[Terminé][Hot Ø -18 ]Une journée ennuyeuse, pour un travail flemmard ( ft. Loukas )

» A sport, is not an activity but a way to seduce

alasky ∞ loukas

“ ― Si tu rencontres
un homme de valeur,
cherche à lui ressembler.
Si tu rencontres un homme médiocre
◄► cherche ses défauts en toi-même.„

Normalement, quand je quitte le travail, je suis fatigué, déprimé, épuisé.
J'avais travaillé de pleins fouet, donner tout ce que je pouvais et le soir, je suis presque mort mais vivant.
Le boulot est quelque chose d'aussi ennuyeux qu'être chez sa grand-mure -pour moi-.
Quelque chose où tu donne ta peau pour faire le meilleur de toi même, et ensuite tu as une paye aussi minuscule que ton petit orteil.
Avec un patron qui est plus q'unfame, il serait mieux dans la famille de Satan.
De plus qu'il n'est jamais là, mais dans ce boulot pitoyable, il y a des points positifs, vous pouvez rencontrer des personnes.
- comme cette rencontre fabuleuse -
On peut aussi boire à volonté quand on est en dépression -ce qui est rare avec moi-.
Le bar est proche de chez moi, malgré que je dois prendre le bus.
Le bar est placé dans une zone pluvieuse, j'adore quand il pleut ! Je ne sais pas pourquoi.



Le bruit des voitures étaient si fort que j'avais entendu le bruit de la cloche d'un so légèrement sourd.
Je le vois de mes yeux bleus se levait me voyant arriver, il était si grand, que j'étais un adolescent fasse à lui.
Fin', je paraissait adolescent, avec mon sac, avec une bandoulière.
Je fixais sa barbe, qui paraissaît être taillé avec des mains qui pouvaient être sa mère ou son barbier en lui-même.
Sa barbe était parfaite, tout comme lui, des poils qui partaient dans tous les sens, son charme prenait le dessus.
Dès que j'étais devant lui, j'étais tout rouge tel une tomate.
C'était une preuve de timidité, peut-être.. J'espère qu'il le prenait bien, car si il me voyait comme une fille timide et reservé, négativement, ma vie est ruinée !
Je pensais à tout sa, jusqu'à ce que mon coeur se brise en douze morceaux respectives.

Il me certifiait alors que je n'avais pas été si lent avec sa voix rauque. Il me regardait avec le sourir, c'était une des choses qui mettait parfaitement en valeur sa beauté.
J'étais plongé dans son regard noisette alors, en m'approchant plus rapidement de son regard, comme si ça m'hypnotiser, mais je fesais face en m'arretant.
Il me déclarais qu'il fesait très froid posant le regard sur moi.
Il avait peut-être vu que je me frottais les bras contre l'autre à plusieurs reprises.
J'espère qu'il va me donner sa veste, ça serait trop gentil de ssa part.
Je resistais au froid pour pas qu'il me re-reproche d'avoir froid devant lui.
Je m'avançais avec lui de ma démarche simple hésitant à me serrer contre lui avec ce temps pareil.

Mon nom est Alasky, Alasky Portman, en ayant le sourir tremblotant par le froid.
Mon corps était paralisé de froid, une simple veste en tissu me protégait du froid, c'était inssufisant.
Je me jettais dans ses bras d'un saut pour me réchauffer m'approchant de son oreille. J'étais bien dans ses bras, sa veste en cuir était confortable, je pouvais y rester des heures.
Mais je pensais vraiment qu'il n'était pas à l'aise dans mes bras.
>Et toi ?
Nous étions entre-laçée au milieu de la rue bouchant le passage, mais en cette heure, il n'y avait personne qui vagabondait dans les rues.

