rencontres
un homme de valeur,
cherche à lui ressembler.
Si tu rencontres un homme médiocre
◄► cherche ses défauts en toi-même.„

L'atmosphère s'était rapidement rechaufée avec la venue de l'homme, le grand homme.
J'étais si timide qu'un homme comme ça, je ne pouvais le regarder dans les yeux, je ne pouvais lui adresser la parole en premier.
Ultérieurement, je suis une femme, n'est-ce pas l'homme qui doit faire le premier pas ? J'attend dans mon coin qu'il m'adresse la parole.
Je pouvais attendre longtemps avec des hommes de plus en plus bizarres, il y en avait un qui ne m'avait jamais adressé la parole, jusqu'à que je comprenne qu'il était muet.
Il y a des hommes qui n'assume pas leurs corps, comme moi, mais j'en suis fier. Petit, je me déguisais en fille, je parlais tel une fille, je me maquillais, je fesais tout pour être une fille mais mes parents ne le voulaient pas.
Un jour, j'étais partit à l'école déguisé en fille fesant croire à mes professeurs que j'étais une étrangère. Je m'y plaisais, je sentais que ça devait être mon état pendant tout ma vie.
J'ai toujours voulu être une fille, mais dans la vie il y a des obstacles.
Mais pendant toute ma vie, je serais une fille, je resterais une femme avec la corpulence d'un homme.
Mes proches me prennent pour une fille tandis que d'autre me prenne pour un homme.


J'espère qu'un jour que tous les gens que je croise, penseront que je suis une femme sans être habillé en femme.
Mais c'est impossible. Je voudrais un homme qui sâchent des le premiers abord que je me comporte comme une femme, ça serait un test.
Cette homme là, sera mon homme pour la vie, sera mon mari. Mais pour l'instant aucun, ormis la solitude qui me parle de mon homosexualité depuis toujours.
J'ai beau me faire des amis, la solitude me parlera toujours. Peut-être qu'avec un homme, - l'ennemi - la solitude partira dans des scieux inconnus.
Je l'espère fort ! J'attendais toujours un homme qui va faire fuire la solitude en moi, pour me consacrer qu'à lui. J'en rêve tous les soirs, lorsque je serre fort mon oreiller pensant que ça sera mon prochain mari.
Je pleurais tous les soirs en quête du grand amour, de l'âme-soeur, l'homme qui sera faire un seul avec moi.
Mais un homme parfait prend toujours du temps à arriver, on attend si longtemps qu'on en perd l'objectif.
A travers ses couples qui s'embrassaient dans le bar, je me rapellais des souvenirs avec mon oreiller.

L'homme arrivait devant moi, de mon point de vu, il touchait le plafond avec son cuir-cheveulu.
Je savais qu'il me voyait, seul dans mon coin attendant l'action.
Salut
J'acquiessa un léger sourir au coin de ma lèvre fesant apparaître mes fauscette.
Je devenais tout rouge avec sa voix rauque sans une seule hésitations.
De sa parole, j'étais transvasé de pensées de plus en plus originales.*C'est l'homme parfait. Ô non !
C'est mon futur mari ? Peut-être !
C'est peut-être un mannequin ? Je l'espère bien !


Mes pensées s'étaient d'un seul coup arretées, ma tête était vide, ma cervelle était en lévitation dans ma tête.
C'était le même effet d'avoir bû 25 verres de Tequila.
C'était peut-être sa beauté qui me fesait cette effet ? Sa parole si douce ?
Je gardais la tête basse je sentais qu'il me fixait.
Je ne pouvais pas le regardait avec mes fausettes et mes joues toutes rouges.
« Il est temps de rentrer chez vous, monsieur ».« Je peux avoir un verre. Tu me conseilles quoi ?. » Je levais ma tête directement en écoutant ça parole, si rauque que ça m'interpeller.
J'arrètais pas regarder derrière lui, car je suis très timide.. C'était un si gros défi de rester au moins 5 minutes les yeux rivés sur lui.
J'avais la chaire de poule, avec cette homme si magnifique.