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alasky ∞ loukas

“ ― Si tu rencontres
un homme de valeur,
cherche à lui ressembler.
Si tu rencontres un homme médiocre
◄► cherche ses défauts en toi-même.„

Il fesait froid, si froid que mes lèvres devenaient roses claires.
La givre se posait sur les arbres et les voitures, mais heureusement nous les humains, on ne pouvait pas givrer.
Dans ce cas là, je serais déjà mort. C'est bizarre de voir un temps pareil à New York, nous ne sommes pas en hiver pourtant.
Normalement, il fesait si chaud que je ne mettais pas de veste, et c'est ce que j'ai fait ce matin en m'habillant.
Mais c'est un très mauvais choix de ma part, mais quel con !
Ce matin il fesait si chaud qu'au bout de 3 heure au parc, j'avais de belles bulles de transpirations qui dégoulinaient sur mon visage.
Mais après le beau temps, vient le mauvais, nouveau proverbe inventé par Alasky Portman. N'est-ce pas un bon futur, créateur de proverbe ?
Revenons à nos moutons, les voitures disparaissaient devant nous, dans le brouillard qu reculait vers nous.
Lorsque j'étais petit, j'avais peur du brouillard, est-ce normal ? Mais maintenant, heureusement que non.
C'est juste un nuage d'eau qui traverse en nous lorsqu'on lui rentre dedans.
De quoi ne plus avoir peur de cette chose.



Nous passons dans le brouillard entre-laçés, l'un contre-l'autre.
J'avais encore légèrement froid, mais son odeur me réchauffait.
Sa traversait mes narrines, jusqu'à ma trachée pour arriver dans tous les organes de mon corps, de quoi en avoir les frissons.
J'avais la rougole des frissons, c'était presque comme un tatouage.
J'en étais parsemé, presque plus de 5 millions de petites graines plantées sous ma peau. Elles poussaient très vite.
Je regardais les deux ou 3 personnes qui passaient derrière nous, j'étais fier de montrer mon homosexualité.
J'en étais si fier que si quelque oserais se moquait, sa vie s'arrêterait là.
Je fixais les gens de mes yeux bleus en guise de salut, c'était très intimident pour eux je pense.
Mais ils pouvaient le prendre comme ils voulaient je m'en contre-fichais.

Il m'attrapait la taille pour le tirer vers son corps, il avait fait cela d'une aisance incroyable.
Peut-être que j'étais léger, ou peut-être qu'il était si musclé que c'était une plume qu'il tirait.
Il disait rapidement son prénom, Loukas Grey. j'étais si surpis qu'il s'appelle comme ça.
Son prénom s'accorde parfaitement avec son corps, son attitude, lui quoi.
Je pouvais m'imaginais toute sorte de noms, celui-là était le meilleur.
J'étais confortablement installé dans ses bras, ma tête contre son épaule, je me sentais bien, si bien que ça pourrait être ma future maison.
Un silence plongea dans le néant jusqu'à un taxi klaxonne près de nous.
Dans un premier temps, ça m'avait cassé les timpans, j'étais près à sursauter tellement j'avais eu peur, mais j'ai resisté.
Dans un second temps, je pensais que c'était parce qu'on était gay, beaucoups d'Américain n'aiment pas ça.. Et alors ?

Je me retourne d'un pivot de mes talons, me retrouvant fasse au taxi-man. " Je vous emmène où ? Les tourtereaux ? "
Je rougissais de plus en plus avec son expression d'amoureux, j'étais un peu.. Timide.
"The Hill, villa n°3 ! "
Je criais de ma voix médium, je n'avais pas une voix si rauque que Loukas, ça me paraissait évident.
Je prennais la main de Loukas en le tirant dans la voiture. La voiture était propre, soignée, j'étais fier de l'avoir emmené dans l'un des plus beaux taxis de New York.
Nous étions partit vers chez moi, ma villa, où je vivais seul.
Le taxi acceléra se qui nous colla à la banquette dorsale.
" C'est partit vers La Colline ! "

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alasky ∞ loukas

“ ― Si tu rencontres
un homme de valeur,
cherche à lui ressembler.
Si tu rencontres un homme médiocre
◄► cherche ses défauts en toi-même.„

e ne suis pas le genre de garçon à se jetter sur chaque homme qui se présentait à moi.
Un homme c'est difficile à choisir, il doit corresponde à mes attentes, à mes critères - j'ai fait une petite grille -, à moi quoi.
Je dois bien choisir l'homme qui voudra rester avec moi jusqu'à la mort.
Car si je saute sur toutes les occasions, je suis polygame, je le pense.
C'est un vilain défaut la polygamie. J'en serais jamais un, je dis bien jamais !
Un homme est une chose sacrée, une météorite de gaz, scientifiquement parlant.
Il faut la choisir avec précaution, il ne faut pas dire je t'aime à tout va.
Il faut l'étudier, le parler, rester longtemps avec lui pour le comprendre et le satisfaire.
C'est ma philosophie de vie, vous ne devez pas vous en soucier.
La vie est un long fleuve, l'homme est un rocher, vous en aggripez, vous en recevez plus aucunes secousses.
Un homme saura vous protéger, saura vous plaire mais l'homme parfait n'existe pas - Sauf Loulas bien sûr -.



Nous étions dans le taxi, l'un serré contre l'autre, sautant sur le siège grâce au dos d'Âne fréquent sur la route.
Nos fessiers devaient souffir de contortion après tous ses bonds.
Il fesait si nuit, que le chauffeur avait mit les phares antibrouillards, on y voyait presque plus rien.
Mais je me souciais pas de sa avec un homme aussi brave à côtés de moi, rien ne pouvait m'arriver.
Je fixais le siège conducteur qui tremblotait aussi car un boulon s'était disloqué il me semble, c'était très marrant.
Je regardais de temps-en-temps le visage de Loukas pour voir si il n'était pas stressé, mais il ne me semblait pas stressé.
Il avait toujours le sourir aux lèvres, si charmeur qu'à chaque fois que je le regardais, je souriais aussi.
On restait tous les deux face-à-face, en train de se regarder.

On arrivait bientôt malgré la fatigue, nos dos battaient toujours contre le dossier avec les dôs d'ane.
Je sentis mon corps se faire tracté vers Loukas, sa main aussi douce que du velour se frottait à mon épaule.
Je viens alors me pencher sur les pectoraux.
Je pouvais certifier que maintenant, je savais bien sûr qu'il était musclé.
J'entendais son coeur battre, si vite que je sentais même plus les accélérations de la voiture.
Je voulais verser une larme sur lui, tellement je suis ému d'avoir un homme qui bat pour moi.
Je voulais tellement l'embrasser que je commençais à m'entraîner discrètement.
Le silence s'arreta alors qu'on était à mi-chemin avec le moteur de la voiture ronronnait.

« Tu n'es même pas un peu fatigué après ta journée de travail ?. »Sa voix rauque venait faire taire le moteur de la voiture.
Je regardais de mes yeux bleus rapidement Loukas en le voyant me regarder aussi, fier et heureux.
« Tu as ensoleillé la fin de mon heure de boulot, je serais jamais fatigué en ta présence »
Le chauffeur fit un frênage si brusque que nos dos se sont décolés du dossier, et que maintenant on était penchés vers l'avant.
Je vennais sortir de ma poche un billet de 50$ que je penchais vers le chauffeur.
Le chauffeur prit le billet rapidement regardant toujours la route devant lui.
Je prennais la main droite de Loukas gentillement.
« Suis-moi »
Je disais cela avec le sourir, la seule chose qui prouvait mon amour pour cette homme merveulleux.
Je vennais lui faire un clin d'oeil, approuvant l'envie de l'aimer, tellement à en devenir fou.
Devant la maison, je soulevais le tapis, trouvant la clé dessous celle-ci que je vennais mettre dans la serrure.
La porte s'ouvrait directement, que je poussais de mon dos pour l'ouvrir et y entrait.
La villa était bien rangée après la session ménage de hier matin.« Entre et fais comme chez toi. » J'avais toujours le sourir aux lèvres voulant le satisfaire au plus au degrés.