« Il est temps de rentrer chez vous, monsieur ».Un hom..homme si beau.. beau que v..v..vous, ne dois pas..pas.. boire.
Je n'arrivais même pas à enchaîner une phrase d'une seule incantation tellement que je stressais.
Je savais pas si cette phrase était bien placé, mais c'était la seule qui m'était passé à la tête.
Au fond de moi, j'étais choqué et déçu de moi.

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“ ― Si tu rencontres
un homme de valeur,
cherche à lui ressembler.
Si tu rencontres un homme médiocre
◄► cherche ses défauts en toi-même.„

J'arretais pas de regarder le sol en attendant la réponse du beau brun.
Je ne pouvais pas le regarder dans les yeux, j'étais comme soumis à lui, il était supérieur à moi.
La femme était inférieur à l'homme, je ne nierais jamais cette loi. Je suis pour cette loi, il ne faut jamais se confronter à un homme.
Il vous battera, il vous tapera, mais moi j'aime ça.
L'homme sera toujours supérieur à la femme, il est plus utile dans la vie que la femme.


Je pensais à sa dans ma tête jusqu'à que sa parole briève retentisse dans ma cervelle.
Pardon
Je ne comprennez pas pourquoi il disait ça, jusqu'à une pensée si logique traverse mon cerveau.
Merde !! J'aurais pas dû lui répondre de cett façon, mais quelle conne ! Mais je dois me suicider ! Qu'est-ce que j'ai fait putain !
Dans deux minutes, ma tête allait explosé dans le bar jusqu'à en gâcher le beau visage de l'homme devant moi.

J'étais tout rouge, en regardant toujours le sol. J'étais toujours soumis à l'homme mais je ne voulais lui faire tête, ça serait un suicide.
Regarde moi s'il te plaît quand tu me parles
J'accomplissais rapidement l'obligation en relevant ma tête vers son visage qui parassait si doux que ma main voulait la toucher.


Je dévoilais enfin mon visage, doux et mes yeux bleus à l'homme devant moi.
Excuse..Excuse-moi..
Je balbutiais toujours dans une soumission compromise. J'arretais pas de regarder dans tous les sens juqu'à au moment où nos regards se croisèrent.
Je regardais son visage, tandis que le sien, regardait le mien.
Devant les yeux de l'homme, je devenais tout rouge. J'étais si rouge qu'une hémoragie interne serait semblable à ma tête !
Je restais figer sur lui, l'envie de l'embrasser en le prenant par le menton aiguisé de poil de barbe.
Mais je me suis retenue, car ça serait un peu trop direct, et il m'aurait peut-être gifflé comme une folle dingue.

Je cherchais quelque chose à faire en baleyant du regard l'envers du décor, derrière le comptoire.
Mes pensées étaient toutes farfeulues jusqu'au moment où je décide de lui donner du TGV.
Je préparais ça devant ses yeux en moin de 5 minutes, j'étais complètement en stresse voulant le satisfaire.
Une fois le TGV fini, je tendais le verre devant lui en disant de ma voix douce et hésitante.
" TGV.. Teq..Tequila.. Gin..Gin et Vodk..Vodka."
Le stresse avait prit le dessus, je ne voulais pas pleurer devant ses yeux, mais je ne voulais pas rigoler sans raisons non plus.
Le seul moyen de le plaire était d'accomplire ses ordres, je suis peut-être sa futur femme, je dois le satisfaire.

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alasky ∞ loukas

“ ― Si tu rencontres
un homme de valeur,
cherche à lui ressembler.
Si tu rencontres un homme médiocre
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J'arretais pas de regarder le sol en attendant la réponse du beau brun.
Ce début de journée était pourrie. Un réveil du pied gauche, rien ne m'allait lors de l'habillage et je loupe le bus pour aller au bar.
On peut dire que c'est la malchance, la gay pride ne m'a pas encore rendu heureux il me semble.
Lors de la pause, alors que je suis dans le parc, la pluie arrive mais quelle belle journée ! La vie ne fait aucun cadeau aux femmes ou quoi ?
Et un service durant plus de 7 heure, je rêve d'une vie parfaite, de ne pas avoir de limite. Mais c'est loin d'être le cas à ce que je vois.
C'est ce que je pensais jusqu'à ce que cette homme merveilleusement beau entre dans le bar. Il m'a éclarcit mon chemin vers l'amour fou.
C'est lui qui m'accompagnera il me semble. Il me tiendra par la main jusqu'à la vie parfaite, l'amour infinie.
Lorsque je le regardais, je me visualisais directement ma vie avec lui.
Nous aurons un enfant qui s'apellera James. Il sera aussi beau que son père, on dit souvent: tel père, tel fils.
On voyagera sans cesse, car nous seront le premier couple homosexuel à s'être marié.