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Hier matin, j'étais de congé, je devais pas travaillé. J'étais fou de joie, ce travail ne me plaisait pas du tout, mais il fallait que je finance la villa.
En me levant, j'avais prit la décision de faire le ménage pendant toute la journée dans toute la villa.
Ce n'était pas si facile de nettoyer une villa aussi grande.
Bien sûr, je devais prendre le bon côtés de chose, j'avais mit de la musique à fond, cen'était plus vraiment du menage, mais une leçon de danse.
Personnellement, mon balai est un très bon partenaire, il danse tellement bien que je n'arrivais même pas à suivre.
Je pense bien prendre des cours de danse, parce que là, c'est le balai qui me fesait danser.
Avec la musique, je n'avais même pas oublier un seul re-coin de la villa.
La musique est peut-être motivante, du John Lenon, je pense bien.
J'étais en mouvement avec mon balai, aucune poussière ne pouvait échapper à la cheveulure de mon balai, il inspectait tous les recoins, même là où on ne pourrait penser; comme sous un vase.
La villa a beau être grande, cahque recoin y passe.
Au début, je n'y prennais pas plaisir, mais au fur et à mesure, ça devenait un amusement.
Peut-être que ça sera une passion.
Mon futur mari peut être allergique aux acariens ou à la poussière. Il sera bien avec moi, alors.
A 18h30, j'avais fini de tout nettoyer, que j'avais fait un saut dans la piscine. oui, la journée était loin d'être fini, il fallait trouver un diverissement.
Vous pouvez penser que c'est un saut normal, mais j'étais monté sur le toit de la villa pour faire un saut encore plus sensationnel.
Mon adrénaline était monté à un niveau que je ne voulais même plus m'arréter.
Comme on me le dit souvent, après l'effort, le réconfort.



On était tous les deux, épaules contre épaules à l'entrée de la villa.
Il fesait vachement plus chaud à l'intérieur qu'à l'éxtérieur. Loukas le prouvait en enlevant sa veste qu'il venait mettre sur le porte manteau.
Maintenant j'avais de la certitude, que son coeur était musclé. Son débardeur venait collé son abdos jusqu'à en voir le relief.
Une envie arrivait, toucher de ma main droite ses abdos, mais je ne le fit pas, chaque chose en son temps.
J'avais eu de la chance de faire ma session rangement hier, car si je l'avais fait trop tard, il y aurait de la poussière partout, et plus tôt, j'aurais déjà sâli la plupart des endroits.
Loukas restait sur place, sa devait être une bonne sensation, il devait trouver beau j'imagine, fin' je l'espère bien.
J'espère que sa lui plaisit, car à mes yeux sa serait sa futur maison, sa future demeure.
J'étais rapidement attiré vers lui, en voyait ses mains me prendre par la taille.
Nos deux corps était tous les collés l'un contre-l'autre, je touchais enfin ses abdos qui étaient semblable à une plaque d'acier.
C'était si dur, que je pouvais donner un coup dessus, il ne sentirait rien.
J'entendais sa voix rauque camouflé par son sourir angélique déclarait que ma vaille était mignonne.
Je restais bouche-bée en ayant l'un des plus beaux sourir que je n'ai jamais fait à un homme de ma vie.
Nos corps, se rapprochaient encore plus à la force de ses bras qui nous attiraient.
Il me demandait de sa voix rauque et fluide, de lui faire visiter cette magnifique villa, légèrement plus grande que la N°2.

De ma démarche simple, je venais le prendre par la taille, épaule contre épaule maintenant, le tirant à me suivre.
Nous étions côtés-à-côtés pour la visite, à chaque pièce, je dictais le nom de la salle avec un léger ton d'humour.
Je voyais sur son visage un sentiment de détresse, car il semblait perdu danc cette grande villa.
« Je vois que tu es un peu perdu, mais ne t'inquiètes pas, je serais toujours à côtés de toi. »
Je le regardais de très bas, il était cent fois plus grand que moi, j'étais obligé de lever la tête pour voir son beau visage elfique.
Je me mettais sur la pointe des pieds en arrivant à sa hauteur, je rapprochais délicatemment mes lèvres des siennes. Arrivant à les collées, je fesais un baiser tendre et remplit d'amour usur ses lèvres pulpeuses.
Je gardais mes lèvres sur les siennes un bon moment, en ayant un sentiment fou dans ce baiser, peut-être l'amour, l'affection.
Je retirais mes lèvres de siennes, en étant tout rouge de timidité après cet acte.
« Tu as faim ? »
Je regardais de mon sourir angélique son visage, amoureux de lui.

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En fesant visiter la villa, je me rapellais de tous les bons et les mauvais souvenirs qui y demeurés.
Le jour où ma mère en se dandinant à côtés de la piscine, tomba dans l'eau.
Mais, la chose la plus importante que personne ne sait à part moi est que la villa a été décoréé par moi-même;
Sa ma prit 1 mois et 3 semaines, pour décorer toute cette villa, la grand et sublime villa.
Sa peut-être paradooal, de penser que c'est moi ai décoré cette villa, mais c'est bien moi.
J'ai peut-être un talent avec la décoration mais je l'ai mit en pratique qu'une seule fois, lors de la décoration.
J'ai choisit la décoration en sachant que ça serait ma futur maison.
Plus de trois cent quarante euros de dépenses pour une maison de seize pièces.
J'ai choisit avec minutie toute la décoration de la villa, car pour moi c'est important la décoration dans une maison.
C'est comme le physique d'un homme, c'est le premier abord.
J'aime bien associé les couleurs, les mélangées, les intercallées, les fusionnées.



Nous étions dans la maison, pour la premier fois de ma vie, j'étais à la même taille que Loukas.
Je me perdais dans la couleur de ses yeux noisettes me rapellant les ronces des grands chênes dans la forêt.
Il m'avouait de sa voix rauque, que c'est plus petit chez lui.
Sa changer pas mon avis, je l'aimais toujours que je l'ai aimait à notre rencontre.
sa ne m'empêcherait jamais de ne plus l'aimer.
« Tu t'y habitueras »
Ma voix douce et fluide venait conclure ce dialogue qui venait par des baisers langoureux.
Nos langues venaient danser une valse dans nos bouches.
Je penchais ma tête de droite à gauche et de gauche à droite, représentant entièrement un baiser langoureux.
Je mordillais sa lèvre inférieur sensuellement, pour que le baiser deviennent de plus en plus romantique que langoureux.
Il tenait mon menton, pendant se long et langoureux baiser.
On arrêtait le baiser, tous les deux en même temps, se regardant l'un contre l'autre dans les yeux.

Il me déclairait de sa voix rauque et à la fois douce, que j'étais mignon quand je rougis. Cette parole fût contradictoire, car je devenais encore plus rouge qu'avant.
Mon menton était entre ses doigts, doux. Il m'exclamait qui l'avait faim, je ne savais pas si je devais lui donner quelque chose de lourd ou pas, mais j'optait pour le seconde solution.
Je le tirais gentillement, de mon bras droit, pour l'emmener devant le frigo.
Je scrutais ce qu'il y avait dedans avant d'en sortir une salade verte, garnie de maïs, croupton de pain, de tomate. J'adorais ce plat, je ne le partageais jamais.
Mais lui c'était l'excéption de la vie, cet homme bousille toutes les loies.
« Une salade verte, façon César, ça te va ? »
J'avais toujours le sourir en étant tout rose, le rougissement s'était calmé mais j'étais toujours rose.
Ce zeste d'humour dans mon plat venait me faire rire, mais pas que, je voyais sur le visage de Loukas, un léger ton de surprise.
J'avais beau rigolé, je rougissais toujours.
« J'espère que ça te suffiras »
Je venais alors tendre la salade, sans attendre la réponse de Loukas, sachant qu'il va aimer. Sa se voit qu'il va aimait, un homme aussi beau doit prendre soin de son corps.
Je calmais mon rire avec cette phrase, mais j'avais toujours le sourir aux lèvres.