Mes pensées envahissaient mon cerveau jusqu'à ce qu'il me dise que ça n'est pas grave de ne pas regarder ses beaux yeux sombres en le parlant.
J'aimais reçevoir des ordres, car façe un homme, je ne suis rien. Une femme qui veut reçevoir des bisoux, de l'affections.
Ce n'est pas ça le rôle d'une femme, pour moi si.
Je suis très tactile, d'un moment à l'autre je pouvais le prendre dans mes bras, mais ça pourrait être sadique.
Je dois faire bonne imprétion devant ses yeux qui scrutent mon regard.
Je le regardais sans arrêt me rapellant de tous les souvenirs d'amour qui aparaîssait dans ses yeux sombres.
La première fois que j'avais fait un baiser à un garçon, la premiere fois que j'étais dans un lit avec un homme, tout cela repassé sans arrêts dans ma tête, positivement bien sûr !
J'adorais ses souvenirs, je pensais faire pareil avec lui, car c'est l'homme de ma vie ! L'homme parfait !

Je fesais un TGV pour lui, pour me pardonner, mais aussi pour le prouver mon amour.
Je fesais avec le sourir, toujours en train de penser aux souvenirs. Dès son arrivée, il hantait mes pensées. Il restait dans mon cerveau pour ne plus en sortir.
C'était quelqu'un d'important dès son entrée, je voulais tellement l'embrasser que je fesais le TGV de plus en plus vite.
Sa barbe paraîssait si douce qu'elle aurait été parfaite pour caresser des bouts de mes doigts en embrassant ses lèvres pulpeuses et douces.
Mais d'une fraction de seconde, une pensée arrive. Peut-être qu'une vie déjà faites n'est pas une vraie vie.
Mon morale était redescendue, jusqu'à que je pense qu'il est si beau que la vie nous feras une exception.
Il est si beau que mère nature jouera en sa faveur.


J'avais fini le TGV avec le sourir et toutes mes fausettes. Je tendais le TGV avant d'entendre les remerciements de l'homme.
Mon sourir s'allongeait jusqu'à ce que mes dents blanches et aiguisées apparaîssent.
Je rougissait rapidement avec l'apparition de mes dents sous les yeux bruns de l'homme.
Normalement, je souris avec les dents que lorsque c'est un très grand délire, mais là, l'exception.. C'est homme bousille toutes mes lois, mes règles, mes aptitudes.
Quotidiennement, je ne suis pas timide, je ne rougis pas aussi vite. Mais il a quelque chose qui m'interpelle.
cette homme est fait pour moi ! Mon coeur battait de plus en plus vite après avoir criait ette parole en moi.

'homme aggripa le verre de sa main devant moi, mes yeux bleus décrivez toutes les actions qu'il fesait.
Je visualisais toujours les vacances de rêve avec lui jusqu'au moment où il me poste une question.. Qui m'intimide beaucoup.
"C'est moi qui te mets dans un tel état ?" C'est mon futur mari, je devais faire preuve de franchise.
" Tu es si beau que mon attitude change. "
J'avais été fier de moi, car c'était la première fois que je disais mes sentiments à un homme si beau.