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A vrai dire, le frigo n'était pas bien garni, je mange beaucoup, mais pas comme un porc - je suis maigre, mais je mange beaucoup -.
Je suis fléxitarien, je prend soin de moi, je ne veux pas être gros ou même anoréxique.
D'ailleurs, si vous ne savez pas qu'est-ce qu'un flexitarien, c'est une personne végétarienne mais qui mange parfois de la viande, du poisson.
J'en suis fier de l'être, et je l'assume bien car ça me convient très bien, et je suis loin d'être malade.
Le frigo est pour moi l'objet le moin le plus important, la bouffe s'est pas très important mais je mange beaucoup.
Je mange proportionellement avec ma corpulence, je mange beaucoup mais à mon niveau.
Le frigo était surtout garni de salade, cordon bleu et de macédoine. J'avais prit la meilleure salade pour Loukas, sa valait la peine.
C'est temps si je mangeais surtout au restaurent seul, j'étais surtout en dépression.
Il ne vaut mieux pas que je me gave de glaçe au chocolat devant une émission d'amour.
J'adorais sortir, je reste très peu dans la maison, ça peut-être paradoxal mais je préfère largement être dehors que chez moi.
La villa peut-être magnifiquement belle, je ne peux y rester plus de quatre heure à part avec Loukas.



Je n'arrêtais pas de m'imaginer avec lui dans sa maison, je ne savais pas si il allait accepter mais j'adore cette idée.
Lui apportais le petit dej' dans le lit alors qu'il dort, se coller à lui dans le lit avant de se plongeaient dans un profond sommeil.
C'était peut-être une vie de rêve, mais elle était à deux pas de se réaliser. Je ne m'imaginais pas avec Loukas, mais c'est encore mieux que mon imagination.
Chaque chose que je ferais avec lui, sera comme un rêve, je rêve déjà de lui donc ça prouve que je fais des rêves prémonitoires.
J'aimais reçevoir des personnes chez moi, quelque soit la personne, il faut qu'il sâche qu'ici est un lieu sûr.
Elle a beau être grande, je serais toujours là pour me battre avec les voleurs ou cambrioleurs.
C'est la chose la plus chèr qu'il me reste de mon père, il faut bien que je la garde dans un état stable.
Je serais un protecteur parfait pour cette maison, protecteur et proprioétaire. Les deux à la fois.
Je sais que cette maison ne refusera jamais Loukas a y habité. Je peux être fou, mais je prend une maison pour un être vivant, comme les humains, elle doit être habillée.
Loukas se tenait debout devant le frigo alors que je le tendais la salade.

Il m'exclamait de sa voix rauque et charmante que c'était parfait, j'étais devenu tout rouge.
C'est fou comment un compliment peu s'avérer romantique, je ne pouvais rester beige normalement quoi après un compliment.
j'étais obligé de rougir !
Je lui donne la salade de ma main droite en voyant qu'il la prend de sa douce main.
Il me rassure que tout est parfait en m'ordonnant d'arreter de m'inquiéter.
Mais je ne pouvais pas, je dois le satisfaire, le charmer, je dois faire de mon mieux.
C'est moi quoi, je suis comme ça, je suis naturellement comme ça.
Il partait avec la salade vers l'îlot centrale de la cuisine en lâchant ma main droite.
Je voyais sur son visage qu'il voulait que je l'accompagne, je veux rester avec lui.
Je l'aime, je dois rester avec lui, c'est mon futur mari, pourquoi devrais-je le laisser seul ?
Je l'aime tellement que je ne pouvais le laisser seul.
Et lui aussi, en déclarant de venir près de lui.

Je fermait le frigo' en poussant la porte de celle-ci calmement.
J'allais de ma démarche simple sur les genoux de Loukas, assis sur une chaise.
Je sentais rapidement son bras droit entourait ma taille en signe de sécurité.
Avec Loukas, c'était sur qu'on pouvait parler de sécurité, je me sentais en sécurité, c'était comme un protecteur pour moi.
« Bonne appétit, mon amou..ami. »
J'étais en train de redouter ma parole, pourquoi j'ai tenté de lui dire mon amour..
C'est trop tôt, mais qu'est-ce que je suis con !
Mais d'un autre côtés, je pouvais le dire, je l'aime.. Et je pense que c'est réciproque.