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J'arretais pas de regarder le sol en attendant la réponse du beau brun.
Le monde arrivait sans interim dans le bar, malgré que l'heure se fesait tardive et que le soleil s'était couché.
Mais je n'y pretait pas attention, j'avais les yeux rîvés sur l'homme devant moi.
Il me fascinait, un cuir-cheveulu net, malgré que la quantité de gel soit trop voyante. Un visage lisse et net sans oublier ses lèvres pulpeuses qui mériteraient bien un doux baiser.
Je me demandais si son corps était muslcé, j'y metterais bien ma main sur ses abdos pour examiner.
Je ferais sa avec plaisir, mais je ne peux pas, je ne suis pas assez proche de lui, et je suis au travail, mon patron va m'engueuler.
Mais, cet homme est une excpetion, pourquoi pas le faire.. J'avais tellement envie de le faire que ma main était prête à tout.
Malgré l'envie, je ne l'avais pas fait.
Je regardais son ventre de mes deux essayant de trouver un petit bout d'abdos qui pourrait dépassés.
Mais yeux étaient rivés sur son ventre mais je redressais rapidement mon regard sur son visage d'ange et elfique.
Je voyais sa bouche s'ouvrir pour y fair rentrer le TGV que je venais de faire.
D'après son expression du visage, ça ne l'avait pas déplût.
On voyagera sans cesse, car nous seront le premier couple homosexuel à s'être marié.


Je fixais son visage d'ange avec la cloche qui sonnait plus souvent car les gens partaient.
Il se fesait tard, si tard qu'on était seul dans le bar, il n'y avait plus personne.
Je regardais la salle vide en fesant des allés et venues de son visage à la salle.
Je ne pouvais plus le lâcher du regard.
A chaque fois que je le regardais, j'y voyais notre avenir, notre vie plus tard, ensemble.
C'était trop demandé de ne plus le regarder, son visage c'était comme l'alcool, une fois, deux fois.. Et on ne s'arrète plus.

Le silence était arrivé dans le bar par contre la chaleur était partit, il fesait un froid de canard.
La seule chose que je pouvais faire était de me frotter les bras l'un contre l'autre. Merci, c'est gentil mais tu es pas mal non plus tu sais. Je rougissais rapidement sous le compliment de l'homme que je n'arretais pas de regarder.
J'étais maintenant sur et certains qu'il serait pour moi. Il est si eau que je ne pouvais plus rien dire.
Habituellement, tu ne rougis pas de la sorte si je comprends bien. Et, tes petites fossettes n'apparaissent que si le mec en face de toi te plait, c'est ça ?
ça voir rauque venait couper le silence qui régnait dans la salle. Je répondais longtemps après, rêvant sur son visage d'ange.
Devant mes yeux ébaillits, il n'était pas saoûle, il avait toutes ses dents, et toute sa tête.
Je prennais son cou entre mes deux mains le regardant de mes deux yeux bleus dans les siens.
Je le rapprochait de plus en plus en tirant gentillement son vers le mien en ayant le coeur qui palpite dans tous les sens.
Une fois proche, je déposa un doux baiser sur les lèvres pulpeuses de l'homme devant lui.
J'étais choqué de moi, je m'exclame rapidement en m'excusant.
Excuse-moi, pardon.. Merci pour le compliment.
Je venais baissé le regard en m'insultant dans ma tête. Je réagissais au moment qui venait de se passer.
J'avais été fier de moi, car c'était la première fois que je disais mes sentiments à un homme si beau.

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cherche à lui ressembler.
Si tu rencontres un homme médiocre
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En me levant ce matin, je n'aurais jamais penser faire cette rencontre.
J'avais la tête ailleurs ce matin, je pensais à mon avenir -sans cet homme-, un bel et joyeux avenir.
Un avenir normal, comme tous les avenirs qui pourrait y avoir dans le monde.
Avoir une maison, un travail, un beau chien qui ne servira d'amoureux.
Je pense ça à chaque début de journée râtée, comme si c'était un moyen de savourer la vie à pleine dent.
Mais en ce moment, ce n'était pas trop le cas, un travail de merde, qui lui rapporte peu, juste de quoi pouvoir manger.
En plus, je ne suis pas le genre de mec à vouloir draguer au boulot, loin de la.
Mais avec cette homme, les lois de la gravité sont mortes, il m'attire trop vers lui.
Les lois du travail sont mortes, j'aime quelqu'un au boulot
Les lois des mathématiques sont mortes, une chevelure parfaite, un visage d'ange, un corps musclé c'est égal à un homme parfait.
Les lois du français sont mortes, je répète plusieurs mots à la fois que je n'arrive plus à parler - il faudrait que je m'achète un dictionnaire -.
Les lois de la science sont mortes, la projeniture d'un ange cumulés à Dieu est née à New-York.
Les lois de la religion sont mortes, le deuxième Dieu de la beauté est arrivé à New York.
En bref, cet homme est parfait.
On voyagera sans cesse, car nous seront le premier couple homosexuel à s'être marié.


Le baiser que je lui avait donné m'avait donné une confiance si folle que je pourrais continuer le baiser.
Je voulais voir sa réaction de mes yeux bleus en léchant mes lèvres pour avoir le goût de ses lèvres dans ma gorge.
Pendant de longue seconde, je restais figé, j'aurais bien voulu l'attraper par le cou et sauter sur lui, mais au lieu de ça, je me suis excuser.
C'est obligatoire de s'excuser après un tel moment, aussi romantique que dangereux.
Ma tête était remplit de questions: Pourquoi il ne m'a pas repoussé ? Pourquoi ne m'a t-il pas frappé ? Si il aimait, pourquoi il n'a pas continué ?
J'ai faillit m'évanouïr sous le choc, toutes les idées me passaient dans la tête mais une seule était retenue: J'étais trop rapide.
J'avais toujours le sourir au lèvres, alord qu'au fond de moi, j'étais si triste de ne pas avoir continuer.
C'est peut-être car le moment présent était si beau que mon corps était fier, mon corps était divisé en deux: d'un côtés, la joie; de l'autre côtés, la tristesse.
Ca peut-être paradoxal mais je le suis, comme quoi. C'est homme est fait pour moi !

Il m'ordonne de sa voix rauque d'arréter de m'excuser malgré ce baiser.
Il l'avait peut-être apprécié ?
Je le regardais toujours de mes yeux bleus, je ne l'avais pas quitté des yeux, devenant de plus en plus rouge.
Je n'entendais même plus le cuisto derrière, en cuisine, sa fritture était devenu sourde à mes oreilles.
Regardant son visage angélique, j'étais tracté, m'obligant à regarder ses yeux marrons claires.
J'étais comme stupéfié devant lui en me déclarant que ce n'était pas grave.
Je ne bougeais même plus, de plus en plus il parlait, de plus en plus je m'immobilisais.
Je voyais de mes yeux bleus qu'il laisse un billet sur le comptoir, preuve qu'il n'est pas saoûl.
Le TGV, un cumulus des alcools les plus forts ne l'a même pas bourré la gueule, est-ce de la magie ?

Je prennais le billet de ma main droite, le mettant dans ma poche de chemise, j'étais si fier que je souriais jusqu'à mes oreilles.
Je le voyais partir rapidement, en m'exclamant qu'il attendait dehors.
J'étais tout fou à l'idée de le revoir, je me dépèchais de prendre mon sac à dos Eastpak rapidement.
Mon Eastpak se trouvait sous le comptoir, on ne pouvait pas le rater, il était bleu avec des poids rouge, un aveugle pouvait le voir.
Je criais de ma voix douce et simple: “ Cuisto, je pars, Tchoos ”. j'étais si exité que ma voix aurait pû traversé le bar jusqu'à la rue dehors.
Je courrais vers la porte en fesant un de ses vacarmes, pire qu'un tsunamie.
J'ouvrais la porte de main droite, en la fermant si fort que la cloche avait fait 2 tours sur elle-même.
Je scrutais d'un mouvement horizontal la rue de mes yeux bleus, jusqu'à ce que mon regard se pose sur l'homme assis sur le bord de la vitre à ma droite.
C'était peut-être un rendez-vous.
A ma sortit, j'étais tout rouge, souriant comme si je venais de naître.
Il me fesait toujours être timide, donc je m'approchais de lui de ma gestuelle mi-féminine, mi-masculine, mon Eastpak accroché à une bandoulière sur l'épaule gauche.
“ J'espère que je n'ai pas était trop lent.”
Je le regardais toujours de mes yeux bleus, car j'avais bien appris la leçon.